Y PRES.
ÉTAT-CIVIL D'YPIIES,
L'ERREUR D'ÉMOLIE;
4
ÉTAT-CIVIL DE POPER1NGI1E
MARCHÉS.
POPERINGHE, C DÉCEMBRE 1867.
nature
successivement curé Oosterzeele, curé
Alost, curé doyen Grammont. En 1849,
il fut appelé par Mgr. Delebecque aux
hautes fonctions qu'il a remplies jusqu'à sa
mort.
M. le vicaire général De Decker était
frère de M. le chanoine B. De Decker et
de M. Pierre De Decker, ancien ministre
de l'intérieur.
M. Van Tambacht, curé Vladsloo,
y est décédé le 4 décembre, I âge de près
de 66 ans.
Avant hier, 10 h.a été célébré en
l'église S'-Martin un service funèbre pour
le repos des âmes des zouaves pontificaux
glorieusement tombés pour la défense de
la plus juste des causes. Une foule énorme
de fidèles assistaient cette imposante
cérémonie. Au milieudu transcept s'élevait
un immense catafalque, couvert de cou
ronnes d'immortelles, flanqué ses angles
dedrapeaux pontificaux couverts de crêpe,
et entouré de nombreuses trophées d'ar
mes arlistement disposées.
NOUVELLES DIVERSES.
Les dégâts occasionnés par l'explosion
du gazomètre de Roulers sont évalués
4,000 fr. La cause de l'explosion n'est pas
encore déterminée.
L'Écho d'Ostende annonce la perte,
sur les d'Angleterre, du navire belge Pro
grès, récemment acquis Anvers, par une
maison d'Ostende. L'équipage du Progrès
est sauvé, mais le navire est totalement
perdu.
On écrit d'Ostende que le brick an
glais Minerva, allant du Havre Schields,
la goélette française Valentin-Julien, allant
Amsterdam, et une goélette anglaise ont
fait naufrage sur la côte.
Mardi, 47 jeunes gens, dont 31 Hol
landais et 16 Belges, ont quitté Gand
l'effet de s'enrôler dans le régiment des
zouaves pontificaux.
Dans le nombre des sinistres occa.
sionnés, dit l'A/nr de l'Ordre, par l'ouragan,
on cite cinq bateaux coulés près de Huy
et un La Plante.
Plusieurs officiers de l'armée hollan
daise ont demandé pouvoir suivre l'expé
dition anglaise d'Abyssinie. Quelques-uns
d'entre eux ont obtenu celte autorisation.
Plusieurs journaux ont annoncé la
mort de M. de Lamartine. Cette nouvelle
est heureusement sans fondement. M de
Lamartine,qui habite son château de Mont-
ceau, près Mâcon, souffre toujours de dou
leurs rhumatismales. Mais, en ce moment,
son état est relativement très-satisfaisant.
L^ VERITE ETABLIE SUR SES RUINES.
C'est uo grand travail d'extirper les vieilles
erreurs. C'est une plus noble tâche encore de les
remplacer par des vérités. Il y a environ 25 ans,
qu'Holloway, le Grand Réformateur Médical,
entreprit le premier de ces travaux d'Hercule, et il
a, depuis longtemps, accompli le second. Il trouva
le jardin de la science médicale on petit labyrinthe
de l'erreur, entouré des chevaux de frise des pré
jugés. Il fit table râse; il implanta uu nouveaux
système; il dévooa ses talents, ses ressources et sa
vie b son développement.Ce système a réussi, parce
que la vérité triomphe toujours. Il plane sur le
inonde entier.
Ce système n'est pas complexe. Il comprend
seulement deux remèdes. Pilules et Onguent
l'uu pour la maladies ioternes, l'autre pour les
nombreuses maladies externes auxquelles l'homme
est exposé Toutes les nattons du monde civilisée!,
au moins, le quart de la population sauvage du
globe ont eu l'occasion de jooir des bienfaits de
cette découverte; et partout où ces médecines ont
été introduites, les effets eo ont été tout ce qu'on
pouvait désirer ou espérer.
