PLANTSOEN BOSCH,
AVIS.
BANQUE DE CRÉDIT FONCIER
SCHOONEN
cet borame d'Etal au pouvoir ne se prolon
gera pas au delà du vote de son budget.
Le hasard se montre parfois intelli
gent. Il y a une huitaine de jours le Crédit
communal a fait procéder au tirage au
sort des numéros de ses obligations qui
doivent être remboursées avec pHtnes.
Celte fois le gros lot est échu un brave
père de famille de la commune de Quareg-
non un honnête ouvrier machiniste
dans un de nos charbonnages. C'est une
somme de vingt-cinq mille francs qui va
trouver un utile emploi, car l'heureux
possesseur de l'obligatiou gagnante n'a
pas moins de 5 enfants.
o II paraît dit le correspondant
bruxellois du Courrier de l'Escaut, a que
le témoignage d'encourageante sympathie
que S. M. a donné l'association de
Sainte Barbe ne se bornera point la
somme de mille francs envoyés M. le
doyen de Sainte-Gudule; on m'assure que
la munificence royale renouvellera ce don
chaque année.
Un peu plus loin le même correspon
dant parlant des Solidaires, ajoute Mes
recherches pour trouver le nombre exact
des Solidaires, m'ont amené la connais
sance d'un fait très singulier et très-im
portant, qui prouve combien les Solidaires
sont peu solidaires J'avais quelquefois
remarqué moi-même des convois solidai
res splendides et d'autre fois des convois
également solidaires plus que misérables,
et je trouvais ce contraste passablement
contraires aux règles de la solidarité.
Voici, d'après ce que j'ai appris, ce qui se
passe dans la secte Tout membre payant
une rétribution de cinq francs par année
obtient les honneurs d'un transport sur
corbillard après son décès, mais la secte
ne fait pas même la dépense de la location
d'un cheval pour conduire au cimetière
celui de ses membres qui, pendant sa vie,
n'aurait pas payé sa cotisation. Mettez
cela en regard de la société Sainte-Barbe.»
Le fait rapporté plus haut n'a rien qui
doive étonner. Comme leurs devanciers
les niveleurs du siècle dernier, les Soli
daires ne se présentent qu'avec les grands
mots de réforme sociale et humanitaire
snr les lèvres, et nulle part on ne trouve
une absence plus complète des véritables
sentiments d'égalité et de philanthropie.
Philanthropie, chez ces gens-là, allons
donc! Ce que l'on rencontre chez eux peut
se résumer en deux mots de l'ignorance
et de l'aveuglement chez la masse, et chez
les meneurs, ce que Proudhon appelait si
crûment, mais si véridiquement, de' la
blague.
Nous apprenons, par une correspondan
ce particulière, que l'empereur du Maroc
vient de décider la création du télégraphe
électrique dans ses Etats. La première
ligne reliera entre elles les villes inpériales
de Fez, de Mequinez et de Maroc avec
Tanger. Pour bien comprendre' l'impor
tance de cette création, il faut savoir que
l'empereur, qui ne faisait et q sans l'avis
de ses astroj^ues^càré. huw--d'ant
son séjour Rabâ'i, e^&~Y4nf"répondu!
après une nuit de réflectio&v d'études, t
que la télégraphie électrique était une in
vention infernale qui ferait le malheur du
souverain et de sa dynastie.
L'empereur ne 9'est pas laissé entraîner
par celte réponse, et il a décidé non-seule
ment que le télégraphie électrique serait
établi dans son empiré, mais encore que
tous ceux qui détruiraient les appareils
ou les fils électriques auraient la tête
tranchée. (Patrie.)
On se ferait difficilement une idée,
écrit-on de Calais, de l'importance du
trafic des ob ets de consommation avec
l'Angleterre la volaille, les fruits, les
œufs, la viande de boucherie et la charcu
terie s'y importent de France en quantités
et pour des sommes considérables. Pour
le momentce sont les dindons qui tien
nent le premier rang dans l'exportation
culinaire. De Dunkerque Boulogne, il
n'est pas de navire se rendant en Angle
terre qui n'emporte des masses de ces
volatiles. Mardi dernierun spéculateur
anglais a expédié de Guines 600 dindons
de choix pour Londres. Ces dindons,
achetés dans les fermes du canton de
Guines, de 9 10 fr. l'un, en moyenne,
seront vendus en Angleterre 25 francs.
RÉCLAME N' 10.
La Chambre de Commerce des arron
dissements d'Ypres et de Dixmude, a
l'honneur d'informer les industriels et les
artistes belges, qu'une Exposition univer
selle des produits de l'industrie et des
œuvres d'art, s'ouvrira Dublin, le 9 mai
1865, sous le patronage d'une Compagnie
puissante et des plus hautes notabilités de
l'Irlande.
