MAISON, HOFSTEDE ETAT-CIVIL DTPRES, PATURES GRASSES, MAISON A DEUX DEMEURES, Dans sa séance de mercredi dernier, la Chambre des représentants a terminé la discussion des articles du budget du dé partement de la guerre pour l'exercice courant et adopté l'ensemble de ce bud get, s'élevant 34,904,950 fr., par 64 voix contre 29 et 8 abstentions. Un sermon de Charité sera prêché par le P. Leburton de la compagnie de Jésus, Vendredi 10 c', 5 h. du soir, en l'église de saint Martin. Nous recommandons d'une manière toute spéciale nne nouvelle combinaison, au moyen de laquelle on peut recevoir, pour 9 francs, huit beaux objets différents. (Voir aux annonces.) Avant-hier soir, la plupart des bâti ments de la ferme occupée par la veuve Debeir, Isenberghe, sont devenus la proie des flammes trois bêtes cornes ont péri dans l'incendie. MARCHÉ D'YPRES. DES MM. G. Rosimont et C'", directeurs de la Compagnie d'assurances contre la mi lice, ont l'honneur de prévenir le public qu'ils descendront le Vendredi10 Fé vrier, l'Hôtel S-Georges, Poperinghe, et le Samedi, 11 du même mois, l'Hôtel des Trois Rois, Grand'Place Ypres, où ils se trouveront la disposition du publicde 9 heures du malin 6 heures du soir. ALDAER OPENBAERLYR TE ROOPEN. Op MAENDAG 6" MAERT 1865, om 3 uren namiddag, te Watou-plaets, ter her- berg bewoond door Amandus Foort, zal den Notaris CAPELLEovergaen tôt de openbare verkooping van WATOU, by de plaets, langs de keiwegna den Abeele, Eene patrimonieele Hofstede, inhouden-) de aglervolgens kadaster maet 10 hectarea 40 aren 10 ceutiareu bekend art. 927 der» matrice. lu pagt gehouden door den roedever- kooper Jocobus Verbouwe, mits 1000 fr. 's jaers, boven de contribulien, tôt 1" Octo- ber 1882. De voorwaerden, lasten, bespreken, ty- telen, bescheiden en plan deze Hofstede, berusten ten kantoore van voornoemden Nataris Capelle. Men make het Rtiglbaer. Le LUNDI, 13 FEVRIER 1865, 2 heu- res de relevée, chez le sieur Deun, hôtelier NVarnêton, il sera procédé l'ADJUDI CATION définitive d'une 3 HECTARES 31 ARES 60 CENTIARES, PATURES GRASSES Formant un seul bloc, situé audit War- nêton, près de la ville, l'ouest de la Chaussée vers Ypres, divisé en six lots, sauf accumulation. MISE A PRIX de la masse 22,100 frs. Les Notaires C£Â211TjLjûL. War- nêton et VAXDERMEERSCH, Ypres, sont chargés de cette Vente. Et s'il est vrai que c l'igoorance et l'immoralité soient en progrès dios la populalion féminine, c'est, en d'autres termes, assigner la cause du mal h la concurrence que tant d'écoles privées, où rieo ne s'enseigne en dehors de la fabrication des den telles, sont venues faire depuis plusieurs années a l'école Lamotte; c'est, en un mot, rendre aux Sœurs de Marie un témoignage d'autant moins sospect, que la critique malveillante d'un ennemi se traosforme logiquement en un hommage invo lontaire. Il est vrai que l'organe do jeune libéralisme a des préoccupations que nous démêlons sans peine. C'est aiosi qu'en s'apitoyant sur le sort des jeones élèves de l'école, il se les représente pâles, raai- gres, cbétives, misérablement courbées, six sept heures do jour, sur leur petit carreau, marmot- tant des prières chantant des cantiques. Cet accès de sensibilité du confrère nous plaît. Il est de bon ton de s'attendrir sur la pâleur et les privations du pauvrequand on a boa cœur, bonne chère et bon teint. D'autres peut-être envisagent les misères de leurs semblables avec plus de sérénité; elles ont vu sans doute la pau vreté de plus près; elles l'out consolée chez autrui; elles l'ont partagée elles-mêmes; elles se sont faites ses épouses et ses victimes. Mais ce n'est pas tout cela encore, insiste notre interlocuteur. Eh quoi donc, marmotter des prières, chanter des cantiques! Oh! qu'elles sont supérieure- meot matées! Oui, voilà bien l'oreille qui perce! Voilà confrère, ce qui vous alarme. Si voos aviez tant b cœur le bien-être sanitaire desjeuoes apprenties, que ne reportez vous les mêmes solli citudes sur tant d'autres écoles incomparablement inférieures soos le rapport matériel et hjgiéoique b l'école Lamotte?... Marmotter des prières alors que la chronique scandaleose do quartier égalerait bieo mieux le petit carreau des jeunes causeuses. Chanter des cantiques! y avez-vons songé, Sœurs de Marie? Mais la chansonnette des rues aurait bien plus d'attraits. Que voos êtes en arrière du siècle et de l'opinion. Je sais non loin, de chez voos, un atelier, il est modèle et en porte le titre; là on joue au travail et l'on jure en chantant! 