EIKEH B00IHEN, BIDKIN BOOM LAND-G0EDEREN, TE KOOPEN. Catastrophe des Chevalières. Les ren seignements officiels recueillis par les jouruaux de Mons font connaître que quinze ouvriers sont encore ensevelis sous les éboulements provoqués par l'explosion du feu grison dans la fose de Saite Cathe rine des chevalières. Tous les efforts faits pour les retirer sont restés infructueux. Ainsi, on peut évaluer le nombre de victi mes 61 Depuis quelque temps; la mode de porter les ongles assez long règne parmi nos jeunes élégants; espérons qu'ils n'at teindront jamais la suprême distinction du grand prêtre du temple chinois San- Francisco, qui, nous écrit-on d'Amérique, porte des ongles plus longs que ses doigts, et qui sont tordus en spirale comme des tire-bouchons La nourrice de l'empereur Napoléon III, Mraf Bure, vient de mourir Marseille l'âge de 84 ans. On sait que son fils, M. Bure, frère de lait de l'Empereur, est atta ché la maison impériale titre de tréso rier général de la couronne. Nous trouvons dans le Jockey, les dé tails suivants, sur le club des patineurs qui vient de se former Paris Un nouveau club s'est fondé le club des patineurs, Scating club, comme on dit Edimbourg, la capitale du pays où l'on patine le plus. En Hollande, les fermières chaussées de patins vont la ville un vase plein de lait sur la tête, un ouvrage de tricot la main. En Norwége, les soldats font l'exercice du patin. En France, depuis une vingtaine d'années, on n'avait guère patiné que dans le Prophète, quand, il y a quelques trois ans, la mode du patinage est revenue. L'impératrice présidait cette résurrec tion. Des noms de patineurs furent cités le nom de M. Roulleaux du Cage et celui de M. Blount. Ce dernier avait inventé un costume. Un petit chapeau en carton pierre, rond, bas de forme, ailes raides et droites; une jacquette en velours de couleur bois, côtes, et de larges culottes de même étoffe des guêtres de cuir noir montant jusqu'au jarret. On a fait bien souvent l'éloge des beautés espagnoles; on nous a surtout vanté leurs magnifiques et riches chevelu res. Hélas! faut-il démontrer que,làcomme ailleurs, tout ce qui brille n'est pas... A Alicante, rue de la Douane, un mar chand a vendu, dans l'année qui vient de s'écouler pour plus de 10,000 réaux de faux cheveux! Alicaule compte peine 25,000 âmes! et ce marchand n'est pas le seul qui y vende du faux! La Revue Germanique nous apprend que dans certaines provinces de l'Hindous- tan l'on se sert d'un procédé bizarre pour empêcher les procès de se prolonger. Lorsque des collatéraux se dispullent des biens fonds légués par héritage, ou creuse au millieu du terrain contesté deux trous dans lesquels les avocats mettent leurs jambes, lis s'y tiennent face face et ils y restent jusqu'à ce que l'un d'eux remonte sur le sol, ne pouvant plus résister la fatique ou aux piqûres des insectes. 11 avoue son client vaincu et il le fait con damner aux frais et aux dépens. Une lettre de l'Inde, adressée au Times sous la date du 7 décembre, rend compte du fait dramatique qui suit: M. Gilbert, jeune officier en garnison àSecun- derabad, était sorti cheval un de ces derniers jours pour faire, dans les envi rons de la ville, sa promenade du matin. Le temps étant fort beaunotre jeune homme poussa son excursiou plus loin que d'habitude et se laissa conduire par sa monture travers la campagne. Arrivé au pied d'une colline délicieusement ombra gée, M. Gilbert descendit de cheval et s'étendit au pied d'un arbre. Il avait peine pris cette position, qu'un rugisse ment terrible se fit entendre derrière lui. C'était un tigre appartenant la grande espèce, connue sous le nom générique de tigre royal. D'un bond le tigre s'élance sur le