BOSCHTAILUEN BOOMEN, vi wievminrRi. OPENBARE VERPACHTING, aux environs de Senzielles, entre Mariem- bourg et Cerfontaine. En voyant arriver sur lui le train de marchandises venant de Mariembourg, le machiniste du train de voyageurs a arrêté autant que possible sa machine et a donné le signal d'alarme. La plupart des voyageurs, l'exception de ceux de troisième classe, ont pu quitter le train avant la collision. Un seul, le sieur Désiré Eglem. conducteur de la Compa gnie Van Geod, qui se trouvait dans un fourgon, a reçu d'assez fortes coutusions la tête, mais qui ne mettent nullement sa vie en danger les voyageurs de 5e classe en ont été quittes pour des contusions insignifiantes. Si ce qu'on nous rapporte est vrai le machiniste du convoi de marchandises n'a pas eu la même présence d'esprit que celui du train de voyageurs, car il aurait aban donné sa machine avant de serrer le modérateur Dimanche a commencé Louvain le triduum ordonné par S. E. le cardinal ar chevêque de Maliues, en réparation des horribles sacrilèges qui ont frappé l'opinion publique de stupeur. L'état de santé de Mgr. le cardinal Wiseman inspire les plus vives inquiétudes. M. Victor Hugo vient, dit-on, de vendre le manuscrit deson nouveau roman aux éditeurs belges-français qni ont publié le précédent, et il en retire un prix supé rieur encore. L'auteur des Misérables n'ap porte pas, dans la gestion de ses intérêts, les dispositions habituelles de l'auteur de Monle-Chrisloni de celles de poëte des Méditations religieuses. M. Victor Hugo a su amasser et conserver une belle fortune. C'est lui qui se trouve aujourd'hui le plus fort actionnaire de la Banque Nationale de Belgique. Depuis l'époque où le coup d'Etat l'a forcé de séjourner quelque temps Bruxelles, il possède en actions de notre principal établisement financier une valeur de plus d'un demi million. Un affreux événement a épouvanté ce matin, dit VEcho du Nord, journal de Lille, les ouvriers de la filature de M. Fouillet, rue du Curé Saint-Sauveur. Un ouvrier nommé Oscar Delespaul, âgé de vingt-cinq ans, marié, sans enfants, a été saisi par un arbre de transmission qui l'a entraîné dans son mouvement de rotation. Quand on a pu arrêter le mouvement de l'arbre, le malheureux avait les bras hor riblement meurtris et la tête fracassée. Il n'a survécu que quelques minutes ses èpouventables blessures. Une enquête est ouverte sur la canse de cet accident. On lit dans YÊcho de la Loire: Lorsque la terre est gelée ou couverte de neige, les oiseaux de proie, comme les autres animaux carnassiers, ont peine trouver leur nourriture. Pressés par la faimils deviennent d'une audace éton nante, témoin le fait suivant Samedi, deux enfants, un petit garçon et une jeune fille gardaient un troupeau d'oies dans une prairie de la commune de Lantigny, lorsque tout coup un oiseau au plumage fauve, vint s'abattre sur le troupeau et frapper coups redoublés une oie des plus grasses et des plus pesan tes. La troupe emplumée se mit fuir de tous côtés pendant que la victime se dé battait sous les serres de son ennemi. Les enfants, avertis par le vacarme, accouru rent au secours de la prisonnière, mais l'oiseau de proie s'élança avec fureur con tre le petit garçon, le piqua la figure de plusieurs coups de bec, et lui déchira les mains et les bras de ses serres. Le pauvre enfant poussait des cris de douleur et se roulait par terre sans parve nir se débarrasser de son furieux adver saire. La jeune fille d'abord épouvantée, vint ensuite au secours de son frère et frappa l'animal avec une branche de sanle qu'elle tenait la main. Mais l'oisean de proie ne cessa de déchirer les vêtements de l'enfant que lorsqu'il vit le palmipède qu'il avait terrassé se relever et se sauver clopin-clopant. La jeune fille se hâta alors de relever son frère dont la figure était inondée de sang, et de l'entraîner tout en appelant au secours. Pendant ce temps l'oiseau avait res saisi sa proie, etaprès l'avoir lacéré de vingt coups de