WARE WATTE ITALIE. kantoor van den TEGEN RHUMATISMES autriche. Zekeren spoediggeneesmiddel tegen aile slach van rluimatismus,'! zy datde rhuma- lisraus hesla in de beenende armen de rug, de handen of de hais, zy wordt met mon petit frère dans une bonne école. Connaissez- vous an état où b mon âge ou puisse gagner autant. [.'abbé baissa la tête sans mot dire et conduisit b son confessionnal sa jeune pénitente, qui communia poor la chère malade, qu'elle espérait ainsi sauver, car elle avait prié de toutes ses forces; mais Dieu, dont les décrets sont cachés, l'avait prédestinée sans donte b remonter vers loi. [Patrie.) On lit dans VÊcho du Nord, de Lille Une famille de notre ville, habitant la section de la Barre, a failli être victime, il y a deux jours, d'an accident fort rare. Uo potage, contenant une grande quantité d'oseille, avait été versé bouillant dans nn vase de terre cuite couvert d'une épaisse couche de vernis et y avait séjonroé jusqu'au lendemain. Quatre personnes, ayant mangé, le lendemain, de ce potage, furent prises, quelques henres après, de vomissements et de violentes coliques. M. Vanpeteghem, médecin, fut appelé et reconnut tous les symptômes d'un empoisonnement. Grâce b une médication vigoureuse, les symptômes dispa rurent, et des quatre personnes eiupoisoooées, uoe seule se ressent encore légèremeot aujourd'hui de l'accident. Une enquête apprendra peut-être quelle est la substance toxique qu'a pu développer la présence do potage sur la couche de vernis du vase. On écrit le 4 août de Saiot-Valery-sur- Somme, au Journal d'Amiens M. Deléon, gendre du capitaine Châtelain, de S'-Valéry, se baignant aujourd'hui avec sa familie aux bains de la Ferlé; il était une heure et demie, la marée montante n'avait encore atteint que la moitié de sa hauteur, et l'on comptait b peine deux mètres d'eau de profondeur. Après avoir fait baigner sa jeuue femme et l'avoir ramenée b sa cabane, M. Deléon retourna b la mer, en compagnie de l'uu de ses parents et de quelques autres personnes. Le maître-baigueur, le voyant près de la corde, lui dit qu'il pouvait rester sanscraiote dans cet endroit; mais M. Deléon, qui savait assez bien nager, et connaissait parfaitement la plage, descendit uo peu plus bas. Tout b coup il jeta no faible cri et disparut. Cela se passa si vite que ni son pareut qui était ptès de lui, ni les personnes les plus rapprochées ne s'en aperçurent. Pourtant de la berge, on l'avait vu disparaître sous l'eau, mais on supposa d'abord qu'il s'amusait. L'un des baigneurs-jurés accourant se jette b l'eau, plonge en toos sens; vains efforts, a disparu. Uo service de sauvetage s'organise sur une grande échelle, de larges filets sont lancés b la mer, des sondages sont faits de tous côtés, mais ces nouvelles tentatives demeurent stériles. M"" Deléon éperdue de douleur b la nouvelle de l'accident, s'était frayée un passage au milieu des spectateurs, et voulait s'élancer b l'eau; on eut les plus grandes peines b la retenir, et quand, brisée par la lutte et l'émotion, un peu de calme lui fut revenu, les spectateurs silencieux suiviienten cortège les personnes qui la reconduisaient près de sa famille. Ou lit dans la Faltellina A Traona, pays de la Valtellina, une nommée Marguerite Boromini est accouchée de quatre enfants tous bien vivants. Cette dame, âgée de trente ans, d'oDe position aisée, est petite et d'un certain embonpoint. Deux jours après son dernier accou chement, elle s'est levée et vaquait b ses devoirs de maîtresse de maison. les nouveaux billets de 100 florins. On assure qu'ils ont été faits avec tant de perfection, qu'ils ne pourront être imités ni par voie photographique ni autrement. ALLEMAGNE. La giaude halle construite pour servir aux lêles et aux banquets des gymnastes allemands, qui viennent de se réunir b Leipzig, est un édifice énorme. Sa longueur est de 3x4 aunes et sa largeur de 60. Toutes les dispositions sont prises pnur que 6,000 personnes y puissent dîner b la fois. La salle contieut une grande estrade pour l'orchestre, et au milieu uoe tribune pour les discours. Oo a eu la précaotion de statuer qu'aucun des orateurs ne pourra parler plus de cinq minutes. Le 3 août a en lieu l'ouverture du congres des gymnastes b Leipzig. A cette occasion M. le docteur Gœtz a rendu compte de la situation des sociétés de gymnastique. Il en résulte que d'après les derniers relevés on comptait 1,284 sociétés, avec i34,ooo membres. Aujourd'hui le nombre des sociétés s'élève b 1,701. avec 170,000 mem bres. Il y a donc une augmentation de 33 1/2 p. c. Un fait très intéressant sous le rapport phy siologique, vieut d'avoir lieu b Keoezew, dans le palatinat de Plock. Une centaine de cosaques venaient d'envahir le village et se disposaient b faire main-basse sur le château. Dans le même moment, M™' Louise Kiwerska, femme d'un ancien colonel de l'armée polonaise et belle-mère do propriétaire, M. Joseph Kosinski, allait rendre le dernier soupir. La famille, le cie'ge mortuaire b la main, entourait b genoux le lit de la pauvre malade. Aux cris des cosaques qui venaient poor saisir son gendre, elle se redressa sur son séant, puis descendit de son lit, et se mit b donner, avec uoe parfaite présence d'esprit, les ordres nécessités par la situation. Le danger de ses enfants avait fait rentrer dans son sein l'âme prêle b s'échapper. Depuis ce moment, elle vit; seulement, des attaques de nerfs, fréquentes et prolongées, vien nent témoigner de l'émotion terrible que cette mère de famille polonaise avait éprouvée. 