ÉTAT-CIVIL DÏPiiLS, MARCHÉS. IJ nistère garibaldien Florence, il ne se tienne pas prêt augmenter immédiate ment le corps d'occupation du territoire pontifical. D'après les renseignements que nous recevons,ce devoir est dignement compris: les troupes françaises cantonnées Civita- Vecchia seraient dirigées de nouveau sur Rome. Fn même temps l'ordre aurait été transmis Toulon de disposer immédiate ment les transports, pour être en mesure d'embarquer vingt mille hommes dans une journée, aussitôt que l'ordre en arriverait de Paris. On écrit de Civita-Vecchia, le 17, YU- niià cattolica Le général de Failly est de retour de Rome, où il s'était rendu ces jours derniers avec le général du génie de France. Les garnisons françaises de Toscanella et de Monlalto sont rentrées aujourd'hui Civita Vecchia. On écrit de Londres, le 24 décembre, VAgence llavas Celle année, Noël ne sera pas gai Londres. La conspiration féniane, contre laquelle il faut lutter avec énergie, préoc cupe et assemhrit les esprits Assurément l'ordre finira par se rétablir, mais ce ne sera peut être qu'après que l'Angleterre aura passé par de rudes épreuves. De tou- testes conspirations des féniansrecemment découvertes, la plus sérieuse et la plus alarmante est celle qui paraît s'être glissée dans les rangs du 72e régiment de bighlan- ders l'un des plus distingués au service. Le sergent Maguire, de ce régimenta été arrêté sous la prévention de fénianisme. La police, Londres, a reçu un renfort de 1,000 hommes. Des milliers de constables spéciaux ont été admis prêter serment. Dans tous les édifices publics, les plus grandes précautions sont prises afin d'em pêcher tout incendie. Des ordres sévères sont donnés partout pourque l'on se tienne sur le service; on craint que les fénians ne veuillent profiler des jours fériés pour faire le mal, ce qui n'empêche pas les journaux fénians de prêcher hautement et ouverte ment la trahison. Le jour viendra où l'An gleterre se verra forcée de retirer ou sus pendre une liberté dont on fait un si cruel abus dans des vues d'anarchie et de dé sordre. l r s s !•- LliHi1! - ITALIE. ANGLETERRE. Londres, 26 décembre. Pilules Holloway. Débilité héréditaire. Les coDSiiiutioiv? altéiées qu'où néglige de soigner, se de'veloppent souvent au moment de la croissauce et causent plusieurs maladies opioiâtres. Ou prévient de telles conséquences au moyen de ces purifiantes Pilules qu'on peut prendre eu toute assurance, depuis les premiers symptômes des dé rangements de la santé jusqu'à sou complet réta blissement. Des instructions imprimées (qui entou- reot chaque boîte) sont les meilleurs et les plus siraplesguides,pourious les patients, la recherche d'un remède leurs maladies, récentes or chroni ques, et celte médecine convient admirablement pour améliorer la digestioo et aider l'assimilation, afin de renouveler la santé de ceux qui sont natu rellement délicats et de restaurer la force de ceux qui sont prématurément attaqués. Désormais nul ne pourra douter des cures mer veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Da Sarry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 2 i juillet 1866 La santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du babry.qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ue peut assez louer les avantages qu'elle ressent de celte excellente fatine dont elle prend uue assiettée chaque repas. Voici encore un petit extrait des 65,ooo guéti- sons sans médeciue par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry, qui économise ciuquaute fois son prix en d'auties remèdes. N° 62,812, Liège, le i4 novembre i863. Atteiut de dartres au bas de jambes depuis 1 85 1 se trouvant que le