WINDMOLENS ZEEK GOEI) UAEIGilAS GGED frïAEIGRAS, WARE WATTE La correspondance suivante adressée de New-Yoïk au Moniteur universel expose l'état des opérations militaires entre le Nord et le Sud la date du 3o mai Les dernières nouvelles de Wicksburg sont loin d'être favorables aux confédérés. La manière dont le général Peraberton a conduit les opérations a été des plus désastreuses, et le bruit coorl dans le Sod q»e Jobnston l'a privé de son commandement et mis aux arrêts. Quoi qu'il en soit, ce même Johosioo se trouve hors de la place assiégée et réunit toutes les forces disponibles pour tomber sur les derrières de Grant et l'obliger lever le siège. On annonce que des renforts lui sont envoyés de tous les points du Sud; que Beauregard, dans les Carolines, Lee, eu Virginie Braxtoo Bragg, dans le Tennessee, ont détacbé des divisions; que toutes les forces répandues dans les Etats voisins se concentrent et qu'il ne tardera pas être en mesure de prendre la campagne avec des forces imposantes. Il y a lieu de penser cependant que les énormes distances qui séparent Jobnston des poiols d'où il tire ces renforts retarderont de beaucoup le moment où il se trouvera en mesure d'attaquer Grant. Wicksburg tiendra-1 - il jusque-là? C'est en quoi consiste toute la question, et c'est en même temps le point difficile résoudre. Les gens do Sud, qui sont intéressés dans la question, préten dent que la garnison est de 1 â.ooo hommes d'élite et a des vivres et des munitions pour cinq mois. Les gens du Nord répondent que cette garnison a été battue cioq ou six fois de suite et doit être démoralisée; que Grant a sous ses ordres de 60 80,000 hommes, une forte artillerie et le concours d'une escadre formidable. Mais il demeure certaio, d'autre part, que le front de la place est restreint, que le terrain est très accidenté, que les ouvrages sont formidables, que l'ennemi ne peut développer ses forces par l'assaut, et qu'enfin la chaleur et les maladies sont aies auxiliaires redoutables contre les assiégeants- Toutes ces assertions pesées, il demeure impossible de former aucune conjecture fondée. De grandes choses paraissent se préparer en Virginie. Lee semble décidé prendre son tour l'offensive. Le bruit s'est répandu que le gouver nement confédéré avait reconnu que le seul moyeu de forcer le Nord la paix, c'était de l'envahir sou tour. Il faut, disent les journaux du Sud, au lieu de s'épuiser par une vaine défensive et de laisser l'ennemi ravager notre pays, lui faire connaître les maux de la guerre, lui rendre ravage pour ravage, épuisement pour épuisement, et aller chercher la paix dans Wash'ngton. Celte grande armée de Virginie, tant de fois victorieuse, doit se déterminer a jouer le tout pour le tout. Que ces soldats aguerris, ces généraux habiles marchent en avant, qu'ils portent le drapeau jusqu'au cœur des Etais ennemis; c'est le seul moyeu d'en finir avec cette lutte, de dooner an Sud une grande chance de victoire. L'heure est venue de tout risquer. Ces paroles indiquent nettement que les gens du Sud trouvent leur situation grave. Les efforts continus du Nord ont fini par entamer sur presque tous les points le territoire du Sud; ils finiraient par I envahir lentement, mais sûrement, dit le Richmond Examiner. C'est donc au grand jeu de la guerre qu il faut remettre le destin de la confé dération, et c'est sur le sol fédéral qu'il faut aller chercher la paix, n a.hériqde. L audacieux et savant explorateur des régions poiaires, M. C.-M. Hall, se dispose partir de *"'ew-York pour une nouvelle expédition dans les mers arctiques. Plusieurs Américains, au nombre desquels on cite MM. Grinoell, Ward, Brevoort et Beekmao, font les frais de l'expédition et four nissent au bard voyageur tout le matériel nécessaire pour un séjour de trois saisons parmi les Esqui maux. M. Hall parle aujourd'hui très couramment le langage des Esquimaux; il connaît les mœurs les usages, les traditions de ces peuplades sauvages, et ces connaissances lui ont permis de retrouver les restes du navigateur Frobisher. Son principal bot est de retroover les restes de sir John Flanklin, et de s'assurer de l'existence d'un immeose lac d'eau douce, dont les naturels parlent souvent. Celte exploration, entreprise dans les conditions les plus favorables, promet la science des résultats du plus haut intérêt. ÔVEIISLAG zonder ittstel VAN 2 SCHOONE STEENEN KOOKEN-EN-OLIE