VILLE D'YPRES.
FRANCE.
AUTRICHE.
LES SOLDATS ET LES MARINS.
Cure du Pape Rome, ài juillet 1866 La
santé du Saint-Père est excellente, snrtout depuis
que, s'abstenait! de tout autre remède, il fait ses
repas de la Revalekta Arabica du Barry,
qui a opéré des effets surprenants sur lui. Sa
Sainteté ne peut assez looer les avantages qu'elle
ressent de cette excellente farine dont elle prend
une assiettée b chaque repas. Correspondant de la
Gazette du Midi.
<D us s*
1». BOURGOIS.
tient; la cure est même arrivée ce point
que l'auguste malade manifeste chaque
jour le désir de retourner Mexico. Des
dépêches adressées directement par Tempe
reur Maxirailien au docteur Heck approu
vent entièrement tout ce qui a été prescrit
par le professeur. Ces dépêches sont datées
de Chapultepec; elles annoncent la ferme
résolution de l'empereur de demeurer
Mexico. On ajoute même que toute trace
de découragement a cessé, et que l'espoir,
au conraire, renaît partout.
La cérémonie dçs finançailles de la
princesse Dagmar a été célébrée le 23 octo
bre, lendemain du jour de celle de la con
firmation. Cette solennité s'est accomplie
en présence des ministres de tous les pays
représentés en Russie, des résidents et des
secrétaires attachés des ambassades. Les
dames du corps diplomatique y avaient été
également conviées.
La princesse portait ce jour-là le costume
national russe, qui lui seyait u ravir. La
nuance de la toilette était blanche et rose;
un long voile traversé de filets d'argent
l'enveloppait en séchappant larges plis
de sa coiffure. Sur toute la longueur de la
jupe, jusqu'à l'extremitéde la traîne, cou
raient des guirlandes de petites roses.
La reine ée Danemark a encore deux
filles qui sont en bas âge. Quant son fils,
le roi Georges rc Grèce, il paraît qu'il épou
sera une princesse anglaise, et il n'est pas
douteux que la princesse de Leuchtenberg
épousera le prince Charles de H. enzollern,
prince régnant en Roumanie.
Paris. 2 novembre.
On s'occupe de Rome en haut lieu. M. de
Sartiges ne retournerait pas son poste
sans tenir compte de telle ou telleambition
particulière, l'Empereur a manifesté l'in
tention d'envoyer là-bas un diplomate en
épaulettes et en épérons. Le choix n'est
pas encore fait. Quel qu'il soit, le titulaire
del'ambassadeeraporterait des pleins pou
voirs, des pouvoirs exceptionnels et ca-
suels. Une fois les troupes françaises par
ties, l'ambassadeur de France conserverait
la garde de la Papauté. Dans le cas pro
bable et prévu où les ennemis du dedans
et du dehors voudraient soulever des dé
sordres et opérer l'annexion, l'ambassadeur
de France exhiberait les pouvoirs qui l'au
toriseraient prendre le commandement
en chef de l'armée pontificale et même
déclarer française la légion d'Autibes. Ainsi
se trouverait de nouveau déployé le dra
peau français, couvrant de son ombre le
Vatican.
L'empereur du Brésil viendra proba
blement visiter l'Exposition universelle de
1867.
VAbendpost (édition du soir de la Gazette
de Vienne) donne les détails suivants sur
un incident dont il y a déjà été question
dans une dépêcha télégraphique
Lorsque Sa Majesté Apostolique sortait
le 27 octobre, vers 81/2 heures du soir, du
théâtre tchèque de Prague, pour monter
en voiture, le capitaine anglais P... qui se
trouvait dans la foule des spectateurs, vît
un homme qui se trouvait près de lui lever
la main droite, dans laquelle il y avait un
petit pistolet.
a Le capitaine rabaissa le bras de cet
homme et le saisit la poitrine. L'individu
fit glisser en même temps le pistolet dans
la pochede côté deson paletot. Cet homme,
reconnu comme étant le compagnon tail
leur A. B... fut arrêté aussitôt, mais il
laissa tomber par terre au moment de son
arrestation un morceau d'étoffe de soie
noire dans lequel étaient enveloppés de la
poudre, trois capsules et deux gros plombs,
objet qu'un garde de police ramassa immé
diatement.