11 nous reste on dernier point b vider avec notre contradicteur. Malgré nos affirmations réitérées, l'Opinion se refuse b croire que le Bureau de Bien faisance ait jamais retiré ou menacé de retirer ses dons aox pauvres qoi refusent d'envoyer leurs en fants b toute autre école que l'école communale. Pareil acte, s'il était constaté, l'Opinion ne crain- derait pas de le taxer de fait odieux, d'acte de violence et d'oppression, et aujourd'hui encore elle déclare maintenir sa première appréciation. Il y a, dit-elle, dans cette mesure, quelque soit le mobile qui l'a inspirée, un caractère de vio- lence contre lequel les amis de la liberté doivent protester. D'accord, et nous prenons acte de cette déclaration.Mais qoant b citer des noms propres, n ainsi que Y Opinion nous y convie, qoaot b convertir de pauvres pères de famille en accusateurs de leors pauvrissenrs, quant b nous faire un jeu de leurs intérêts les plus légitimes sans égard pour leur état de dépendance, c'est ce que le rédacteor anonyme de l'Opinion n'a pas le droit d'exiger de nous. Au reste, si le fait que nous avons signalé est faux, que ne provoque-t-il contre nous, de qoi de droit, uo démeoti Det et catégorique? Ce démenti, bâtons oous de le dire, nous l'accueillerons avec empressement, car nous serions heureux d'ap- preodre qu'il est faux (quoiqu'il n'y ait pas de ménage a charge do Bureau de Bienfaisance qui hésite b le croire et b l'affirmer,) qu'il est faox que jamais maître des pauvres se soit prévalu de scu influence pour imposer aux familles iodigentes une école de sou choix. Qae l'on fasse taire ces bruits, s'ils sont erronés; mais pas de rélicences, pas de faux-fuyants, pas de phrases. Que l'on apaise les craintes des parents pauvres, si elles sont chimériques; mais loyalement, efficacement, sans arrière-pensées. Pareil démenti nous n'espéroas pas l'obtenir; pareille tolérance nous ne l'attendons pas des prétendus libéraux. Maintenant que l'organe des jeunes se prévale de la réserve dont nous ne pouvons encore nous départir qu'il concilie b sa guise ses belles pro testations en faveur de la liberté avec sou inalté rable confiance dans le libéralisme vrai de ses amis politiques. Le confrère nous a toujours parn plus solide en théorie qu'en pratique. Il affectionne bien de certaines allures indépendantes, et ne veut pas qu'on le confonde dans l'attelage minis tériel; mais partout où la question religieuse est engagée, les préjugés des vieux libéraux et leors traditions étroites sont les siennes, et sous le bon net du libre-penseur noos retrouvons la perruque doctrinaire. nouvelles diverses. DU Î7 JANVIER AU 5 FÉVRIER 1 865. Naissances 9. Sexe masc. 6, sexe fém. 3. Mariage. Reynboui, Florimoud, maréchal- ferraoi, et Vlaemynck, Marie, dentellière. DÉCÈS. BeernaertDominique, 71 ans, militaire pensionné, éponx de Thérèse Pacco, rue des Bouchers. Delaplace, Albert, 29 ans, do mestique, célibataire, rue au Beurre. Desauvage, Léonard, 55 ans, colporteur, veuf de Barbe Goo- tier, (décédé Dixmude). Velghe, Jean, 48 ans, tailleur, époux d'Anne Vanlooy, rue Notre Dame. Talon Joseph67 ans, journalier, époux de Dioa Kieken, rue des Boudeurs. Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe masc. o, idem fém. 5. ETAT Indiquant Ira quantité» et le prix moyen de* Grain», Fourrage* et autres produit» agri cole» vend un, le 4 FEVRIER IHtti.uu marche de cette villes NATURE t.raln* et Denrée». QUANTITÉS VEKDL'ES. kilogrammes. PRIX «•ÏKX par 100 kilogrammes. 5 i 0 B S r S 1 4 Froment 36,200 22-5O 80 8,700 I5*75 7» 60 1,100 18-35 45 1,442 jg-4! 8Î 40 Féveroles. 2,060 2o-38 8Î 40 Pommes de terre. 8,5oo 7-00 Paille Beurre 3oo-oo Pain de farine de froment brute 21 c' le kilo. Idem pour les Fondations de 3o cs, i,4oo grammes. PATRIMONIEELE gelegen TE WATOU by de plaets, «awaVBT EXCELLENTES avec A VENDRE A WARNÊTON. GRANGE,ÉTABLE ET d'excellentes non occupées;

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 2