Depuis des années, les Pilules et Onguent Hol-
loway accomplissent des miracles sur les maladies
les plus communes de l'Amér iqne du Sud. H ri était
point besoio de la sanction officielle des différents
gouvernementsni de l'approbation de la Keine
d'Espagne pour preuve certaine de leur supérioiité.
Nous avons uoe garantie de leur valeur dans les
milliers de guéiisous, bien attestées longtemps
avant que le ministère Espagnole eût décrété leur
introduction dans ce royaume; longtemps avant
que la Reine Isabelle d'Espagne, Donna Maria, la
feue Reine de Portugal, et Ferdinand II, l'ex Roi
des Deux Siciles, et autres Souverains eussent
honoré leur inventeur de leur royhl patronage et
de leur bienveillance.
Il semblerait que ces deux préparations soient
spécialement efficaces pour une classe de maladies
ti ès géuérales dans tous les c imais. Si notre popu -
latiou n'est pas sujette a plusieurs des maladies des
climats plus froids en revanche elle paraît avoir
plus que sa part de toutes les douloureuses mala
dies externes. Sur tout le continent, des afflictions
d'un caractère lépreux, ainsi que tomes sortes de
maladies cutanées qu'on puisse imaginer sont le
fléau de ses habitants. Le sang plus froid des indi
gènes des zones tempérées les rend moins sujets aux
inflammations superficielles que les habilauts des
tropiques. Ici, nous eo avous d'une espèce liès-
désagréable plaies, ulcères, tumeurs, maladies
depean, boutons, éruptions et irritations provenant
de piqûres d'insectes vénéneux. Pour toute la fa
mille humaine, l'Onguent Holloway est d'une ines
timable importance. C'est enlever au malade qui
eo a dans sa demeure, ou qui pens s'en procurer
facilement, moitié de sa terreur, de lui apprendre
qu'une guérison certaine est sa portée. Nous ne
pensons pas qu'aucune médecine ait jamais été
aussi populaire, dans aucune partie du monde, que
le sont partout les Pilules et l'Onguent Holloway.
Dans le Venezuela, la Nouvelle Greuade, l'Equa
teur, le Pérou, le Chili. Buenos, Ayres, et l'Ura-
guay, ou peut dire que ces médecines s'entreposent
comme articles de commerce. Rieu n a été trouve
d'aussi efficace comme ces Pilules, pour les déran
gements de la bile, si fréqueois le long de la vallée
de Rio de la Plata el sut la côie maritime, pendaut
les saisons malsaines et nous savons que les ageuts
dans les principales villes de ces pays ont jugé né
cessaire, depuis un an, de doubler leurs importa-
tionsjpour ces deux médecines. - South American,
Pilules Holloway. Ces Pilules sont les
meilleurs remèdes pour tous les dérangements de
l'estomac et des iuiesiinsdes poumons et des
reins. Elles agissent d'une façon si remarquable et
surtout si douce, que les constitutions les plus déli
cates peuvent les prendre avec la plus grande cou-
fiauce. Elles ne contiennent aucune parcelle de
mercure, ni autre substance nuisible, étant exclu
sivement composées de rares piaules balsamiques.
Elles sont, eu conséquence, tout la fois saines et
efficaces, et, comme médecine de famille, rien jus
qu'à ce jour u'a été inventé ou découvert qui puisse
leur être comparé. Avec ces inestimables Pilules
la maiu prises suivant les instructions imprimées
qui entourent chaque boîte, ou u'a besoin d'aucune
autre avis, oi assistance médicale dans tous les cas
ordinaires de maladies.
Désormais nul ue pourra douter des cures mer
veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Du
Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues,
dous sommes heureux de pouvoir joindre celle du
Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi
Rome, 21 juillet 1866 La sauté du Saint Père est
excellente, surtout depuis que, s'absteuaDt de tout
autre remède, il fait ses repas de la Revalbnta
Arabica du barry.qui a opéré des effets surpre
nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les
avantages qu'elle fessent de cette excellente farine
dont elle prend tme assiettée chaque repas.