Le pistolet était chargé balle, tout
armé, mais dépourvu néanmoins de cap
sule; il fut trouvé de suite après le départ
de S. M. l'empereur par deux jeunes gens
vis-à-vis de l'entrée principales du théâtre.
A. B... est marié et père de deux enfants.
Il a été remis la justice.
Ml .1» 'M.
C'est un fait étrange que les soldats et les ma
rias, biea que mieux vêtus et mieux nourris que la
majeure partie de la population, sout plus atteints
de la mortalité. Ce fait extraordinaire a été suffi
samment prouvé dans la plupart des contrées.
Uue cause de maladie provient infailliblement
de l'oisiveté qui engendre le vice; ruais, en même
temps, ou peut se demander quelssoul les meilleurs
remèdes pour guérir complètement cette maladie.
Nous dous rappelons un incident frappant sur
ce point et bien reconnu, savoir que des centai
nes de uos troupes, deviennent hors de service,
par suite de ces deux maladies dominantes dout la
nature afflige les licencieux nous tenons le fait
auquel nous faisons allusion d'un malade urêine. 11
raconte qu'il s'érait embarqué de l'Inde dans un
état de sauté délabré, après avoir vatuement essayé
tous les remèdes prescrits par l'autorité, lorsqu'un
vieil officier du pays, voyaut sa positiou, l'engagea
b essayer des Pilules et Onguent Holloway. Le
malade n'avait pas confiance dans ce retnede, mais
il consentit b eu faire l'essai, peusaut bieu que si
ces médecines ne lui faisaient pas de bieu, elles ne
pourraient certainement pas le rendre pire qu'il
u'était. Mais, grande et des plus agréables fut sa
surprise, en trouvant le plus immédiat soulagement
dans ces retnedes dont il avait l'habitude de rire,
comme s'us avaient été de simples drogues pour
attraper de l'argent, ou de ridicules panacées. t-'Eu
quelques semaines, dit il, les Puutes et l'On
guent Holloway m'ont complètement gueti. Les
laits sont pioveibiaicuieul des habnudrs enracinées
et le cas présent, relaté par uue personne reconnue
iuctédule et communiqué d'antres qui n'avaient
aucun intérêt, parle aussi baut que des volumes, en
faveur des Remèdes du Projesseur Holloway,
auxquels tant de rutilions de personnes sont rede
vables de l'existeuce et de la restauration de leur
santé.
A aucune classe de personnes les Remèdes Hol
loway n'ont été plus serviables qu'aux ëmigrants,
si souvent attaqués de toutes sortes de maladies
incurables; partout on trouve des témoignages de
leors précieux et invariables succès. Suivant les
statistiques que possède Thomas Hollowayles
-^>remiets colons, envoyés b la Grande Rivière par
la Nouvelle Compagnie Anglaise, en 1802-1855,
reçurent l'ordre de se pourvoir eux-mêmes de
quelque médecine de famille, de leur propre choix.
Ils choisirent les denx célèbres remèdes Holloway
quidepuis ne forent jamais oobliés parmi les
provisions de l'émigrant. Avec de tels faits sous
nos yeux et nous pourrions en ajouter plusieurs
antres pourrions-nous douter que le nom
d'Holloway ne survive aux siècles b venir, comme
le conservateur de la santé et de la force et le
préservateur de toute maladiealors même
qu'Harvey, Abernethy, Astley Cooper et Brodie
seront oubliés? Colonial Correspondent.
Onguent et Pilules Holloway.Rhumatisme
et Névralgie. Bien que la première de ses affec
lions attaque sans pitié les personnes jeunes et
robustes, tandisqne l'autrechoisit ses victimes parmi
les faibles et les délicates cependant le même médi
cament les guérira infailliblement toutes les deux.
