A. A VENDUE DE GRÉ A GRE,
B. A LOUER,
H0FSTEDEN
Pilules Holloway. Indigestions, Mala *ies
do Foie ei de I'Eoouihc. l.es personnes souf-
Iram de quelques déiangnueuis du foie, de l'esto
mac, ou des orgaoes de la digeslion, auront recours
aux Pilules Holloway, parce qu'il n'y a aucune
inéJecine counue qu'il agisse sur ces maladies spé -
cialesavec un tel succès. Elles foriifieoi le ion de
l'esiouiac, aiguiseui l'appétit, purifient le sang, et
corrigera les sécrétioos impures. Dans les maladies
i o r est i ri aies, elles en chassera la cause première, et,
bientôt, les nétralgies, les migraiues, et les dépres
sions d'espriis, peuvent être prompiemeni soulagés
par on traitement avec ces Pilules. Elles sool com
posées de rares piaules palsamiques, sans mélange
d'aucune parcelle de mercure, ni d'aucune subs-
lauce nuisible, et elles soin aussi saines qu'efficaces.
BECELAERE EN IV100RSLE0E
BECËLAEBE (wylc Feiberg.)
MOORSLEDE, gehuchte Slgps.
L'assassin, on jeune homme, avait cher
ché d'abord fuir Son second coup, dirigé
comme le premier contre l'empereur de
Russie, avait éclaté La fuite était impos
sible.
L'assassin était placé a droite de la voi
ture, du côté du Czar, derrière le fil de fer,
demi caché par les taillis.
Ainsi aposté. il n'était pas plusdeqna
tre pas de la voiture.
Il avait propahlement compté s'enfuir
dans le bois. Il y avait peu d'agents de
police sur cette route, et aucun cavalier
n'eût pu le suivre parmi ces troncs serrés
et ces broussailles.
Retardé sans doute par la nécessité de
tirer son second coup, le premier ayant
été perdu l'assassin ne put profiter du
premier moment de stupeur. Il ne pensa
fuir lorsque le cortège avait disparu. Il
était trop lard!
La foule s'était amassée, de toutes parts
accouraient curieux, agents, soldats, c'était
un fiot croissant sans cesse. Un groupe qui
criait avec intensité: Vive l'Empereur!
entourait l'assassin. C'était une lutte ter
rible. Elle dura près de dix minutes.
Le flot, la masse informe, s'agitait, rou
lant d'un côté l'autre de la route, bi isant
les arbres, faisant trembler le sol. Les
agents s'étaient élancés au plus fourré du
groupe. L'assassin était au centre, tiré par
les uns, poussé par les autres.
Les agents, craignant une évasion, trou
blés et cela était bien naturel par
l'importance de leur mission, et aussi par
les cris proférés, par les manifestations
d'enthousiasme et de colère, s'efforçaient
de dégager l'assassin de ce groupe, gros de
cent et quelques personnes.
A un moment ils durent dégainer et
l'éclair des épées se mêla au mouvement
agité des bras.
Une voilure arrivait. Une personne qui
l'occupait descendit. Aussitôt quatre agents
en bourgeois escaladèrent le toit de cette
voilure et s'y assirent.
En même temps, trois autres agents
poussaient le prisonnier dans l'intérieur et
prirent place côté de lui.
La foule qui se pressait aux abords des
lacs et sur la roule qu'ont parcourue Leurs
Majestés pour rentrer aux Tuileries igno
rait l'événement bien longtemps après le
passage du cortège.
Trois ou quatre cents personnes avaient
seules assisté de près ou de loin au drame
dont une des allées les moins fréquentées
du bois venait d'être le théâtre.
Une scène des plus émouvantes s'est
passée l'église russe après la cérémonie,
les deux princes, fils de l'empereur Alex
andre, se sont jetés au cou de leur père en
pleurant.
L'émotion de l'empereur Alexandre a
été partagée par l'empereur Napoléon et
les deux souverains, entraînés par un
même sentiment, se sont embrassés. Il est
impossible de rendre l'efTet de celte scène
sur l'assistance d'élite qui remplissait
l'église.
L'Etendard oublie une dépêche de
Varsovie annonçant que la ville entière a
pris le deuil en apprenant l'attentat.
Les nobles s'inscrivent chez le lieutenant
de l'Empereur. La noblesse s'est réunie
immédiatement et a désigné une députa-
tion qui sera chargée d'aller Paris pour
remettre aux empereurs Alexandre et
Napoléon une Adresse témoignant l'hor
reur qu'a inspirée l'attentat.
Vendredi soir, les établissements
publics et un très grand nombte de mai
I" Une belle et vaste PROPRIETE
RURALE située Arlon, consistant en
Habitation, Moulin 5 pairs de meules,
mu par eau, Écuries, Elables, Granges,
vastes Greniers et autres Bâtiments et 41
hectares de Terres labourables et Prés de
bonne qualité. Elle convient par sa situa
tion tout établissement industriel tel que:
brasserie, distillerie, sucrerie, etc. Contrat
en main prix 52,000 francs dont 15,000
payables comptant et le restant des ter
mes convenir.