MET STOOMTUIG; Eenen op Gils, wyk Gitsherg, met Huis, Magazynen, Stalling en 88 aren 76 cen- tiaren Erf, gebruikt door Doclujmits fr. 730 's jaers. Slael maer fr. 12,600. En eenen op Eiclilervelde, by de statie met Stoomtuig, Huis, Magazynen, Stalling en 16 aren 10 centiaren Erf; om aenslonds in bel gebruik le komen. Staet maer (r. 3,000. Al verdeeld in 3 koopenstaende te zamen fr. 17,700. De zilting op DONDERDAG 23e0 JUNY 1865, len 3 uren namiddag, te Oostnieuw- kerke, ter herberg hel Nieuw Sleehage De kondilien by den Nolaris CHRIS- TIAEN. GEMEENTE lUMMilIL. OPENBARE VERKOOPING van voor den ONTBLOOT DES JAERS 1863. Den Maendag 6° July 1863, ten 2 uren namiddag, ter herberg den Snoek, bewoond door sieur Merlevede Van Rechent, in den Westhroek, te Reninghe, zal den Nolaris L£.1£311T, t'Yper verblyvende, open- baerlyk Verkoopen de volgende VIaeigrasen voor den ontbloot dezes jaers te welen 1° De party genaemd de Spagniaerds zes Gemeten, liggende zuid aen den Boe- singhgracht en nalende oost en west aen het hooigras gebruikt door S1 Franciscus Lacour; Verdeeld in 6 koopen. 2° Eene party gelegen achler gemelde herberg. gemeenlyk genaemd Vandrommes zes Gemeten groot 2 hectaren, 80 aren, 81 centiaren Verdeeld in 6 koopen. En 3° De party groot 1 hectare, 18 aren 30 centiaren, genaemd de 1 perkens, gelegen by de Knokke; Verdeeld in 2 koopen. De Verkooping zalgeschieden metgereed geld voor wal betreft de parlyen genaemd Vandrommes zes Gemeten en de Yperkens en met tyd van betaling toi den 1° Oclober 1863 voor de overige Gras Gewassen mits stellende goede bekende borg en de ge- woone bespreken te voldoen. Men gelieve het mchtbaer te maken. OPENBARE VERKOOPING VAN ZEER TE EANGKMARCK, WYK S'-JUUAEN. Op 29" JUNY 1865 (S' Pietersdag), om 5 ure namiddag, zal er in het openbaer Ver- kocht worden 8 KOOPEN ZEER GOED MAEIGRAS groeijende in de Vogelmeerschen le Lange- marck, wyk Sx Juliaen, naby de kassyde van Vperen naer Rousselaere. Vergadering ter herberg van de weduvve De Coninck, le S'-Juliaen. Gewoone voorwaerden en langen tyd van betaling. men make het ruchtbaer. TEC EN RHUMATISMES VAIS DE:V DOKTOR PATISSON ttcn I fr.5Ûc.l)ftpakir,flen80c.l)ctl)alfpakjf. Zekeren spoediggeneesmiddel tegen aile slach van rhumatismus,'t zy dat de rhuma- tismus hesta in de beenen de armen de rug, de handen of de hais, zy wordt met voordeel gebruikt tegen de tandpyn, en tegen het flerecyn. De krachtdadigheid van dit geneesmiddel wordt niet alleenlyk bevesligd door een groot getal persoonen die er van met voile geluk gebruik gemaekt hebben maer nog door de geneesheeren van de fakulteit van Parys. SîTfTSSSH?.:?5?. Sedert lange jaren, leed de ondergetee- kenden zware zinkingpynen eersl gedeel- telyk, dan in gansch 't lichaem. Naer aile slach van geneesmiddelsnulteloos beproefd te hebben, las ik eens, in een daghlad, de bekendmaking van de watte van doklor Pâtisson. Zonder niet len minsten te peizen dat deze watte voor my zulke gelukkige gevolgen zou hebben, deed ik er een pakje komen, alleenlyk om te konnen zeggen dat ik aile de geneesmiddels mogelyk gebruikt had. Maer hoe groot was myne verwon- dering, wanneer ik ondervond dat na nauwelyks een dag aile de lydende deelen van myn lichaem verlost waren van de scherpe pynen die ze voorgaendelyk kwel- den. Byzonderlyk, een langdurige rhuma- tismus aen de borst, is wonderlyk ver- dwenen, by iniddel van eenigo pakjes van dit duerbaer geneesmiddel. By gevolg, ik beveel met aendringing aen, aen dezen die lyden door zinkingpynen. de watte van doktor Pâtisson; zy zullen waerschynelyk gelyk ik, door dit geneesmiddel, die, het is te bemerken, voor eenieders borze verkry- gelyk is, zeer goede uilwerksels bekomen. Rindorf, by Neustadt op de Saale 8'" maerl 1862. Ch' Weigaud, onderwyzer. Ik zegen duizendmael de geleerden die er in geluk is een geneesmiddel le vinden voor pynen waervan dezen alleenlyk die er aen lyden de schrikkelyke smerten konnen kennen en ik raed aen aile myne medebroeders aen die door rhumalismus gekweld zyn van zich te bedienen van de watte, en ik hoop dat zy gelyk my zullen geneest zyn en de geneesmiddel zullen laten kennen; het zal een werk van liefda- digheid zyn. Geneven, 8" maert 1859. Geteekend Chaffard, schryver van Le Guide officiel des chemins de fer. Algeraeenen dépôt, by RINCK en Ci6, te SchafThausen (Zwitserland).

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3