YINDITI! VAN IMBELS,
BEES TÏ A LEN,
ÉTAT-CIVIL D'YPKES,
MARCHÉS.
vntkooi>i\<;
endroit de la maio; mais »oos êtes peol ê're irop
peiite pour »oir ce que je »oos mootre, ajouta t-il,
et ai vous vouliei rue permettre de «o-iS aider k
vous soulever sur la pointe de vos pieds, vous
seriez bientôt rassorte, car, je voos le répèle, on
vous fait signe ll-bas.
La paovre femme, de plus en plus inquiète de
soo isolement, consent a s'appuyer sur le bras qoi
lui était offert de si bonne giâce, voit k quelques
pis sod mari qui I* cherche du regard, échange
uo coup d'oeil a»ec loi, puis remercie «l.eujeul son
protecteur qui alors s'rff >rce de fendre la foule
pour compléter le service qu'il veuaii de reudre.
Tcnt ceci se passa eu beaucoup moins de leuips
qu'il n'en faut pour le raconter, et quaod la con
fiante darue eut rejoint son mari et qo elle sa
retourna pour remercier celui qu'elle regardait
comme son libérateur, elle ne le relrou»a plus près
d'elle il s'était glissé k travers la foule. Mais ce
qu'elle ne retrouva pas non plus, par exemple, ce
furent sa chaîne, sa montre, sa bourse el un fort
beau bracelet qu'elle portait au bras avec lequel
elle s'était appuyée sur le monsieur, qui n'était,
comme on le comprend qu'un très adroit pick
pocket.
Le Sport nous apprend qn'k Maçon on a fait
uo jardin public fort étroit; le maire a décidé que
la musique des pompiers viendrait y jouer el qu'il
y aurait des chaises pour les dames; mais comme
l'encombrement était k craindre il a fait placer uo
écritean por tant ces mots '.Jardin public réservé.
Les Maçonnais, après avoir lu celle étrange ré
daction, se sont regardés, ont ri d'abord, puis, la
colère les ayant pris, ils ont enjambé la palissade
et ont pris le square d'assaut.
L'affaire ne paraît pas avoir eu d'autres suites.
On aurait fait comprendre au maire que puisque
le jardin était publicil ne pouvait être réservé,
et que, s'il était réservé, il n'avait plus sa desti
nation primitive.
Le Petit Moniteur de Paris nous apprend
que la production artificielle des huîtres serait sur
le point d'entrer dans une nouvelle phase, et
qu'elle pourrait désormais suffire la consomma
tion si considérable de ce mollusque. Comme c'est
le Petit-Moniteur qui nous donne celle uouvelle,
et que rien ne nous autorise douter de sa compé
tence en ces matières, elle ne peut inauquer d'être
favorablement accueillie, car la partie du public
qui aime ces petites bêtes ennacrées suivait avec
nue véritable terreur les progrès de l'ostréiculture.
Dieu nous garde de médire de la scieuce el de mal
pailer des huîtres, mais nous oous souvenons d'un
temps où les enfants, en allaut l'école, pouvaient
faire meure daus leur petit panier une demi dou
zaine d'huîtres au prix de dix ctniimes. A cette
époque, que seize ans séparent de la nôtre, ou en
tendait crier dans la rue A quatre sons, les
cancale, quaiiesous! La chair était exquise, et
les pauvres tables n'en étaient pas toujours ptivées.
Aujourd'hui, sauf les huîtres de choix, qoi va
lent i fr. 5o c. la douzaine, les mollusques sont
hors de prix, et, de plus, d'un goût fort médiocre.
L'ostréiculture n'est point responsable de la situa
tion sans doute, mats a quoi peut elle bien servir,
si eo dépit de ses efforts les huîtres sont moins
bonnes et plosrhères que par le passé? [Temps)
Deux jeunes fiancés, habitant Paris, Edouard
Dav. et Amélie de N... viennent d'être victimes
d'une coupable manoeuvre dont les tribuoaux au
ront prochainement a connaître.
