o Âi Ti irIHI ks7 Il L IS, TWEE HOFSTEDEKENS, celant au soleil, lesrobesbrodéesdesequins en or, les loquets extravagants, les couleurs tranchantes, criantes, qui semblent mettre le pistolet sur la gorge du public pour exiger son attention. De là le rouge sur les vêtements, sur les joues, sur les lèvres, le noir sous les yeux, les visages repeints neuf pour faire de l'effet sur les spectateurs placés quelque dislance, el les bottes, les vestes de hussard, les casquettes, les habits, etc. Et ce n'est pas tout: on entend les élégantes parler l'argot des palefreniers et jouer de grosses sommes. Le courriériste conclut par ces mots: Il est possible que les courses aient produit l'amélioration de la race chevaline; mais en tous cas ces courses n'ont pas eu pour résultat l'améli ora liondelaraceféminin^ ANGLETERRE. Le docteur Pritcharden arrivant Glascow, a demandé de pouvoir avoir une entrevue avec Mary M'Leod, qui était reve nue depuis la veille en celle ville. Celte demande naturellementn'a pas été ac cueillie. L'insuccès de sa démarche a jeté le condamné dans une fureur impossible décrire. Je l'avais bien dit, s'est-il écrié, elle devait être la cause de ma mort. On a dû l'enfermer dans un cabanon après lui avoir lié les mains. La crise a duré une demi-heurepuis le condamné est rentré dans le calme qui ne l'avait pas abandonné depuis le jour du jugement. Le soir, sa fille a été introduite dans sa cellule. 11 se passa alors une scène déchi rante; le malheureux père se jeta aux genoux de sa fille, lui demandant de prier pour lui afin qu'il put recevoir son pardon de Dieu et des hommes. Oh! mon père, s'écria la noble el courageuse enfant, Dieu vous pardonnera sa clémence et sa misé ricorde sont infinies. Le docteur tint longtemps sa fille serrée contre sa poi trine; lorsque le moment de la séparation fut venu, il tomba évanoui. Cette entrevue a ouvert la voie du re pentir au docteur Pritchard. Le lendemain il fit au directeur de la Drison, qu'il avait prié de se rendre dans sa cellule, l'aveu complet de son crime. Il se reconnut cou pable de la mort de Mrs Pritchard, sa femme, disant qu'il avait voulu se délivrer par le moyen du poisou, des liens du ma riage, afin de pouvoir donner un libre cours la passion criminelle qu'il avait éprouvée pour Mary M'Leod. Quant la mort de Mrs Taylor, le docteur persiste avec la plus grande énergie déclarer qu'il n'y a participé en aucune façon. Il avoue seulement avoir mis de l'aconit dans la solution sédative que contenait la fiole trouvée dans le vêtement de Mrs Taylor après sa mort. L autre jour, rapporte le Sundertand llcrald, un couslable qui conduisait un bomine dans la prison de Durham, entra chez un barbier pour se faire raser. Le constsble avait peine le menton savonné que le prisonnier, jugeant le moment favo rable, s'enfuit toutes jambes. Le barbier, le rasoir en main, s'élance de sa boutique, aussitôt suivi du policeman, la serviette autour du cou, et ils se mirent courir auprès lui, la grande surprise les spectateurs, qui les prirent pour des fous. Le fugitif fut rattrapé, ramené dans la boutique el soigneusement attaché jus qu'à ce que le barbier eut achevé sa be sogne. non sans avoir fait une ou deux entailles la joue de sa pratique, car la main de Figaro tremblait encore de l'émo- ion d'une longue course. ITALIE. Le mouvement religieux s'est manifesté dernièrement Turin d'une façon tout fait digne de remarque. A l'occasion des élections municipales on a vu sortir de l'urne la tête des élus trois noms qu'on était bien loin d'attendre. Ce sont le lieu tenant géuéral comte Gerbaix de Sonnaz, vieux soldat qui avait sous ses ordres, en 1848, le Roi actuel, alors prince hérédi taire, et pour lequel Sa Majesté a gardé une affection toute particulière; le comte de San-Martino, et en troisième lieu le chevalier Xavier Vegezzinégociateur du cabinet de Florence avec le Saint-Siège. Après ces trois noms viennen cinq ou six candidats du commerce et de l'industrie représentation incolore des intérêts locaux, et en dernier lieu, quatre peine