ÉTAT-CIVIL D'ÏPRES, MARCHÉS. MEEWKERKE, - 3 Après l'audience particulière accordée lU prince de Reuss, une réunion a eu lieu, bieraprès midi, aux Tuileries, en présence je l'Empereur. Le prince de Meitermch et je baron d'Aldenbourg représentaient l'Autriche; le prince de Reuss et le comte de Goltz ont exposé les demandes de la Prusse; M. Drouyn de Lhuys a fait connaî tre les vues du gouvernement français, et a dressé procès-verbal de la réunion. La Prusse prend naturellement pour bases de la négociation la totalité des de mandes qu'elle avait formulées avant la guerre. Elle prétend que ses succès mili taires l'autorisent réclamer l'admission de tout son programme. Nous n'avons pas besoin de rappeler que les points essentiels de ce programme sont l'exclusion de l'Autriche de la Confé dération germaniquele commandement militaire et la direction des affaires exté rieures de la Confédération remis exclusi vement la Prusse, enfin l'extension des frontières prussiennes jusqu'au Mein. En face de ce programme, qui est le maximum des prétentions prussiennes, et que la Prusse n'a sans doute pas l'intention de maintenir jusqu'au bout, voici les bases de négociation que la Franee aurait suggé rées, et que les ambassadeurs de Prusse et d'Autriche ont prises ad référendum et ont transmises leur gouvernement. La Confédération germanique serait considérée comme dissoute. Il en serait formé une autre laquelle la Prusse et l'Autriche pourraient s'unir par des traités d'alliance, mais dont ni l'une ni l'autre ne feraient partie. Aucune concession territoriale ne se rait demanJée l'Autricheet l'abandon que cette puissance ferait de ses droits sur le Holstein et le Schleswig serait considéré comme l'équivalent de l'indemnité de guerre primitivement réclamée par la Prusse. Le roi de Prusse incorporerait ses Etals le Schleswig, le Holstein, le Mecklem- bourg, en échange d'une compensation aux familles régnantes, les deux Hesses et le Brunswick, après la mort du souverain actuel, qui n'a point d'héritiers. Ces incorporations porteraient la po pulation de la Prusse de 18 millions 25 millions. Le Rhin deviendrait la limite occidentale de cette puissance, les provin ces comprises entre le Rhin et la Meuse devant indemniser les souverains dépos sédés. Un échange de territoire entre la Bavière et le grand-duché de Bade ferait passer ce dernier la presque totalité du Palatinat rhénan. Les royaumes de Hanovre et de Saxe, et les duchés saxons concluraient avec la Prusse des conventions militaires, analo gues celle qui existe déjà avec le duché de Saxe Cobourg, et qui placeraient sous la direction de la Prusse et sous le com mandement d'officiers prussiens les forces militaires de ces divers Etals. Une confédération nouvelle serait for mée entre tous les Etats conservés, mais entre eux exclusivement. Cette confédéra tion pourrait conclure avec les deux gran des puissances limitrophes des traités de façon maintenir et étendre l'union douanière, et l'uniformité des lois et des usages commerciaux; mais, au point de vue politique, la séparation serait complète. Les habitants de Landau auraient droit de choisir entre la réunion la France ou la réunion au grand duché de Bade. L'option serait également laissée aux populations de la vallée de la Sarre, «ntre la France et les nouvelles souverai. nelés des provinces rhénanes. Ces popula tions seraient consultées par la voie du suffrage universel. Enfants au-dessous db 7 ans 3. Sexe masc. 1, idem fém. 1. ÉTAT-CIVIL DE POPER1NGIIE, Enfants au-dbssous dr 7 ans 4. Sexe masc. 5. idem fém. 1 Fioombi, prix mujea par liKlolitit ft. i)-m. MARCHE D'YPRES. quantités l m i m 2 t 0 2 s -5 ix st a ït 3 s, Ten huize van S1 Franciscus Vandermarlièrt, VENDITIE MEUBELEN, EENE KWANT1TE1T GEZAEGD HOUT, BEEST1ALEN EN VRUCIITEN, 1* Mobilier. Stoelcn, Tafels, Scha- prade, 3 Koffers, 2 Marmyten. Casserolle, Zakken, 2 Ledekanten en Sargien. 