bec, s'efforçait de l'empor ter et de s'élancer dans l'air. Mais la charge était trop lourde. Plusieurs fois il s'éleva quatre mètres de terre, mais il fut enfin obligé d'abandonner l'oie l'appro che d'un ouvrier qui accourait armé d'une pioche, o Une lettre adressée la Guietine, de Bordeaux, par M. l'abbé Dardenne, raconte an funeste événement arrivé dans la com mune de Mouliets. Dimanche dernier, deux heures et demie, un grand nombre de fidèles étaient l'église pour assister aux Vêpres. Le sacristain avait peine cessé de sonner, les vibrations de la cloche n'étaient pas encore entièrement élientes, lorsque tout coup un éclair illumina l'église d'un éclat éblouissant et sinistre. Au même instant, avant l'éclat du tonner re, qui a été formidable, un homme tom bait raide mort, atteint par la foudre le malheureux, appuyé contre la muraille, se trouvait le plus rapproché de la corde de la cloche. Le fluide a pénétré dans le clo cher par les larges ouvertures extérieures, attiré sans doute par le courant d'air et les vibrations de la cloche. La femme de cet infortuné était dans l'église au moment du terrible malheur qui la rendait veuve. L'Aigle, de Toulouse, a reçu la nou velle d'un événemene grave qui vient de se passer dans la commune de Caupenne Toute la famille de M. Minvielle, officier de santé, a été empoisonnée, Mm° Minvielle est morte et les antres membres de cette famille sont atteints de très fortes coliques qui les forcent garder le lit. On craint que M. Minvielle ne succombe ses vives sauffrances. On dit que des foies d'oie qu'ils mangèrent leur diner avaient été posés sur quelque objet contenant une matière vénéneuse. Voici une pièce curieuse, c'est un certificat de maire Nous sousigné, déclare que le sieur V..., mon adminitré, nous a déclaré vou loir expédier 50 kilogrammes de froma ges de brébis 40 kilogrammes de jambons 50 kilogrammes de poils de porc le tout provenant des habitants de ma commune. Un singulier incident a eu lieu avant hier au tribunal de police de Liverpool. Un homme, accusé d'avoir volé une mon tre avait choisi un avocat anquel il donna une montre d'argent pour honoraires. Or, il se trouva, raconte le Sun que c'était la montre même qui avait été volée. WOENSDAG 22e" FEBRUARY 1865 openbare verkooping van Boomen, Bosch- lailtien en Plantsoenen, op de bosschen toebehoorende aen de kerk der Gemeente van NVestoutre. A. Ten 9 uren 's morgens, te begin- nen op eene partie Bosch, gelegen te Re- ninghelst aen het Nedergravestraeljen. 50 koopen schoone Eiken en Abeelen Boomen. En B. Ten 2 uren namiddag te Wesloutre, in het gemeente Huis. De Taillie met de geteekende Plantsoe nen op 1 hectare98 aren 75 centiaren Bosch, gelegen te Westoutre en Beninghelst, verdeelt in 8 koopen, waeévan 5 blanketal- lie te kappen. DONDERDAC 25" FEBRUARY 1865, ten 9 uren fix voormiddagte Wesloutre, in het gemeente Huis. Van 11 hectaren, 44 aren, 89 centiaren Zaeilanden, Grasiveiden, Meersch, Ilovenier- hof en Grondengelegen in de gemeenten Westoutre, Dranoutre, Beninghelst en BoeS' schepe, breeder beschreven by plakbrieven, verdeelt in 54 loten, voor verscheide pagt- termynen die al zullen eindigen ten jare 1874. De kohieren van Lasten enVoorwaerden dezer verkoopingen en verpachtingen be- rusten ten Kantoore van den Notaris BEBTEN, te Poperinghe. Monsieur CÉSAR MITK1EWICK, photo graphe 9 rue Neuve Bruxelles a l'honneur d'informer sa clientèle qu'il se rendra Ypres pour quinze jours. Les personnes qui voudront bien l'ho norer de leur confiance sont priées de s'adresser chez M* LOPPENS, marché au Beurre, où une liste est déposée. Ils pour ront y voir son travail et s'assurer de la supériorité de ses productions. Nota. Les personnes abonnées au Jour nal des Dames et Demoiselles, de Monsieur Bruylant Christophe pourront y faire va loir leur prime d'abonnement comme Bruxelles. mairie de.... van EN

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Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 2