Camille G... et soo camarade, Edouard Dav.,
aspiraient de pair k la main de mademoiselle de
N... Quaod celle ci fit définitivement conoaine sa
résolution d'agréer le second, le rival évincé, qui
n avait pas cessé d'être l'ami d'Edouard, tout eu
étant soo concurrent, résolut de délroire ou boa-
heur qu'il ne pouvait partager.
Hier donc il accourt tout essoufflé cbex son
ami, et, après tontes sortes de précautions oratoi
res prises pour donner plus de véracité k soo récit,
it annonce k Edouard que sa prétendue s'est notée
la veille daos une partie de plaisir.
Edouard s'en alla froidement se jeter k la Seine.
Persoooe ne comprenait rien k cet acte, et on
croyait k on accès de folie, quand Camille, eo e-
aoi présenter ses condoléances k la jeune fille
*»«ut d'être épouse, lai rappela qu'il l'ai
mait toujours. Ce lut un liait de lumière pour
l'amante, qui eut bientôt tout découvert. Sur sa
réquisition le jeune homme a été *nê<é et on
s'attend k un des plus intéressants piocès que con
tiennent les annales judiciaires de notie époque.
DU 8 AU 15 SEPTEMBRE INCLUS.
Naissances, i 6 Sexe masc. 8, sexe fém. 8.
DÉCÈS. Debnsschere. Jeanne, 86 ans, sans
profession, veuve de Pierre Ttemery, rue de Lille.
Pieters, Léopold, 20ans, journalier, célibataire,
rue de Menin. Nrkelson, Constance, 69 ans,
couturière, épouse de Fiançois Catry, rue des
Veaux. Viaene. Octavje, 19 ans, dentellière,
célibataire, rue de Menin. Verlynde, Anne,
91 ans, dentellière, célibataire, rue de la Boule.
Enfants au dessous de 7 ans 4. Sexe
masc. 3, idem fém. 1
ÉTAT-CIVIL DE POPER1 NIC II E
■in Nrptcrabre au S S laelna.
Naissances 7. Sexe masc. 4, idem fém. 3.
DÉCÈS. Gavele, Jean François, 56 ans, ou
vrier, époux de Sophie Berlier, rue S'- Michel.
Chrisliaen, Benoît, 55 ans, scieur de long, éponx
d'Antoinette Doflnu, rue du Nord. Bouleangier,
Joseph, 84 ans, particulier. Decorte, Jules, 10
ans, Peselhoek.
Enfants au-dessous de 7 ans 4. Sexe
masc. 2, idem fém. 2.
ROULERS, 1 2 sept. Prix par hect. et 11a
Froment blanc, fr. 29 00 k 5o 00 id. roux,
2 5 00 k 26 00 id. d'Australie 27 00 k 28 00
seigle, 16 00 k i6-5o; avoine, 11 00 k 1 2-00;
léveroles, 25 co k 27 00; primates de terre, les
100 k., 4 75 k 5-00 beurre, le k., 2 72 k 5 OO;
oeufs, les 2 5, 1-72 k 1-81; petits cochons, 2 5 00
k 28-00. Huile de colza, par io3 k., fr.
106-00 k 106 5o; id. de lin, par io5 k., 87 00
k 87 -5o.
FURNES, i5 sept. Prix par 145 litres:
Froment, fr. 24-5o s 28-25; seigle, 17 00 k
i8-5o; escourgeon, 17 75 k oo-oo; avoine,
i4-oo k i5-oo; fèves, 20 5o k 00 00. Il y
avait au marché 993 sacs de froment, 23 de seigle,
177 d'escourgeon, 26 d'avoine et 8 de fèves.
P0PER1NGHE, i5 SEPTEMBKE, i865.
Fromenthectolitre, fr. 18-62.
Seigleid. 12-00.
Avoineid. 8-o-.
Pomiues de terre les :oo kilogrammes. 7-00.
Beurre le kilogramme, 2 go.
Houhlon les 5o kilogrammes, fr. 100-00 ii5-oo.
