ANTI-RHUMATISMALE LA OUATE CHIMIQUE OVEÏÏSLAG dres du fond en comble, une maison cinq demeures, habitées par des ouvriers etappartenant Rosalie Denorme, épicière, tous domiciliés Sien in. Une grande partie de l'ameublement de ces cinq ménages est devenue la proie des flammes. La perte s'élève approximativement 4,150. Rien n'était assuré. L'Europe est la plus civilisée des cinq parties du monde, cela se dit tous les jours, et il serait du dernier maladroit de le contester. Or, si nous examinons celte contréeen détail, dit une feuille parisienne, voici les qualités que nous trouvons assi gnées partout aux principaux peuples qui l'habitent On dit ivrogne comme un Suisse ou comme un Polonais, gueux comme un Espagnol, vindicatif comme un Italien, grossier comme un Anglais, querelleur comme un Allemand, avare comme un Juif, brutal comme un Cosaque. En revanche, les Français se répètent du matin au soir qu'ils sont les plus spiri tuels des hommes. Voici pourtant de quels éléments se compose cet esprit, s'il faut croire aux proverbes concernant cette nation qui porte si haut le flambeau de la civilisation, d'après les discours universi taires La niaiserie d'un Champenois; la forfan terie d'un Gascon; la duplicité d'un Nor mand; l'intempérance d'un Frovençal; la mauvaise foi d'un Lorrain, vilain, traître Dieu et son prochain l'entêtement d'un Picard la stupidité d'un Breton. Et voilà comment les Français forment dans leur ensemble le peuple le plus spiri tuel ^elaterre^^ M. Stephens, le célèbre chef des fenians, a dîné vendredi chez M. le marquis de Boissy. Ce dîner présentait un intérêt réel; M. Stephens s'est longtemps entretenu avec les hommes politiques que l'honorable sénateur avait réunis et parmi lesquels on remarquait M le général comte de La Rlie, sénateur, M. de Saulcy, membre de l'In stitut, M. E. Ollivier, député, M. Hubert Delisle, sénateur, M. de Monlemarl et M. de Villemessanl, directeur de CEvénement. Le 12 de ce mois, dit le Courrier de l'Ain un triste événement a consterné le bourg de Neuville-les-Dames une jeune fille, âgée de treize ans, est morte avec les symptômes de la rage. Un chien avait été placé en pension chez le sieur Guyot, aubergiste Neuville, en viron trois semaines auparavant. Des symptômes de rage se manifestèrent chez cet animal; Guyot fut averti par le garde et les voisins, mais il n'y crut pas. Il dut bientôt céder devant l'évidence; ce chien en avait mordu plusieurs autres et la rage sélait déclarée; il fut abattu ainsi que les chiens qu'il avait mordus. Mais celte mesure était prise trop tard. Dimanche 8 avril, la petite Marie Guyot donna des signes d'bydrophobie; la mala die prit bientôt des caractères effrayants; des médecins furent appelés, mais en vain. Ce 12, deux heures de l'après midila pauvre enfant rendit le dernier soupir, après avoir lutté durant trois jours contre de cruelles souffrances. L'enfant n'a pas été mordue par le chien; mais elle avait un bouton la lèvre et comme elle jouait souvent avec l'animal, on présume qu'il lui a inoculé le mal en lui léchant le visage. Un fait épouvantable, dit le Messager de Provencea jeté la consternation dans la ville d'Aix. Lundi dernier, dans la ma tinée un marchand de foinnommé François-Hyppolyte Philip, âgé de trente- deux ans, demeurant rue du Bras-d'Or, a succombé un accès d'bydrophobie. 11 y a un mois environ, il se trouvait sur une route près de Salon, lorsque son propre chien qui l'accompagnait le mordit la joue, se jeta ensuite sur d'autres chiens et disparut; on ignore ce qu'il est devenu. Philip, qui n'avait aucune raison de croire son chien enragé, ne jugea pas né cessaire de recourir un médecin et d'em ployer les moyens préventifs usités en pareil cas; il n'y songeait même plus lors que, samedi dernier, l'hydrophobie s'est violemment déclarée, et ce malheureux a péri après deux jours de souffrances atro ces. La période d'incubation a duré vingt- cinq ou vingt-six jours. Un des patriarches de l'arrondisse ment de Cholel, le nommé Pierre Humeau, de la Poilevinière, terminait le 27 mars derniersa longue carrière. Né le 2 dé cembre 1763, il avait par conséquent 102 ans 5 mois et 24 jours. Pierre Humeau était atteint de surdité; mais ou ne lui connaissait pas d'autre infirmité. Son in telligence avait conservé toute la fraîcheur de la jeunesse et souvent ses bons