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UN OUVRIER-TYPOGRAPHE.
OiXI DEMANDE
VENTE PUBLIQUE
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brûler, et on laisse dériver au courant du
ileuve l'embarcation fatale. Personne n'ose
approcher de ces barques, qui ont un signe
apparent, et encore biens moins prêter
assistance aux infortunés qu'elles entraî
nent. (Archives de ta médecine navale.)
FRANCE.
Un décret impérial du 20 septembre
nomme M. l'abbé Gros, vicaire général de
Charabéry, l'évêché de Tarentaise, en
remplacement de Mgr. Turinaz, dont la
démission est acceptée.
Les nouvelles relatives au roi Victor-
Emmanuel sont de nature assure t on
donner quelques inquiétudes sur la santé
de ce monarque.
On a commencé, dit le Salut public,
vendanger, aux environs de Lyon, quoique
les raisins ne soient pas encore parfaite-
ments mûrs. Ils pourrissent sur la grappe,
ou ils s'en détachent. Le même fait se pro
duit dans le Mâchonnais et le Beaujolais.
Un correspondant du Haut-Beaujolais écrit
ce sujet Nous avons eu jusqu'à présent
un temps détestable pour la maturité de
nos raisins. Il est aujourd'hui incontestable
que. quelque temps qu'il fasse d'ici aux
vendanges, nous ferons de mauvais vins.
La maturité est inégale et la pourriture
envahit les vignes basses, et celles des
coteaux ont leurs grappes et leurs grains
trop serrés, trop abondants, deux causes
peu favorables la bonne qualité.
L'Echo d'Avila. A la droite de l'an
cien couvent de S'-Thomas d'Aquin,
Avila, sur une hauteur escarpée, cent
mètres des murs de l'église, se trouvent
des roches élevées d'un difficile accès. On
appelle cet endroit l'Echo, attendu que,
par suite de sa situation, des paroles que
l'on y prononce sont répétées clairement,
distinctement, par le vent, dans les angles
de cet édifice. Vendredi, après avoir visité
le couvent, Leurs Majestés, malgré le
chemin très difficile, ont voulu se rendre
l'Echo: elles y sont restées longtemps
avec leur suite. Elles on pu admirer le
prodigieux effet d'acoustique au moyen
duquel une personne placée au pied du
mur du couvent peut communiquer et
converser voix basse avec une personne
se tenant auprès de la roche Le général
Echaverria a causé ainsi avec plusieurs
personnes de la suite de Leurs Majestés.
Le Journal des Economistes rappelle un
fait assez curieux propos de la paix qui
vient de se signer en Allemagne. «On
ne peut faire encore, dit ce recueil, le
compte rigoureux des contributions frap
pées par la Prusse, mais il semble qu'on
ne s'éloignerait pas beaucoup de la vérité
si l'on disait que la Prusse en retirera au
moins 400 millions de francs qu'elle a dé
pensés. Il y a un an, elle offrait l'Autriche
de lui payer une indemnité de 300 millions
de francs pour le prix de la cession de ses
droits sur les duchés de Holstein et de
Schleswig!
Le souvenir est piquant, en effet si l'Au
triche avait alors accepté cette proposition,
médiocrement honorable il est vrai, elle
aurait aujourd'hui dans ses caisses pre
mièrement, les 300 millions de la Prusse;
deuxièmement, les 150 millions qu'elle est
obligée de payer Ferlin; troisièmement,
les centaines de millions que la guerre lui
a coûtés. En outre, elle n'aurait pas perdu
sa position en Allemagne et elle posséderait
probablement encore la Vénélie. Que de
conséquences enfermées dans un oui ou
non! Elle a répondu non aux propositions
de M. de Bismark, et ce refus lui a presque
coûté la vie.
ITALIE.
La correspondance de Florence adressée
Y Indépendance donne les informations
suivantesau sujet des désordres dePalerme:
Cure du Pape Rome, 21 juillet 1866: La
santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis
que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses
repas de la Revalenta Arabica du Barry,
qui a opéré des effets surprenants sor lui. Sa
Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle
ressent de cette excellente farine dont elle prend
une assiettée chaque repas. Correspondant de la
Gazette du Midi
N* 49,422 M. Baldwin, du délabrement le
plos complet des nerfs, estomac, vessie, intestins
et paralysie des membres par suite d'excès de jeu
nesse. Cure n° 62,815, Thuillies (Belgique),
5o septembre i863. Depuis 20 ans, j'ai souffert
d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résul
tent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître
la stupeur, la chaleur de l'estomac et les conges
tions cérébrales. J.-J. Noël. N° 48,721. M.
le baron de Zaluskowski, général de division, de
souffrances terribles de plusieurs années dans les
voies digestives.
S'adresser rue de Lille, 40, Ypres.
Le 8 OCTOBRE 1866, 2 heures île
relevée, l'hôtel du Cygne, Mariakerke,
faubourg d'Ostende, il sera procédé par
le ministère du Notaire JH31TJA31Rîï~
2)3 siSSûH311139 Gbiste 1 les
Y ADJUDICATION DÉFINITIVE:
1" D'une grande et belle FERME,
nommée le Rowaene fort, avec H. 44-04-
80 c. de très bonnes Terres Labour,
Prairies et Pâtures grasses, située Bree-
deue et Oudeubourg, louchant la chaus
sée et au grand canal de Bruges Ostende,
2 kilomètres de distance de cette dernière
ville; occupée par Pierre Bossier, jusqu'au
1"Octobre 1869, moyennant fr. 5,050 00c.
par an, en sus des contributions.