MARCHÉ D'YI'RES.
ÉTAT Indiquant les quantités et le prix moyeu
des Grain*, Fourrage* et autre* produit* agri
cole* rendu* le 10 NLPTENBHE 1*4*6, an mar
ché de cette ville t
NATURE
OEI
Gralaa et Deuréea.
quantités
VENDUES.
Ktlograrr. an
phiX
HtVKS
par 100
kilogramme.
5
I 1
a
0
a.
Froment
25,5oo
24 5o
80
Seiqle
i i .800
i5 25
73 60
2,5OO
16 75
45
f oi s
206
19 41
82 4o
Féteroles.
6.8
2! 35
82 4o
Pommes de terre.
8,4oo
6-25
Beurre
275 00
Pain de fzrine de froment brute 22 c1 le kilo.
Idem poar les Fondations de 3o c', i,S6o grsm.
•jj a 3 3 2 1 a» a a
AERDAPPiil.S, hoppe perssen,
RB1I»- EN KEERNALLAEM
en van andere voorwerpen
T E lt 1: I C, Il E L S T.
9L/^*5iT-
VRYDAG 29" SEPTEMBER 1863, om
twalf uren 's middags. len verzoeke en
behoeve van sieur François Hervoet, op
d'hofstede door hem gebruiktgelegen
tusschen de Keniinel en de Ooslersche
Clyite strael, weinig noord-west der partie
bosch tien Prol, zal'er gebouden worden
vrywillige Vendilie van MECIiELS, als
Stoelen, Tafels, Hanken, 5 Kofïers, Kasse,
Koper-, Tin-, Blek-, Yzer-, Galeys- en Aer-
dewerk; voorts va» Keern. Kuipen.Standen
en Seulen; Kegge, Molle, dry Zogerkoten,
4,000 hoppe l'erssen; 2'2aren Aenlappels;
zes bekalfde Melkkoeijen; iwee Jaerlingen,
2 drynkeling halvers en van Bratulhout.
Den tienden penning en de andere voor-
bespreken als ook de koopen van zes fr.
en Jr.er beueden contant le belalen voor
de koopen bpven de zes francs tyd van
belaling mils hekende borg te stellen ten
aenveerden van den Notaris LUCIEN, te
Reninghelst, belast met deze Vendilie en
onlvangst. Will het ruchlbaer maken.
Cette combinaison nouvelle, basee sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec nn bon
heur remarquable toutes les condition*
du problême de la médication purga
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
Lris avec de très bon* aliments et des
Dissons fortifiantes. il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. La dose est facile regler selon l'Age ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilites le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure el le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. (.a fatigue de la purgalion étant
complètement annulée par l'effet de la bouue alimention pres
crite, ou se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. l^s médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'allaiblir. La lon
gueur du traitement u'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, au'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quànd
il s agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes el bien d'autres maux réputés in
curables, mais oui cèdent une purgalion régulière el long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du
docteur Dchuul, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du l)' ll«*baut, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. el 2 fr. 50 cent.
Dépôt chez M. FRYZOU, pharmacien, Yprès.
LA N II ROT VY ERS ALLA A TU
ESC
ter hofstede
GEBRUIKT BY SIEUR ENGEL KESTELYN,
By de Groote lenrstraate.
TU KliilL.
DONDERDAG 28" SEPTEMBER {865,
om iwee ure 's namiddags, zai men ter
gemelde hofstede puhliek Verkoopen
Landboowers-, Kuip- en Keernallaam,
34 nren Aardappels, eene wine Bastiere,
200 bondels klaver llooi, 1.000 Hoppe-
perssen en veele andere Objecte».
Voorls 3 bekalfde Melkkoeijen,
2 idem 18 maattde Veersen,
5 jnarling Kalvers,
En 2 vetle Zwyns.
Tyd van belaling mils goede borg
slellende.
Madame TIC7C0?., te Meessen, is
met de condilien dezer Verkooping en
ontfangsl belast.