PEERDEN-MEST,
HOTEL DE FRANCE
MAISON A LOUER
MARCHÉS.
KOOPDAG
BLAVKENBERGHE,
GARDE CIVIQUE.
de 1,000 mètres de profondeur et de vingt
lieues de large. Sa vitesse, dans les détroits
de la Floride, est de quarante nœuds
l'heure. Sa couleur est d'un bleu sombre,
et on l'aperçoit ainsi séparé des eaux qui
le bordent la hauteur des Carolines sur
le bord occidental, cette ligne de sépara
tion est si étroite qu'on peut voir l'avant
du navire faire jaillir les eaux bleues du
courant, tandis que l'arrière est encore
dans les eaux vertes qui le contiennent. Le
courant suit les côtes de l'Amérique jus
qu'à Terre-Neuve, et, s'élevanl au nord, il
répand ses eaux sur une immense partie
de la mer comme un manteau de chaleur.
C'est la température bienfaisante qu'il
amène avec lui que l'Irlande emprunte la
verdure qui l'a fait surnommer l'émeraude
des mers et que nos côtes occidentales
doivent la douceur de leurs hivers et la
richesse de leurs pâturages pendant toute
l'année.
Pour vous prouver que je n'invente
rien, écoulez ce que dit, cet égard,
Michelet dans son livre de la Mer.
De ces volcans enflammés ou éteints
de l'Inde et des Antilles, de la mer de Cuba,
de la mer de Java, partent deux énormes
fleuves d'eau chaude qui s'en vont ré
chauffer le nord. Ce sont deux torrents
bleus qui courent sur les eaux vertes, si
bleu, d'un indigo si sombre, que les Japo
nais appellent Je leur le fleuve noir.
On sait quel intérêt a excité la question
relative au jardin du Luxembourg. Cette
question vient de recevoir une solution
définitive. Un nouveau projet de décret a
été remis par le ministre au conseil d'Etat
et a été sanctionné par l'Empereur.
On lit dans une correspondance par
ticulière de la Belgique datée de Paris, 19
août Nous allons décidément entrer
dans une phase d'apaisement; c'est non-
seulement le mot d'ordre donné ici la
presse officieusemais la consigne com
muniquée par M. Drouyn de Lhuys tous
nos représentants l'étranger. On ajoute
que les personnages politiques qui ont
l'habitude de prononcer des discours
l'ouverture des conseils généraux ont été
invités s'abstenir cette année, du moins
en ce qui concerne l'état général de l'Eu
rope. Cependant on espère que M. de
Persigny,dont la haute personnalitééchap-
peà toutes les consignes, prendra la parole
au sein du conseil de la Loire et jettera
quelque lumière sur la situation. Le con
fident de Napoléon III, dans un de ses dis
cours de Saint-Etienne, a traité jadis de
chimère l'idée de l'unité allemande, et une
autrefois il a hautement déclaré, au même
lieu, que le rôle militaire de la France était
fini en Europe. Peut être le souvenir de ces
deux déclarations l'engagera-t-il s'expli
quer; son langage, toujours écouté avec
curiosité, éveillerait, dans les circonstances
actuelles, une attention toute praticulière.
On a beaucoup remarqué la dépêche
Publiée par lesjournaux belges, de laquelle
>1 résulterait que l'Empereur non-seulement
n'aurait aucun dessein d'annexion vis-à-vis
de la Belgique, mais encore n'aurait pas
d autre penséeque de consolider la dynastie
belge. On ne croit pas cette dépêche exacte
quant la forme, et on doute fort qu'une
lettre semhlable ait pu être adressée direc
tement par Sa Majesté Impériale Léo-
Pold II; mais on affirme qu'un langage qui
ne laisserait aucun doute sur les résolu-
'ions annoncées aurait été tenu par Napo
léon III un personnage assez officiel
Pour donner la déclaration dont il s'agit
une valeur décisive. Le bruit court que ce
personnage serait lord Cowley.
Fusils perfectionnés. On écrit du
camp de Châlons La série des expérien
ces sur le tir des nouveaux fusils se char
geant par la culasse1 est terminée. La com
mission, présidée par le général de division
Bourbaki, et chargée de suivre ces expé
riences, a conclu en faveur du fusil Chas-
sepot. Cette arme a été jugée supérieure
tous les autres modèles français, et, notam
ment, celui de l'infanterie prussienne.
RUITERY-SCHOOL,
TÉ YPEKÉN.
ZATERDAG 25" OOGST 1866, om 2 1/2
ure juist npcniddag. Met den gereeden
gelde en vérhoog van 10 ten honderd.
Door het ambt van E. L. STRAGIEB,
deurwaerder t'Yperen.
HOTEL DE BELLE VUE,
RUE DU mOULIN,
tenu par
H. THIEBAULT-HAGE.
Table d'hôte 1 et 5 fis, dîners parti
culiers toute heure.
AVEC ECURIE ET JARDIN,
Pour entrer en jouissance le 1" Août. Der
nièrement occupée par M. le capitaine
Vogley. S'adresser pour les conditions
au Quai, n# 4.
Le Major Commandant porte la con
naissance des membre de la Garde civique
que le Tir National, qui aura lieu Bru
xelles pendant la célébration des Fêles
anniversaires de notre Indépendance, com
mencera le Dimanche 23 Septembre pour
être clôturé le Mardi 2 Octobre 1866.
Le transport par chemin de fer se fera
comme précédemment prix réduit.
Les membres de la Garde qui désirent
prendre part ce Tir, peuvent se faire
inscrire au bureau de l'Etat-Major, Marché
aux Fripiers, 23, du 25 Août au 5 Septem
bre, de midi 1 heure de relevée.
La liste d'inscription sera close le 6
Septembre 1866.