11^——w» NOTARIS VAN EECKE, T3 7P3R, UIT ER HAND TE KOOPEN. A. Het schoon Kasteel 1 met LUST en andere HOVINGEN en AFHANGELYKHEDEN van den heer graef Du Parc, te Yper, by de Statie van den Yzeren weg. B. Eene Hofstede te Zand- voorde groot 5 hectaren 37 aren 30 centia. NOG BY DEN ZELVEN NOTARIS, CIT ER HAND TE PACHTEN, Twee schoone HUIZEN met STALLEN te Yperen. VAN DEN DOKTOR PATISSON, acn I fr.50c.l)ftpaMe,ûfn80c.{jet()ûlfpahjf. toute la salle. Cela donne de la vogue b la pièce ei me fournit mes moyens de subsistance. On voit que dans notre siècle les métiers se multiplient- Samedi soir, b 10 heures 45 minutes, un phénomène fort singulier a été remarqué b Péri - gueux. C'était une auréole lunaire d'une assez grande dimension, formée d'anneaux concentriques de couleurs très-vives. En partant de l'astre, le premier anoeau était jaune, le second était d'un beau vert et très-large, presque do diamètre de la lune; le dernier était rouge, mais beaucoup moins large. Le phénomène a disparu vers 10 heures 5o minutes. Il s'est reformé vers 10 heures 55 minu tes; le cercle jaune était assez intense de couleur, mais le cercle vert se perdait dans l'azur du ciel, et le cercle rouge était b peioe visible. A 11 heures, le météore svait disparu. Périgord Oo écrit de Condé au Courrier du Nord 1 Un cas de mort subite vient d'arriver, b Fresnes, daos des circonstances assez singulières. Le sieur Paul Ernould, âgé de 61 ans, et le sieur Déniconrt, presque octogénaire, demeuraient porte b porte et vivaient en mauvaise intelligence, parce que, b propos de délimitation de propriété, le premier accusait journellement l'autte d'anticiper sur son terrain. Telle était la sitoation respective des deux vieux ennemis lorsqu'ils rencontrèrent il y a quel ques jours b l'endroit même objet do litige, et les récriminations et les reproches d'Ernould d'éclater avec une nouvelle véhémence. Irrité au dernier poiut des réponses calmes et quelque peu ironiques de son voisio, Ernould allait peut-être oublier le grand âge de son adversaire, qoand celui-ci dit, en haussant les épaules Pourquoi tant aimer la terre, puisqu'b ta mort tu n'en posséderas que six pieds! A ce trait si simple et si juste, la colère d'Ernould atteignit son paroxysme, et le malheureux tomba gomme foudroyé. Quand on le releva, ce n était plus qu'un cadavre. La pauvre Emma Livry, qui vient d'être edevée si cruellement aux arts et b la vie, avait une piété solide et profonde; elle cherchait b ramener au bien les jeunes filles de l'Opéra aux quelles elle s'intéressait; one, entre autres, suivait son exemple, ce qui l'avait rendue sa favorite. Dans les dernières fêtes de Pâques, Emma Livry lui avait fait promettre de communier pour obtenir du bon Dieu sa guérison; et, un jour, comme l'abbé C... quittait S'-André, où il confesse, il fut tout forpris de voir une jeune fille tonte haletante, le chapeau de travers, les cheveux an vent, qui î'ariétait très-résolûment par le bras. Que voulez-vous, mon enfaot lui demanda- t il en croyant b une méprise. Vous êtes M. l'abbé C..., u'est-ce pas? fit-elle en reodanl ques tion pour question. Oui, répondit le prêtre; eh bien que puis-je pour vous C'est que je viens pour me confesser de la part d'Emma Livry. L'abbé se prit b sourire. «Soyez la bienvenue de quelque part que vous veniez, dit-il; seulement vous auriez dû arriver plasiôt, car mon heure de confesser est passée... Jt le sais bien aussi ai-je couru, couru... inter rompit la jeune fille, mais je ne pouvais pas sortir avant que la répétition fût finie. Quelle répéti tion, mon enfant? demanda le prêtre tout étonné. Eh bien! celle da ballet où je daose, vous savez?... Vous danseuse, ma pauvre enfant reprit l'abbéC... Ooi, monsieur,ça vousétonne... Non, ça m'afflige, car il me semble qu'on peut faire autre chose de mieux. Dame, je ne sais P's! répondit la jeune fille, car enfin, avec ça je nourris m?, mère qui est veuve et pauvre, je paie apprentissage de ma jeune soeur et je fais élever On mande de Vienne, 5i juillet La réim pression de nos billets de banque a eu lieu, et, b partir de demain, la Banque Nationale va émettre

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Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3