2e Wagenliarnas, Landbouw Alaetn. Wagen, Karre, Zoôl met Wielen en Schre- per, 2 Eggen Kortewagen Bakwagen Sliphout, Rolle, Vorken, Spaden.Greepen, Drytand Houwen Pekken Snypêerd Eggeketen en andere, Reep, Rakels, 3 Zif- ten, Koornmolen, 2 Keêrns, Botermyne. 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Ceux qui connaissent les propriétés cura- tives de l'Onguent et des Pilules Hollomay, et qui oégligeut d'en faire usage, pour extirper les pre- mieis germes des maladies héréditaires, auront k supporter la peine résultant de leur incurie. Les remèdes Holloway chasseront les éruplioos de la peau, les maladies scorbutiques et scrofoleuses et guériront toutes sortes d'ulcères, plaies, blessures et abrasions. Par l'emploi de ces sains, prompts et excellents médicaments, on évitera bien des souf frances, bien des dépenses et les générations pré sentes et futures eo resseniiront les bieofaits. Voici encore un extrait des 65,ooo guérisoos opérées sans médecine par ta délicieuse Revalenta Arabica Do Barry, après que toute médication avait éebouée N* 49,43'i M. IVildwin, du délabrement le plus complet des nerfs, estomac, vessie, intestins et paralysie des membres par suite d'excès de jeu nesse. Cure n* 63,815, Thuillies (Belgique), 5o septembre 1863. Depuis 30 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résul tent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les congés- - tious cérébrales. J.-J. Noël. Cure n* 53,983, François Debasse-Cantia, de Fleoius-près Cbarle- roi. Giâce h Dieu, votre Revalenta Arabica m'a guéri de dix aus d'horribles souffrances dans la tè:e et de la teigoe. Elle a remis ma santé parfai tement. N* 63,854. Monsieur Gantier, profes seur de gymuastique, a Matines, a employé la Re valenta Arabica contre une affection d'estomac et faiblesse nerveose, avec les résultats les pins heureux. N* 48,731. M. le baron de Zalns- kowski, général de division de souffrances terri bles de plusieurs années dacs les voies digestives. l)u BAHRY, 13, «de de l'ëmkrece, BvrXEtLEE. Eu boites de i|4 kit3 fr. o5; i|3 kit-, 4 fr. kit., 7 fr.; 3 i|3 kit., 16 fr.6 kit-, 33 fr. 13 kit., frauco, 60 fr. (.loutre bou de pcMti -- S* rend Y ut ta. chaz MM. KKYSOU. pbarm.; becuwe. ph. G. 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DÉCÈS. - Rooms, Cornélie, 54 ans, ouvrière, épouse DehuysserLouis, Overdam. - Tillie Pierre, t6 aos, particulier, Overdam. - Aunoot, Louis, 73 ans, ouvrier, époux de Catherine War- rin, Edewaerlhoek. - Aernont, Marie, 45 ans, dentellière, épouse de Philippe Soffys, Edewaert- boek. - Peulevyock, Matie, 66 aus, célibataire, dentellière. popekinghe, .3 juillet 1866 Seigle id. 00-00. Avoineid. ti-So. Pomme* de terre le* 100 kilogrammes, 7-5». Beurre le kilogramme, 3-80. Houblon le* 5o kilogramme*, m oo-oe. ÉTAT Indiquent les quantités et le prix a*ree de» CrainsFourrage* et antres produit» agri cole» vendu» le ld*Kli,I.ET a CM, an marché do cette ville NATURE DES Ccnlaa et Denrée». VBHDDEX. Kilogrammes. PRIX ddvew par 100 kilogramme». .r Froment 1 3,8oo 25-87 80 5,ooo 17-35 73 30O 24 OO 44 Pois 200 26-00 80 Féveroles. 5oo 27-00 80 Pommes de terre. 5,ooo 7-75 Benrre 245-oo Pain de farine de froment brnte 34 c' le kilo. Idem pour les Fondations de 3o c*. i,s5o grain. binnen het oorp, doo* ve1asder1vg tau wookst e» tjltschb i dib g va ii ee&mf vas eeelgt LANDBOCW EN WAGENMAKERSALAEM, feeataende bysonderlyk la

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Le Propagateur (1818-1871) | 1866 | | pagina 3