mots déridaient les fronts les plus soucieux. Sa maladie ou plutôt son indisposition n'a duré que six jours. Pierre Humeau avait fait toutes les guerres de la Vendée, en 1793, et quand, Nantes, sur la place Viarme, Gatbelineau fut blessé, ce fut lut qui le reçut daus ses bras. Les grèves se multiplient en Angleterre. Les blauchisseuses de Padiham, près Blackburn, ont fait publier par le crieur public que, vu la hausse générale des gages et des vivres, elles demandent une augmentation de 2 pence (20 c.) par paquet de linge. Les nourrices de la même ville exigent également une augmentation de 10 p. c. sur leurs gages. Ge n'est pas tout encore. Newcaslle et Galesbead sont en ce mo ment daus les ténèbres par suite de la grève des ouvriers employés dans les usi nes gaz. A ït t) ït JS 3. soulage instantanémentet guérit en peu de jours les Rhumatismes et douleurs de toutes sortes; en rouleaux fr. 1,50 et 80 cm", chez M. Becuwe, pharmacien, Marché au Beurre', Ypres. KANTOOR VAN DEN NOTARIS CHRISTIAEN, Op Maendag 30" April 1866, ten 5 uren namiddag ter herberg bewoond by den heer Reynaert, te Westroosebeke in het dorp, van 1° Een HUIS met ERVE pn eene WE1DE te zamen groot H. 0 45 70. lngesleld fr. 6,850 2°Eene party ZAEILAND. groot H. 0 25 90. lngesleld fr. 1,850 3" Eene party ZAEILAND groot H. 0 15-60. lngesleld fr. 875-» 4* Eene party ZAEILAND en BOSCH, te zamen groot H. 0 83 40. lngesleld fr. 1,575 En 5° Eene party ZAEILAND groot H. 0 89 50. lngesleld fr. 1,575 De voorwaerden by dito Notaris CHRIS- TfAEN. FRANCE. ANGLETERRE. Pilules Holloway. Ces Pilules sout placées du conseilleineni unanime du genre humain, en tête des remèdes iulerues pour chasser les matières empoisonnées du sang et des tissus vitaux du corps. Elles out empêché des milliers de personnes de succomber aux effets de la dyspepsie, de la dys- senteiie, de la diarrhée, de la constipation, des affections de foie, etc. c'est on fait attesté par des myriades de témoins. Elles ne manquent jamais de soulager ceux qui sont atteints d'affections scorbu tiques et, dans la plupart de cas, elles eilectueut une complète guérison. Une excessive faiblesse ou débilité, l'avant - coureur du décroissemeot des facultés organiques et vitales, sont remplacées par uoe action vigoureuse et sanitaire de chaque organe et exhilaraote de cette présertative prépa ration. Voici encore on petit extrait de 65,ooo guéri- sons sans médecine par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry, qui, quelques sous par jour, économise cinquante fois son prix en d'autres remèdes. Cure n* 62,8i5, Thuillies (Belgique). 00 septembre i865. Depuis 20 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résul tent. Votre Revalenta Arabica a lait disparaître lastupeur, la chaleur de l'estomac et lescongestious cérébrales. J.-J. Noël. Cure n* 62,982, Frao- çois Dehasse-Cautia, de Fleurus près Cbarleroi. Grâce a Dieu, votre Revalenta Arabica m'a guéri de dix ans d horribles souffrances daos la tête et de la teigne. Elle a remis ma santé parfai tement. N" 62,846, M. Greven, propriétaire de 1 Hôtel de la Couronne, Matines, a été guéri par la Revalenta d une gastrite accompagnée de toux, dont il soufflait depuis cinq ans. N" 62,812, Liège, le i4 novembre 1863. Atteint de dartres au bas des jambes depuis i85t et trouvant que le mal ne faisait que s empirer sous le traitement de trois médecins qui m'assuraient do reste qu'à mon âge (55j la guérison était impossible, je me suis décidé, mou grand bouheur, faire usage de votre Revalenta Arabica qui m'a parfaitement guéri en peu de temps et aflermi ma santé eo gé néral d'une manière eo surprenante. Gr. Voos, concierge au banc d'épreuves des armes feu. N° 62 854, Monsieur Gantier, professeur de gym nastique, Malines, a employé la Revalenta Arabicacontre une affection d'estomac et faiblesse nerveuse, avec les résultats les plus heureux. N" 46,270, M. James Roberts, négociant, d'ooe consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipations et surdité de viogt-cinq années. N° 46,422, M"" la comtesse de Castlestnart, de nebfaosd'uoe maladie du foie, irritation horrible aux nerfs et aliénation d'esprit. DU bakliy, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. 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HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1866 | | pagina 3