HOTEL DE FRANCE
&irsr®R(BiK&
TAILLIE- SPARREBOSSCHEN
EN ZAEILANDEN
mains et les pieds ensanglantés, et que la
chaleur animale n'avait pas encore aban
donné! Le doute n'était pas permis l'in
fortuné avait lutté contre la mort réelle
et venait d'expirer quelques instants seule
ment avant l'arrivée du curé.
Un journal de New-York calcule ce
qu'il en coûtera aux journaux des Etats-
Unis pour recevoir d'Europe deux dépêches
par jour en ne comptant que vingt mots
par dépêche. Le total se monte 2,000
dollars par semaine, soit 104,000 dollars
par an (551,200 fr.). Si l'administration du
télégraphe n'abaisse pas un peu ses tarifs
il est probable que les journaux américains
reculeront devant celte dépense.
Une étoffe impénétrable la balle.
En présence de M. Dailly, président de la
commission du tir, et d'un grand nombre
de tireurs une expérience des plus intéres
santes a eu lieu au Tir National. M. Ch.
Bernard, l'inventeur d'une étoffe impéné
trable la balle et dont nous avons déjà
parlés devait prouver l'excellence de son
invention de la manière la plus concluante
et la plus émouvante la fois.
Revêtu d'une capote confectionnée de
son étoffe impénétrable, il a laissé tirer
sur lui la distancede cent mètres. Disons-
le tout de suite, l'expérience a prouvé de
la manière la plus évidente qu'un homme
rêvetu de la capote de M. Bernard peut
recevoir impunément un coup de carabine
et que la halle tombera ses pieds sans
qu'il ressent autre chose qu'un léger choc.
L'expérience a été faite avec une cara
bine dechasseur éclairenr, chargée de trois
grammes et demi de poudre et de la balle
conique d'ordonnance pour cette arme; la
carabine, après avoir été préalablement
essayée et réglée, fut disposée sur un che
valet pointé hauteur de poitrine. M.
Bernard, s'étant placé la distance de cent
mètres, commença par se dévêtir et mon
tra qu'entre sa poitrine et sa capote il n'y
avait absolument que sa chemise et son
gilet. 11 revêtit ensuite sa capote, qui est
un vêtement flottant retombant jusqu'à
terre, et se couvrit la tête d'un casque en
acier. Le coup partit.
Une vive émotion s'empara du public
lorsqu'on crut voir chanceler et tomber
M. Bernard. 11 n'en était rien heureuse
ment il avait seulement fait un faux pas
et s'était baissé pour ramasser la balle,
qui l'avait frappé en plein corps un peu
au-dessus de la ceinture et gauche; celte
balle, après s'être amortie sur l'étoffe,
était tombée ses pieds et il revenait vers
nous en courant pour nous la montrer.
Arrivé une courte distance, il jeta la
balle aux tireurs, en leur criant de ne pas
s'approcher.
M. Bernard, n'ayant pas encore pris
brevet pour son invention, refuse absolu
ment de laisser examiner l'étoffe au moyen
de laquelle il obtient un si merveilleux
résultat. La balle, que nous avons tenue
en mains n'était que légèrement déformée
et portait àsapointel'empreinte delà trame
de l'étoffe. M. Bernard s'est offert renou
veler l'expérience, mais les assistants ont
unanimement déclaré que cela était inutile
en présence du résultat si concluant que
l'on venait d'obtenir. (Nord.)
Particularités sur les mœurs des Chinois.
Le recensement officiel n'a pas été fait
eu Chine depuis soixante-deux ans. Des
doutes persistants se sont élevés au sujet
du chiffre fixé par ce recensement, lequel
Porte 562,447,185 le nombre des habi
tants du Céleste Empire. Toutefois, nous ne
Cfoyons pas que le chiffre soit très-erroné,
car l'estimation actuelle approximative
donnerait la Chine une population de 400
millions d'habitants. On sait d'ailleurs
qu'aujourd'hui on peutavoir des certitudes,
grâce la nouvelle loi chinoise qui prescrit
l'enregistrement des naissances et des dé
cès, sous peine de cent coups de bâton.
Selon un ancien usage la population
en Chine, est divisée en quatre classes:
1° les lettrés, 2° les cultivateurs, 5" les mé
caniciens, 4° les marchands. Il y a un
certain nombre d'hommes déclasséstels
que les comédiens, les joueurs de profes
sion les mendiants, les condamnés, etc.,
qui ne font pas partie de la population
recensée.
En Chineil n'y a pas d'asile pour la
vieillesse; mais la loi punit sévèrement
ceux qui refusent d'assister le vieillard in
digent. Des décrets impériaux ordonnent
quelquefois la distribution de présents aux
pauvres de l'empire. En 1657 et en 1785,
des distributions furent ainsi faites. Aux
hommes âgés de soixante ans, on donna
cinq boisseaux de riz et une pièce de drap;
dix boisseaux de riz et deux pièces dedrap;
ceux de quatre-vingt-dix ans, trente bois
seaux de riz et deux pièces de soie com
mune. L'empereur ordonna, en outre, que
les chefs de cinq générations (ils étaient
192) recevraient des présents impériaux
consistant en bourses et plaques portant
une inscription dédicatoire.