mal ue faisait que s'empirer sous le traitemeot de trois médecins qui m'assuraient du reste qu'a mon âge (55) la guérison était impossible, je me suis décidé, mou graud boubeur, faire usage de votre Revalenta Arabica qui m'a parfaitement guéri en peu de temps et affermi ma santé eu gé néral d'uue manière surpreuaute. Gr. Voos, con cierge au baoc d'épreuves des armes feu. N" 46,270, M. James Robens, négociant, d'uue consomption pulmonaire,avec toux, vomissements, constipations et surdité de viugt-ciuq anuées. DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. Eu boîtes de ij4 ktl. 2 fr. 25; l|2 k., 4 fr.; 1 kii7 fr.; 2 i|2 ktl., 16 (r6 ktl., 52 lr.; 12 ktl., franco, 6o fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée Du Barry, eu poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les uerfs et les chairs,sauscauser de maux de têie, ui échautfemeut, ui les autres iuconvéuients des chocolats ordiuaiie- rnent eu usage. En boues de 12 tasses, fr. 2-25; 24 tasses, fr. 4; 48 lasses, fr. 7; 288 lasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. Dépôt Y près chez MM. Frysou, pbarmacienf Becuvve, ph.; G. Veys, pb.; et veuve MahieU, confiseur. O Ul 20 AL 27 DÉCEMBRE INCLUS. Naissances 10. Sexe mase. 6, sexe letn. 4. DÉCÈS.Calmeyn, Marte, 35 ans, deutellière, épouse de Jeau Baeyeu, rue de Meutu. Baucéré, Marie, 5o ausbouiiquièie, épouse d'Auguste Borry, rue de Lille. lugelaere, Amélie, 43 ans, dentellière, épouse d'Henri Lebou, rue des Plats. Debaese Eiuelie 15 ans 1 ue du Verger. Julyt, Maite, 35 aus, sans profession, épouse d'islduie Ducoruey, rue de tSuesinghe. Tlui- peiuiau, Maite, 20 aus, deutellière, épouse de Léopold Cilor, tue de Lille. Dezitter, Caroline, 20 ans, deutelliere, célibataire, rue de Meniu. Deluroix, Meiaute, 77 aus, aubeigiste, veuve de Charles Thiebault, rue du Séiutuaire. Vau- graefschepe, Pierre, 77 ans, journalier, époux de Sophie Degryse, rue de Meniu. Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe raasc. 2, idem lém. 3. ETAT-CIVIL DE POPER1NGHE, lin 20 au 2 7 Décembre inclus. Naissances 9. Sexe masc. 4, sexe féru. 5. DÉCÈS. Gillebaert, Jeanne, 82 ans, cultiva trice, épouse de Joseph Btddeleem, Helhoek. Enfants au-dessous de 7 ans 3. Sexe masc. o, idem fém. 3. POPERINGHE, 27 DÉCEMBRE 1867. Froment, prix moyen par hectolitre fr. 28-70. Seigleid. Avoineici. Pommes de terre les :oo kilogrammes, Beurre le kilogramme, Houblon les 5o kilogrammes, 00-00. I1-25. «)-5o. 2 80. fr 95 100-00. YPRES, 28 DECEMBRE 1867. ÉTAT Indiquant le» quantités et le prix moyen des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au murchc de cette ville NATURE DES Grai 11.«i et lieiirécs. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX M T F X par 100 kilogrammes. g i G 1 t/) Cl O J! s- w Froment 22,700 O C c 80 4,900 28 75 75 700 24 5o 44 1,200 2 7- 5o 80 Fé«eroles. i,4oo 3o-oo 80 1 Pommes de terre 2,5oo 9 25 Beurre 260-00 Pain de farine de froment brute 35 c5 le kilo. Idem pour les fondations de 3o c5. 85o grani. 2 a - 2 c s M S» ZJj c a (Sj en 72, ce Z, -c v v El 5 •- - s V ta m** mmm Lu Z N Ld z o ta f: tWT f- fcC 3 45 S c S-S g S .2 cô 2 *5 C ta w e» c zz - v r*-* 3 - e£-2 g •- v. 2 J3 - r 2 - t, J; 2 t •- -J - S "3 2 M "t J. S5 S - SC 51 w N o a rs h '5 e."- s w - - C 2 - - - 1 s a K d r* a s o s =-0 V '3 .2 a CM o s s o-i s r -a s'i'vd .3^0: -A •- v tr Z! - u s - Z .2 K U 11 w te. 33 1 - g a 1 .fi T -n ui 1 Ici S»** w - ta r o o -2: -CO toi ^■s o L <b» «s -a o .S CL a QJ .5 C/D crt cj CQ <7D a S O) eo r1 T C* - ç«2 S - M b -C S 2 y s: n y:, wd :a; t r, WD WD tu O) CO CG

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Le Propagateur (1818-1871) | 1867 | | pagina 2