Après que les parties affectées ont été soigneuse
ment fomentées avec de l'eao salée et que la peau
a été bien essuyée il faut, pendant quelques minu
tes, les bien frictionner, deux fois par jour, avec
l'Onguent Holloway; on prendra, en même temps,
de ses Pilules suivant les Instructions impriméts.
Ed effet, des Instructions, clairement détaillées^
entourent chaque boite de Pilales, comme chaque
pot d'Oguent et quiconque les suivra attentivement,
pourra facilement et avec succès, être sou propre
docteur.
r
La Revalenta Arabica Du Barry économise
mille fois son prix en d'autres remèdes et guérit
radicalement les mauvaises digestions (dyspepsies),
gastrites, gastralgies, constipations habituelles,
hémorrhoïdes, vents, nervosité, désordre du foie et
de la muqoeose, acidité, pituite, nausées, vomisse
ments après repas et en grossesse, aigreurs, diar
rhées, crampes, spasmes, insomnies, toux, asthmes,
phtbisies (consomption), dartres, éruptions, mé
lancolies, rhumatisme, goutte, épuisement, dépé
rissement, manque de fraîcheur et d'énergie.
Core N# 65,i84. Juraet, près Charleroi, g
mai i865.—- Votre précieuse Revalenta Arabica
vient d'opérer la gnérison de ma femme, sujette b
des souffrances et b des vomissements continuels. Il
est inutile de vous ennuyer dé longs détails sur sa
maladie et sur les maux qui, depuis 4 ans, la tour
mentait sans trêve. Eofin un brave médecin de nos
environs lui conseilla de faire usage de votre farine.
Elle commença b s'en servir le 19 avril dernier, et
déjà, au grand étonnement de plusieurs personnes,
les vomissements ont cessé; le sommeil est redevenu
paisible, les douleurs du cœur, de l'estomac, e! des
reins cèdent insensiblement et sont déjb presque
nulles. Je suis résolu b attester devant tout le monde
les immenses services que la Revalenta Arabica
a rendus b ma femme et b conseiller l'usage de cette
farine b tonte personne souffrante. Agréez,
L.-J. DURY, menuisier.
L)U BAHRY, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Eu
boîtes de 114 kï!M 2 fr. 25 i|2 kil., fr. 1 ki!., 7 fr.; 2 1 jt
kil., ï6 fr.6 kil., 32 fr. 12 kil., franco, 60 fr. Contre hou
de poste. La Revalenta chocolatée du Barry. Aliment exquis
pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assimilant
foitifiaut les nerfs et les clia.rs. sans causer de maux de téte,
ni échauffement, ni les autres iuconvéuients de- chocolats or-
diuairimeot eu usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-2D; 24
tas«ps, fr. 4î 4§ tasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 32; d76 tasses, 60
frSe vendYpres .c/tesMM. FRYSOU, pharm.; BECTJWE,
ph. G. YEYS, ph.; MAHIEU, confiseur, et dans toutes
les villes, chez les premiers pharmaciens, épiciers et confiseurs.
L'ADMINISTRATION COMMUNALE a
l'honneur de prévenir les intéressés qu'à
dater de ce jour, les plan et tableau indi
catif concernant les emprises faire sur le
territoire de cette ville pour la construc
tion du Chemin de Fer direct d'Ypres vers
Roulers, sont déposés leur inspection
durant huit jours la Salle bleue de l'Hôtel-
de-Ville.
La commission mentionnée l'article 7|
de la loi du 8 Mars 1810 pour recevoir les
demandes et les plaintes des propriétaires
qui soutiendraient que l'exécution de cette
ligne n'entraine pas la cession de leurs
propriétés, se réunira le 16 courant midi,
en la prédite Salle bleue.
Fait l'Hôtel-de-Villele 7 Novembre 1866.
LES BOURGMESTRE ET ÉCHF.VIRS,
l'Ali ORDOyPAKCE -
Le Secrétaire,
J. DE CODT.