N* 49,422 M. Baldwin, du délabrement le
plus complet des nerfs, estomac, vessie iutestios
et paralysie des membres par suite d'excès de jeu
nesse. Cure n° 62,81 5, TIjviillies (Bel giqne),
3o septembre i863. Depuis 20 ans, j'ai souffert
d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résul
tent. Votre Revalenla Arabica a fait disparaître
la stupeur, la chaleur de l'estomac et les conges
tions cérébrales. j.-j. Nof.L. n 48 721, m. le
baron de Zaloskowski, général de divisirm de
souffrances terribles de plusieurs wuuées dans les
voies digestives.
DU 8ARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru
xelles. En boîtes de i|4 kil. 2 fr. 25; i|2 k..
4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 1|2 kil., 16 (r.; 6 kil., 52 fr.;
12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La
Revalenla chocolatée Du Barry, en poudre.
Aliment exquis pour déjeuner el souper, éminem
ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et ies
chairs,sanscauserde maux de tête, ni éthauffement,
ui les autres inconvénients des chocolats ordinaire
ment eu usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25;
24 tasses, fr. 4; 48 lasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 32
576 tasses, fr. 60, soit environ 1 o centimes la tas e.
Dépôt Y près chez MM. Frysou, pharmacien;
Becuwe, ph.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu,
confiseur. 8
DU 29 NOVEMBRE AU 6 DÉCEMBRE INCLUS.
Naissances 12. Sexe masc. 8, sexe fém.4.
Mariages. Contelle, Polydore, tisserand,
et Lalous, Sabine, dentellière. Thysebaert,
Charles, tisserand, et Lobbestael, Rosalie, journa
lière. Dewilde, Heori, ébénisteet Boyaert,
Eugénie, tailleuse.
DÉCÈS. Hovare, Rose, 78 ans, accoucheuse,
veuve de Jean Bartholomens, au Quai. Debra-
bander, Léonard, piéposé des douanes, époux de
Marie Devenyns. Wallaert, Sylvie, 46 ans,
sans profession, célibataire, rue du Verger.
Iloet, Justine, 36 aos, dentellière, célibataire, rue
du Cor beau. De Book, Jean, 65 aos, directeur du
Mont-de-piété, époux d'Eugénie Dunslager, rue
de Lombard- Joly, Henri, 46 ans, journalier,
époux de Dorothée Tanghe, rue de Menin.
Enfants au-dessous de 7 ans 4. Sex*
masc. o, idein fém. 4.
l>n novembre au fl néeenibre Inclus.
Naissances i 5. Sexe masc. 7, sexe fém. 8-
Décès. Reniere, Victoria, 62 aos, peigoeur
de laine, époux d'Amélie Dumelie, rue des Chiens.
Verl ie, Aloïse, 43 ans, tailleur, époux de Reine
Verbaeghe, Hôpital. Carron, Lucie, 21 ans,
dentellière, célibataire, rue de Dookerque.
Jansen, Marie, 75 aos, sans profession, célibataire,
Eehhoek. Verbaeghe, Marie, 7 i|2 aDS) Lys-
senthoek.
Enfants au-dessous de 7 ans 2. Sexe
masc. 1idem fém. 1
Froment, prix moyeu par hectolitre fr. 3o-o8.
Seigleid.
Avoine. id.
Pommes de terre les ;oo kilogrammes,
Beurre le kilogramme,
Houblon les 5o kilogrammes,
00-00.
1 i-5o.
9-00.
3-00.
fr. 100 101-00.
YPRES, 7 DECEMBRE 1867.
T .4 T Indiquant le. quantités et le prix moyen
de» Grain», Fourrages et autre» produits agri
coles vendu» au marché de cette ville
des
Gralus et Denrées.
quantités
vendues.
Kilogrammes.
PRIX
iiovek
par 100
kilogrammes.
Froment
Seigle
Avoiue
Pois
Féveroles.
Pommes de terre
Beurre
22,600
7,000
1,200
1,100
3oo
3,ooo
41 -5o
29 00
25 00
27-00
3o-oo
9 25
260-00
-
s» J=
80
75
44
80
80
Paio de farine de froment brute 36 C le kilo.
Idem pour les fondations de 5o c1, 83o gram.