parmi les candidats du parti libéral, tels que les députés Lîoggio lierti etc., avec un tiers ou un quart seulement des voix qu'ont obtenus les chefs de liste. L'Italie annonce que le gouvernement italien a spontanément fait savoir au Saint- Père que les évêques éloignés de leurs dio cèses dans ces dernières années pourraient y être rappelés dans la forme et avec les précautions dont le Saint Siège lui-même a reconnu l'opportunité alors que, dans les négociations, ou avait traité celte ques tion. (Nazione.) MARCHÉS. Seigleiu 00. Homme, de terre 1er .00 kilogrammes, 0-00. MARCHE D'Y PRES. 25,4oo 23-12 80 16 oo t ,ooo 5i5 2 1-11 01' 7 AU 14 JUILLET INCLliS. BOSCH.» EIDE, JIEERSCII EN LAND, OVERSLAG, VRYDAG 28°° JULY 1865, om 4 tire, in de Chasseur, te Poperinghe, by S1 Janskerke, van 1° Met STERFHUIS, Casselstraet, te Poperinghe, der wed* Vandewinckel. 2" 6", Hect. 3-44 aren, LAND le Reningbelst, by cadaster B 576, 644, 645, 649, 650", en 651. 7° 9° - llect. 2 84 50 LAND, MELRSCH en WEIDE te Reningbelst, C 424, 519 en 520. 10° Een BOSCH van 68 aren 90 c1. te Reningbelst, 15 148. Ten overstaen des Heer Vrederegter, en door de Noiarissen VAIS DE CASTEELE en ItERTElS te Poperinghe, den eerslen in regte acngesleld. OVERSLAG n m ih y d 2 i m I—-I.O'I tm-i De Notaris CHRISTIAEM, te Passchen- daele, zal op Woensdac, 26e" July 1865, ten 3 uren namiddag, ter herberg van de kinderen De liurgltgrave, te Westroosebeke in het dorp, overgaan lot den OVERSLAG van de volgende Coederen, gelegen op W estroosebeke, le weten 1"— Een aldersehoonst HOFSTEDEKEN, groot in erve hect. 4 18 76. gebruikt door den medeëigenaar Jean Collez, verdeeld in 8 koopen. Staat in massa fr. 17,000 2" Een HOFSTEDEKEN, groot hect. 2 15 55, gebruikt door Decutjpere, verdeeld in 7 koopen. Staat in massa fr. 8,800-» 3° 11. 0 69 60 ZA Al LAND en BOSCH, gebruikt als vooren. Staat fr. 2.000 4" Een HUIS en It. 0 53 20 ERVE, gebruikt by Ververken. 5° Een scltoon HUIS, Rrootlbakkery, verdere Gebouwett en 8 aren 91 centiaren ERVE, gebruikt door de eigenaar. En 6" Een HUIS en ERVE, gebruikt by Vinckier. Staat fr. 2,450 De voorwaarden bydiio Notaris en vnor de 16 eerste koopen iniichtingen te beko- men by de Notaris DE TAVEIISIEH, te Langemarck. ru ix par 100 kilogrammes. ho.pk.lting1112>4 juillet, 8o5 Fromenthectolitre, fr. 17.50. Avoinej,|. 8-ï>. Kenrre t.: kilogramme-j yo. II011I1I01) les 5o kilogrammes, fr nn-r». ET T Imlh|iiuHt Ion quantité# et le prix moyen île# Grain#, Fourrage# et antre# produit# agri cole# vemlu# le 15 JilILFI I S«»5 au marche de cette ville: nature quantités VENDUES. DES Crains et lit-urée». KUojr.mm.-,. Froment Seigle 7,100 73 fin a voirie 2 2 OO 45 20-99 82 40 Fé-prolps. t ,o3o 82 40 Pommes de terre. 6,ooo 7-62 Beurre C en a 0 Pain de farine de fromeol brille 22 c' le kilo. Idem pour les Fondations de 3o c*. t,36o «ram. Naissances 8. Sexe raasc. 3, sexe fe'in. 5. Décès. Derolé, Jacques, 65 ans, cordonnier, époox d'Adele Vitse, rue de Meuio. E*"lamey, Marie, 74 aos, sans profession, épouse de Pierre Leupe, rue des Recollets. Faes, Natalie, 5i ans, fripière, épouse d'Édouard Roffiaeo, Grand' Place. Taveroier, Constantin, 81 ans, serrurier, »eof de Marie Teerssen, Marché au Bétail. Enfants au-dessous de 7 ans 7. Sexe inasc. 4, idem fém. 3, ÉTAT-CIVIL DE POPERUVGDE, lin 7 au 14 Juillet iuclu#. Naissances 3. Sexe masc. 1, idem fém. 2. Mariages. Van Reoyughe, Félix, céliba taire, 26 ans, cordonnier, el Vergeele, Rosalie, célibataire, 35 ans, ouvrière. Uzeel, Charles, célibataire, 26 ans, cordonnier, et Mahieo, Virgi nie, célibataire, 32 ans, dentellière. Décès Room, Amelie Cornélie, 45 ans, épouse de Fidèle Couwet, rue du Poivre. Goe- maere, Henri, 8 ans, Helhoek. Enfants au-dessous de 7 ans 7. Sexe raasc. 3, idem fém. 4. gelegen TE POPERINGHE EN RENINGBELST. Ingesteld 2,200 francs. Ingesteld 9,325 francs. Ingesteld 7,700 francs. Ingesteld 11,000 francs. Hlasse der koopen 2 10. 21,200 fr. van OP WESTR00SEBEKE. Staat fr. 2.550- Staat fr. 10.500- <1 V F

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 3