2° - Une EXPLOITATION RURALE de
20 hectares située Auloy, contrat en
main, prix 21,000 fr. dont 6,000 payables
comptant elle restant comme dessus.
sons particulières ont été illuminés. Les i
principaux boulevards et les principales
rues présentaient un aspect magnifique. Il
y a partout une foule immense.
Samedi, l'Empereur Napoléon revenant
de Saint Cloud est passé par l'Exposition,
où il a reçu une ovation enthousiaste.
Une autre ovation très-chaleureuse a été
faite hier soir par la population au Czar,
qui allait au Grand Hôtel voir sa sœur, en
voiture découverte.
Une correspondance parisienne dit
qu'en fouillant l'assassin Berezowski, on a
trouvé encore sur lui deux revolvers 5
coups; elle ajoute a Lorsqu'il fut terrassé
on a fait sortir les personnes qui s'y trou
vaient et on y mil l'auteur de la tentative
criminelle. Le préfet de police y est entré
avec lui et s'est mis ses côtés avec un
gendarme pour l'amener la préfecture
de police.
Les deux Empereurs qui devaient s'en
retourner par les Champs Elysées ont pris
le chemin par les quais tandis que leurs
voilures s'en allaient par les Champs
Elysées. La population était tout étonnée
de voir les carosses vides. Le Czar était
très-ému et l'Empereur des Français aussi
se montrait fort impressionné.
M. Rainbeaux, écuyer de l'Empereur,
qui a couvert, en faisant avancer son che
val, la voilure des deux Empereurs, est
Belge.
Le Figaro dit que le sens des paroles
prononcées par l'assassin a été Je crois
avoir agi selon mon droit et mon devoir.
Je regrette seulement d'avoir agi en France,
car je dois de la reconnaissance ce pays.
lieux ouvriers ont été atteints la tempe
par des débris de l'arme.
Le Czar a conféré M. Raimbaud la
plaque de commandeur de l'ordre de
Saint Stanislas.
S. M. l'Empereur de Russie vient
d'offrir l'Empereur iNapoléon les deux
plus beaux des trois chevaux qui figurent
a l'Exposition do Champ de Mars.
5° - Une EXPLOITATION RURALE Je
8 hectares située Arville, contrat en
main, prix 12,500 fr. dont 5,500 payables
comptant et le restant comme dessus.
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1° Une FERME de 71 hectares, fer
mage annuel fr. 1,500.
2" Une FERME de 40 hectares, fer
mage annuel fr. 2,000.
5° Une FERME de 55 hectares, fer
mage annuel fr. 1,050.
4" Une FERME de 20 hectares, fer
mage annuel fr. G00.
Toutes situées dans la province de
Luxembourg.
S'adresser pour tous renseignements au
Bureau de cette Feuille.
op
OPENBAER TE KOOPEN.
Den Notaris CHMSTIAEN, te Passchen-
daele zal van wege de Eigenaers openbaer
te koop veilen de volgende onroerende
Coederen, staende en gelegen op
,.n T0T EN MET DEN g.n KOOPi Eene HOF-
STEDE mei Holplaets, Woouhuis, Schuer, Koei-
en Peerdsial alsraede «erdere Gebouweri, «oorts
HovenierliofZaeilanden Weide Meersch en
Bosch, le zatueo grool g hectaren 98 aren 10
ceuliaren, palende aen de landen der kindereu
Vermeulen de beeren Malengie, Daoneel, Van-
dernieersch Vandenhogaerde Pyssonnier deu
disch «an Ypereu de weduwe en kinderen De-
wilie, deu keiweg, sieurs Platteeuw eu D'halluin,
de Spilstiael eu M' den Miuisier Van deu peere boom;
gebruiki door de kinderen Depuydt mits 1,100
francs, boven de lasien by de jire met regt vau
pachi, tôt ien October 1871.
Dezeloe zullen in eene en meer zamenvoe-
gingen aengeboden worden.
io" tot en met den 18,n koop. Eene
HOFSTEDE met Hufplaets, Woonhuis, Schuer
en Stalling, «oorts Bonmgaerd, Ho»enierho»eken,
Zaeilaoden en Meersch, «root in Erve 3 hectaren
87 aren 06 ceniiareu, palende aeu de landen van
Joseph Mortier eu l.eo Dekein, den heer Oiietare
kinderen Feys, de Sprieistraetden heer Regte,
Deoecker en den heer Camille Delevingne, Joufr
«rouvv Gbys en aen den bebouwden grond »a-
Joseph Bos'yn; gebruikt door Louis Lowagien
mits 55o francs boven de lasten by de jare, me,
régi van pachi tôt deu 1 October uaesikocuendet
De zelve koopen zullen 00k in eene en meer
zamenvoegingen aengeboden worden.
De ziltingen voor de verkooping zullen
plaets hebben len dorpe van Passchendaele,
ter herberg Sinl Hubert bewoond by Petrus
Dejonghe, te weien
Den INSTEL op Woeksdag 19e" Jury 1867
en de VOLSTREKTE TOEYVYZING den
Wokksdag 3e" July daerna ten 5 uren na-
middag.
De titels en voorwàerdeo herusten bv
dilo Notaris GHBISTIAE1S, 00k aile inlicb"-
tingen te bekomen by den Notaris DU-
FORT te Ledeghera.
instelpenningen te vvinnen.
By plakbrieven wydlovp'ger besvhreven.