HOTEL DE BELLE VUE,
BLANKENBERGHE,
H. THlEBAULT-llAGE.
Table d'hôte 1 et 5 h*, dîners parti
culiers tonte heure.
STAD POPERINGHE.
OPENBARE VENDITIE
46 hectaren 18 aren
ALLERBESTE
Op 5 4/2 kilometers afstand van Poperinglie
en 500 meters afstand van de Veurne kal-
chiede. By affichen en plans verdeeld in 25
Koopen.
Onder deze Bosschen zyn begrepen de
genegenoemdde Klare-Putten,de Kosputten,
den Tempelare, Itet Lange Duynhelst en
andere bekend voor de beste der omstreek.
De Zaeilanden zyn gebruikt door M8
Byspeert, Louis Deroo en Pacco aen 40 fr.
par 44 aren.
Deze Verbooping zal geburen la twee
zittingen.
De eerste voor den 1NSTEL, op Vrydàg
24° Augdstcs 1866, in d'herberg de Casino
Groote Markt te Poperinghe.
De tweede voor den OVERSLAG, op
Vrydag 51e der zelve maend in d'herberg
het Stadhuis.
Telkens om 5 aren na middag.
Pieter Inion boschwachter in *t Jagers
Hof, te Crombeke, zal de koopen aen de
liefhebbers aenwyzen.
De tytels van eigendotn eo veilings-
voorwaerden berosten ten kantoore van
den Notarîs DÉSIRE VAN DEN BOO-
GAEBDE, tôt Poperinghe, alwaer men
plakbrieven en scbelskaerten kan bekomen.
1 p. o/o voor hoogste instel-premie te winnen.
Onguent et Pilules Holloway. - Daus les
nombreuses maladies externes où l'assistance chi
rurgicale la plus distinguée a été donnée et où la
science la plus profonde a vainement cherché uue
guérison ces remarquables remèdes, découverts
par le professeur Hollovray, ont accompli le grand
desideratum. Dans chaque génération, il se trouve
des hommes qui laissent les sentiers battus et réus
sissent trouver une voie plus courte et plus facile.
Ainsi fit Hollowayalors qu'il commença pro
duire ses Remèdes et qu'il vil les ulcères les plus
pernicieux, les inflammations les plus intenses et
les affections scrofuleoses les plus sérieuses, céder
h sou Onguent et ses Pilules. Ces préparations
adoucissantes guérissent et purifient l'un de ces
remèdes, assiste matériellement l'autre, et effectuent
la gnérisoo et en renouvelant la force.
Les gastrites, gastralgies, toux, consomption,
dépérissement pour lesquels la médecine n'of
fre aucun remède efficace, sont parjaitement
guéris par la délicieuse Revalenta Arabica Du
Barry, de Londres.
La Chapelle, Parif, i*r décembre 1862.
Monsieur, - Pendant huit mois, j'avais des
vomissements journaliers et des coliques horri
bles mauvaises digestions insomnies j'ai
dépensé neuf cents francs en médecines, et,
loin d'y trouver des soulagements, je dépéris
sais vue d'œil,ayant perdu 4o livres de chair;
sans espoir de guérison. je commençai, il y a
huit jours, prendre la Revalenta Arabica. Dès
les premiers repas de cette délicieuse farine de
santé, les vomissements et coliques cessèrent,
le sommeil revint et ma digestion se fait main
tenant ma plus grande satisfaction.
François Silvain.
DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Ed
boîtes de i|4 kil., 2 fr. 25 j. i\2 kil., 4 ^r*i 1 kil., 7 fr'.j. 2 ijq
kil«t i6fr.,6 kil., 32 fr. 12 kil franco, 60 fr. Contre bon
de poste. Aux mêmes prix, la Revalenta chocolatée du Barry
Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutri
tif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer
de maux de (été, ni échauffemeut, ni les autres inconvénients
des chocolats ordinairrment eu usage. Se vend Ypres
chez MM. FRYSOU, pbarm.j. BECUWE, ph.; G. VEYS.
ph. MAHIEU, confiseur, et dans toutes les villes, chez les
premiers pharmacieus, épiciers et confiseurs.
CI-DEVANT
bue du moulin,
TENU PAR
VAN
GELEGEN TE
Cette combinaison nonvelte, basée sur
des principes nou connus des rae-
decins anciens, remplit avee un bon
heur remarquable toutes les condition*
du problème de la médication pitrga-
lise. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
Eris avec de très bons aliments et des
oissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de- Sedlitz et d'autres purga
tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malaJes les plus dé
bilites le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qai lui conviennent le mieiiv, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation etauU
complètement annulée par l'effet de la bonne alimenlion pres-
s crite, on se décide facilement recommencer aussi souteul que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous "pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le tnal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois dp suite, ou
n'e.-t pfus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la llu. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeur,!,en/orgeiuenU,
afftcLluns cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière e' long
temps réitérée, voir le Manuel de la médication purgative iliu
docteur IVehaiit, volume de 264 pages, donné gratuiti-fn-m.
Paris, pharmacie du D' Mettant. et dans toutes les bonne»
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Dé^ôt.à Ypres chez FRYZOU-VAN OUTRY\'E„
eue de.Di.xmude, 35.