Parmi les avantages qui seront accordés
aux exposants belges, il est dès maintenant
décidé que les produits de nos artistes et
industriels seront expédiés aux frais du
comité de Dublin, depuis Anvers jusqu'au
local de l'Exposition et vice versa, et que
les tables nécessaires l'étalage des objets
exposés seront fournies gratuitement.
Le Gouvernement belgequi de son
côté veut y prêter son concours bienveil
lant, accordera une réduction de 75 p. c.
sur les frais de transport par le chemin
de fer de l'Etal.
Les intéressés qui désirent obtenir de
plus amples informations sont priés de
s'adresser M. Beccwe, secrétaire de la
Chambre, qui s'empressera de communi
quer tous les renseignements.
sr- r
La Direction a l'honneur d'informer
m les Actionnaires que, conformément
la décision prise en Assemblée générale du
20 de ce mois, le-2* dividende pour l'exer
cice 1865 1864 des Actions de la première
émission, a été fixé fr. 22,50 par action.
Ce dividende joint celui de fr. 7,50 déjà
payé, porte fr. 50 ou 20 7. le revenu
aiïérant chaque action.
te dividende sera payable la caisse de
la Banque, rue Royale, 28, Bruxelles,
partir du 2 janvier prochain, contre pro
duction des certificats d'actions, sur les
quels il sera fait mention du payement
effectué.
Après le 2 janvier prochain, le transfert
des certificats d'actions de la première
émission ne sera opéré que pour autant
qu'ils porteront la mention du paiement
du dividende précité.
Bruxelles, le 21 décembre 1864.
TE KOOPEN
GEMEENTE EEVERDINGUE*
Eenen schoonen en goedën Plantsoen.
Bosch, met de Taillie, Plantsoenen en
Boomen daer op staende, gélogen te
Elverdinghe, langst de straet van Woesten
naer Poperinghe lusse lien de herbergen
de Wippe en de Coppernolle, grool by titel
4 h. 26 a. 22 c. en volgens cadaster sectie
A, n" 1, maer 5 h. 88 a. 70 c., uitmakende
eene effen en vierkante partie.
Inyesteld 9,600 francs.
Den ARSOLU7EN OVERSLAG zal ge-
beuren binnen Ypre, ter estaminet Sim-
Laurent, in de Hondstraet, Dijisdag 10'"
Jam'ary 1865, om 2 uren namlddag, door
het ambt van de Notarissen LAMBIN en
VANUERMEERSCH, residerende te Ypre.
KANTOOR VAN DEN
NOTAR1S MAHIEU,
•ru M,
SHλ T> «ST-h
MAENDAG 16° JANUARY 1865, ten 4
uren 's avonds, ter herberg den Karpel,
Vischmarkt, t'Ypre,
Ol'EAH VUE VEUKOOPING,
in eenen Zitdag, van
1° Een Huis, oost de Rysselstraet, n' 1,
t'Yper, bewoond door M. Frédéric Wilde,'
zonder regt van pacht.
2 Een grool Huis met Achtergebouwen,
aen dezuidzydevan t armemeissenstraetje,
n 15, t V pre gebruik door Woussen en
andere.
En 5° Zeven Woonhuizen, aen elkander,
met hunne Gronden en Hovenierhoven te
Sint Jan, gehucht het Wielije, bewoond
door Gruson en andere; by plakhrieveti in
4 koopen verdeeld met regt van zamen-
voegmg.
FRANCE.
- -1 n -.il'
Les gastrites, gastralgies, toux, consomption,
dépérissement pour lesquels la médecine n'offre
aucun remède efficace, sont parfaitement guéris
par la délicieuse Re*'aleirfa Arabie» DuBarry,
de Londres.
Saiut Ilooiaiu-iies-iles, novembre i86ï.
La ReVilenla Arabica a produit sur moi un
éffet vraiment extraordinaire. Quelques déjeu
ners de dette excellente farine ont suffi pour
faire cesser mes sueurs nocturnes, guérir l'ir
ritation de mon estomac, faciliter ma digestion
et me rendre l'appétit. Il y a dix huit ans que
je n ai pas eu un bien être comme celui que je
possède actuellement. J. Compare!, curé.
MAISON DU BARfiY, 12, riiede l'Empe
reur, Bruxelles. - En boîtes de 1/2 til., 4 fr.,
1 til., 7 fr 2 1/2 kil., 16 fr6 til., 32 fr.;
1 2 kil., 60 fr. Contre bon de poste. - Se tend fe
près chez MM. Frysou, Becntve, G. Veys,
pharmaciens, Mahieu, confiseur, et les premiers
PharmaciénsEpicierset Confiseurs dans
toutes les villes. 10.
et