jeune officier. Celui-ci, sans rien perdre de sa présence d'esprit intro duit son revolver dans la gueule du mon stre et lâche les huit coups. Le tigre roule terre avec un rugissement épouvantable; mais excité par sa blessure, il se relève par un nouvel et suprême effort, et, saisis sant M. Gilbert par le milieu du corps, il se met en mesure de l'emporter. C'en était fait de l'héroïque jeune homme, si plu sieurs ouvriers indiens, qui travaillaient dans les champsn'étaient accourus son secours, la vue du combat inégal qu'il soutenait contre son redoutable ennemi. Le tigre, se voyant poursuiviabandonna sa proie et regagna la forêt en toute hâte. M. Gilbert a été transporté l'hôpital mi litaire de Secunderabad; ses blessures sont des plus graves et font désespérer de ses jours. Le lendemain, les officiers de la garnisou ont fait une battue daus l'espoir d'abattre le tigre; mais nous n'avons pas appris qu'ils aient pu jusqu'à présent dé couvrir sa retraite. V1LLK 1VYPKK8. Le Collège des Bourgmestre et Échevins prévient les intéressés que le rôle de l'in demnité payer par les propriétaires pour l'établissement des Trottoirs de la rue de Meniu a été arrêté provisoirement par le Conseil en séance du 7 courant et qu'il sera déposé pendant 15 jours l'inspec tion des personnes imposées de ce chef. Fait en séance le 10 janvier 1865. les bocrgmestre et échevins, P. P2Z32. par ordonnance Le Secrétaire, J. DE CODT. VENDITIE OP PASSCUENDAELE, weinig wesl van de Mosselstraet. Op DONDERDAG 2" FEBKUARY 1865, zynde O. L. V. Lichtemis. le beginnen met den middagzal den Notaris CHRISTIAEN, by openbare Yenditie verkoopen, ten be- hoeve van Mr Iweins Uynderick, in zyne bosseben aen de hofstede van Sieur Louis Vermeulen, op Passchendaele, weinig west van de Mosselmarkt. 70 koopen Eiken, waeronder kuipers- Boomeu, eene groole hoeveelbeid Lyste Roomen en Plantsoenen byzonderlyk dienstig voor Tabac persen. enz. Op gewoone voorwaardén en tyd van belaling, mils goede borg slellertde. De vergadering in gemelde hosschen by koop 1 en ter herberg de Mosselmarkt. GEMEENTE KEMHEL, Dig' by deu molen van Si Terrier. In eene partie bosch genoemd Diepstuk, komende met eenen uitvveg aen den gravier van Kemmel naer Loker. 40 SCIIOOAE J Van eene dikte van 2 lot 5 meters 5 ABEELEN en 1 CANADA, DONDERDAG 26'" JANUARY 1865, ten een uere namiddag in 't voorschreven bosch, met langen tyd van betaling. Den transport is zeer geinakkelyk al gemelden keyweg en den steenweg van Nieuwkerke naer Yper. Den Notaris THERRY, te Nieuwkerke, is met deze Venditie belast. KANTOOR VAN DEN NOTARIS M A II I Kl. MAENDAG 16" JANUARY 1865, ten 4 uren 's avonds, 1er herberg den Karpel, Vischmarkl, t'Ypre, OPES B AllE VERKOOPItfG, in eenen Zitdag, van 1° Een Huis, oost de Rysselstraet, nr I, l'Yper, bewoond door M. Frédéric Wilde, zonder regt van pacht. 2° Een groot Huis met Achlergebouwen, aen dezuidzyde vau't armemeissenstraetje, nr 13, t'Ypre; gebruik door Woussen en andere. En 5° Zeven Woonhuizen, aen elkander, met hunne Gronden en Hovenierhoven, te Sint Jan. gehuchl bel Wiellje, bewoond door Gruson en andere; by plakbrieven in 4 koopen verdeeld met rpgt van zamen- voeging. Openbare erpachting van de DER KERk VAN 0.-L.-V. T1 P©IPIlKI]lfê]©!nII!, gelegen te POPERINGHEVVATOU, RENINGHELST, BOESCHEPE en GODEWAERTSVELDE, Voor 9 jaren ingaende Ie" Oclobcr 1865, Wyd beschreven by alom verkondigde Plakaelen om plaels te hebben Vrydag 13° Jan cary 1865, om 2 ure juist nanoen, in de afspanning Hof van Cassel, Casselstraet te Poperinghe, door hel ambt van den Notaris VAMDE- CASTEELE aldaer, by wie het cohiervan voorwaerden berust ter tennis neming van elkeen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 3