Mise-à prix séparément fr. 201,550-
2° Et H. 3-24 90 c TERRE A
LABOUR, située au poldre de Zandvoorde.
près d'Ostende, occupée, sans droit de
bail, par Jean Van Massenhove, moyennant
fr. 656 50 c. par anensus des contribu
tions.
Mise prix séparément fr. 20.300.
Pour tous renseignements s'adresser au
dit Notaire et au Notaire 53DS32ÏÎ
Bruxelles.
Paris. *?3 septembre.
D'abord les séditieux sont maîtres de presque
toute la ville de Palerrae. La garnison de cette ville
ne se composait .que de t,5oo hommes qui, l'en
trée des baodits, se sont bien mis en ordre de ba
taille pour les attaquer, mais qui ont fait feu plutôt
pour prote'ger leur retraite que pour repousser l'at
taque dout ils étaient l'objet, sachant parfaitement
qoe les bandes entraient en tille par plusieurs points
et pooraienl les attaquer en face et par derrière.
Les troupes et toutes les autorités se sont donc
retirées autour du palais royal qui domine la tille
par sa position élevée et fortifiée. Les séditieux
sont dans la partie basse de Palerrue. Ce sont les
mêmes positions qu'occupèrent respectivement, en
1860, les boorbonnieus et Garibaldi jusqu'à la
conclusion de l'armistice.
Les instfrgés ont arboré le drapeau rouge et
leur cri constant est celui de Vive la république!
mais on craint d'un instant l'autre qu'ils ne veuil
lent le changer par celui de Vive le pillage.
On assure que l'insurrection a essayé de se
donner une organisation régulière, dimanche, et
de fonctionner comme une espèce de gouverne
ment provisoire. Le premier acte des insurgés a été
de couper les fils du télégraphe, de sorte qu'à
l'heure qu'il est le gouvernement central n'est plus
en rapport direct avec Palerme et ses autorités.
Toutes les antres villes de Sicile sont parfai
tement tranquilles, mais la campagne est agitée.
Le gouvernement a ordonné font de suite des
mesures énergiques qui n'ont qu'un défautcelui
d'arriver bien tard.
La situation anormale de la Sicile, et surtout
de Palerme, n'était plus un mystère pour personne.
Le gouvernement angiais qui n'a pourvoir en
Sicile qu'à la protection de ses nationaux et de lenr
commerceavait fait partir il y a huit jours une
escadre qui était Patras pour l'envoyer Palerme,
où elle est et où elle a été témoio de tous ces re
grettables événements.
Le gouvernement de Florence a dû être aussi
bien renseigné et l'on trouve qu'il aurah po mon
trer plus de prévoyance.
Quoi qu'il en soir, on envoie maintenant en
Sicile tout un corps d'armée de 3o,ooo hommes.
L'escadre an mouillage de Tarente, sous les ordres
du contre-amiral Ribotti, a reçn l'ordre de se
rendre Palerme, où elle a dû arriver hier.
[.es trains des chemins de fer ont été suspen
dus dans la journée d'hier pour le transport des
troupes Ancôoe et Livourne qui sont les points
d'embarquement. Environ i5,ooo hommes ont dû
partir dans la nuit du lundi et un nombre égal a dû
s'embarquer hier. Le général Cadorna commande
toutes ces troupes. Les généraux Angioletti et Lod-
goni ont des commandements en sous ordre.
Voilà tout ce qui est connu jusqu'à présent de
ce regrettable incident qui est venu ranimer en
core les plaies de ce pauvre pays. L'opinion en est
fortement impressionnée et de tous les côtés on
maudit la Sicile. Si cette île voulait Sérieusement se
séparer du royaume, l'opinion publique du conti
nent en serait plutôt, je crois, satisfaite que fâchée.
On la cousidère comme une charge tous les points
de vue, et on n'a peut-être pas tort. En 1864, le
nombre des réfractaires qui ravageaient l'île mon
tait 26,000. Aujourd'hui il tME-he de nouveau
ce chiffre là. La même répugnance que l'on montre
pour le service militaire, on la montre aussi pour
le payement des impôts et cependant nolle part il
n'a fallo faire de pins grosses dépenses qu'en Sicile
pour l'établissement des voies de communications
de tout genre! Ces frais ont dû et doivent encore
être supportés par les provinces do continent.
Onguent ei Pilules Holloway. Des Maux
et de leurs Remèdes. Le traitement par ces pu
rifiantes préparations est si simple et ses bous résul
tats sont si bien connus, qu'il est peine nécessaire
de prier qu'on en fasse l'essai. L'Onguent est in
faillible pour la guérison des maladies cutanées,
des ulcères inflammations, dilatations et de presque
toutes les affections externes. Pour les attaques
musculaires, goutteuses, rhumatismales ou scrofu-
lenses qui mettent journellement la santé en dan
ger, l'Onguent et les Pilules Holloway combinés
procureront on soulagement incroyable et graduel
lement amèneront one guérison radicale, s'ils
sont employés conformément aux instructions. Ces
médicaments conviennent aux deux sexes, tout
âge, et toutes les classes de la société.
L)U BARRY, ta, rte de l'Empereur, Bruxelles En
boîtes de 114 kil., a fr. a5i|2 kil., 4 1 kil., 7 fr.; 1 1 |2
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de poste. La Revalenta chocolatée du Barry. Aliment exquis
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fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tct»
ni échauffeiueuC ui les antres inconvénients de.- chocolats-
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tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 28S tasses, fr. Î2; 5^0 tasses, fio
fr. Se rend Ypres .chezMMFRYSOU, pharm.; BECUWR,
ph. G. VEYS, pli.; MAHIEU, confiseur, et dans toutes
les villes, chez les premiers pharmaciens, épiciers et confiseuis.
d'une