A. H Wï) F.RICK».
FRANCE.
Paris, 17 août.
- 3
Onguent et Pilules Holloway. Toujours
de l'Espoir. Tous ceox qui souffrent de plaies,
d'ulcères, d'affections scorbutiques, peuvent, en
toute confiance, commencer, avec ces curatifs et
de'puratifs remèdes, le traitement de leurs nom
breuses infirmite's. An moyen des célèbres médica
ments Holloway, les cas les plus pernicieux assu
ment bientôt nu bon aspect et, pendant les progrès
de la guérison, les malades ne se trouveront ni
embarrassés par les difficultés, ni découragés par
les insuccès. Avec un peu de persévérance et
d'atteotiou aux Instructions qui entourent
chaque pot d'Onguent, ainsi que chaque boîte de
Pilules, tout malade peut se guérir lui-même, et
être certain qu'en suivant ce simple, mais pénétrant
remède, sa peau deviendra saine, ses souffrances
s'apaiseront et sa santé reviendra.
m»
A l'immense mortalité des eufanls eu bas âge
60,000 en France et 5o,ooo en Angleterre—la
Scieuce Médicale n'a jamais réussi b opposer un
remède efficace et il n'y a rien s'y étonner, vu
que toute drogue ne peut produire d'autre effet
que celui d'augmenter la faiblesse des forces vita
les de la digestion et de la nutrition. Il fot réservé
la Revalentci Arabica Do Barry de Londres de
résoudre le problème de réparer les organes de la
digestion, fournir nouveau sang, muscle et os et
guérir le système glandulaire sans forcer ni échauf
fer, mais d'une manière toute natorelle. Aussi
avons-nous des preuvesabondantes desouinfluence
salutaire dans les oovrages du célèbre docteur
Routh, président de l'hôpital des Enfants, a Lon
dres, qui a trouvé dans la Revalenla Du Barry le
moyen de ranimer les forces vitales et la digestion
des enfants qui ne pouvaient plus digérer, qui
rejetaient tout, souffrants en même temps de
diarrhée, spasmes, crampes et périssant b vue d'ceil.
Madame la baronne Deulsch de Horn, a Trêves,
asauvéses deux enfants par la Revalerita Arabica
d'une maladie des glandes, qui avait résistée
toute médecine et ne laissait plus d'espoir de gué
risonM. Chinnery avait un enfant presque mort
d'inanition (d'atrophie), la digestion n'étant plus
soffistnte pour assimiler le fait maternel la Re
valenta Arabica le sauva un pareil cas s'est
piésenté dans la famille de M. Lawley, page de
Sa Majesté la reine d'Angleterre. Nous
pourrions ajouter des milliers de cas de guérison
de diarrhée, bronchite, toux, phtbisie, crampes,
spasmes et rachitisme pour démontrer l'incalculable
bienfait de ce précieux aiiment sauveur, non-
seulement pour les enfants, mais également pour
les adultes.
DU BARRY, 12-rue de l'Empereur, Bruxelles.-- En
boîtes de 114 kil2 Fr. ij2 kil.j 4 F' - i kil7 fr.j 1 i|2
kil., 16 fr.6 ki32 fr. j 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon
de poste. Aux mêmes prix., la iievalenta chocolatée du Barry
A iment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutri
tif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer
de maux de tête/ ni échauffement, "i les autres inconvénients
des chocolats ordinaiirment eu ûsage. Se vend Yprès,
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ph. MAHIEU, confiseur, et dans toùtes les villes, chez les
premiers pharmaciens,épioiers et confiseurs.
DIXMUDE, 20 août. Prix par bectol.
Froment, fr. ig-3i 22-07; seigle, i3-iob
i4-i8; méteil, 1 1-76 b i2-5o avoine, 9-66
10-00; févéroles, 00-00 b 00-00; sarrasin, 00-0
00-00; pommes de terre, les look., 7-5o b
8 no; beurre, le kil., 2-45 a 3 o5; œufs, les 25
i-63 b 1-72. Pain de ménage, le k., 26 c.;
rff. i 1 ji k., 4o c.,
COURl'RAY, 20 août. Prix par hectol.
Froment blanc, fr. 21-08, h. o-83; id. roux,
ig-40, b. 0-00; seigle, 12-24, h. o-3g; avoine,
g-56, h. 0-66; fèves, ao-10, h. 0-10. Pommes
de terre blaochâs, les 100 kil., fr. 7-00 b 7-5<ty
id. rouges, 8-oo b 10 00; beurre, le 1/2 kit., 1-25
b i-4o;:œofs, les 25, i-63 b 2-00. marché
au bétail. Nombre des bêtes exposées en vente
Vaches, i3o; génisses, 80; taureaux,- i4; bœufs,
27. Bêtes veodues 126 vaches au prix de fr.
24o b 710 par tête; 78 géDisses de 185 b 6o5; i5
taureaux de 25o b 875 et 26 bœufs de 34o a 85o.
La viande de bœuLse vend de 75 b 80 c., le
172 kil. Bêtes vendues pour l'exportation, 00.
Huile de colza, les io3 k. (l'ancienne tonne), il.
5o-oo b oo-oo, h. o-i5; id. de lin, les io5
k., id., fl. 5o-oo b 5o-o5,h. o-i5. Graine
de colza indigène et étrangère, l'hect., fr. 38-oo
b 38-5o; id. de lin, indigène, 27-00 b 00-00.
Tourteaux de colza, les 100 k., fr. 15-oo b 14-5o;
id. de lio, id., 23-oo b 26-5o; id. de chanvre,
i3-oo b 00-00. toiles Pièces exposées en
vente, 67; vendues, 57.
van
OP DE BLVNEXPLAETS DER
CI-DEVANT
RLE DU LOMBARD,