HOFSTEDE SCHOONEN HUISRAAD p 3 y prennent leurs ébats. Ces jours ci on a aperçu un grand nombre de requins d'une forte dimension sur nos côtes, aux alentours de South et de l'île de Wight. Avis donc aux baigneurs imprudents qui s'exercent piquer une tête du bord d'un yacht on qui s'éloignent de la côte quel* ques brassées de distance. Cela pourrait bien leur coûter un bras pu une jambe, moins qu'on n'ait la pré caution de porter une pique de fer épointée des deux bouts, comme les pêcheurs de perles'de Ceylan, de nager entre deux eaux d'avoir l'œil et de lancer adroitement, au moment opportun, la pique épointée dans la gueule du monstre marin. II vous reste alors la chance de le ramener terre et de vendre l'huile de sa carcasse. C'est une pêche qui n'est pas du goût dp tout le monde; en attendant, les soles, les merlans, les turbots ont disparu*, ils ont été dévorés en çbasse par ces rôdeurs de mer que le gulf stream nous a amenés.» Les baigneurs de Boulogne, Dieppe, etc., feront bien de considérer qu'en quelques heures les requins d'Angleterre pourraient devenir les requins de France". Le Progrès de C Aisne signale un dou blée! terrible malheur qui vient de frapper deux famillesdeBrissay Choigny: «Samedi dans l'après-midi, le feu dévorait deux maisons de cette commune; l'une d'elles «lait habitée par une pauvre femme et ses nombreux enfants. La mère n'écoutant que spn amour maternel, venait, au péril de sa vie, d'arracher aux flammes l'un de ces enfants, lorsqu'elle s'aperçoit que lai- pée, qui devait faire le lendemain sa pre- mièrecommunion, est restée dans là maison où elle va périr. Elle se précipite de nouveau dans ce brasier dont personne n'ose plus approcher. C'est la mort! lui crie l on de toutes parts... le toit chancelle: Vous êtes perdue! ces cris, la belle sœur de cette femme s'élance son tour pour l'empêcher de faire ce sublime sacrifice. A ce moment, le toit enflammé s'écroule sur les deux femmes, leur fermant toute issue. On les voit s'affaisser, étouffe'es par la ftyqçç, brûlées par la flamme. Après de longs efforts, on parvient cependant les retirer des décombres incandescents, mais .pour les voir expirer presque aussitôt. L'une de ces femmes laisse quatre or phelins, l'autre sept. Ces pauvres enfants sont presque sans aucune ressource. confiseur. 7 l i ÉTAT-CIVIL D'YPHES fcEER SCHOON E OOSTNIEUWKERKE, Opefibaer te Koopen, Den Nolaris ClIRISTIAEN te Passchen- daele, zal hy INSTEL op 12" en OVER- SLAG op 26" AUGUSTY I8G8, len 3 uren namiddag, ter herberg de lionne Espérance te Oostnieuwkerke, in hel dorp, openbaer te Koop veilen Eene schoone en wel hclimmerde Hofstede, groot onder bebouwden Grond, Tuin, Boomgaerd, goede Weiden eo Zaei- Janden H. 23 41 60gelegen op Oost nieuwkerke, noord van bel dorp, gebruikt door de kinderen van wylen Ferdinand Verpoorl, mils 2,650 francs, boven de las- len, by de jare, met pachl tôt 1" October 1871 by plakschrifien verdeeld in 20 koopen, behoudens zamenvoeging. De voorwaerdeu by dito Notaris, 00k inlichlingen te hekomen by de Noiarissen DEIiROUCKERE te Ronsselaere, LAGAE le Heule en TITECA te Vperen. VEUKOOPING T'YPRE, DYNSDAG 28" JULY 1868 en volgenden dagnoodig zynde, telkens om 9 ure 's morgens juist. Met den gereeden geldedoor 't ambt van e.'l. STRAGTeR Deurwaarder Tempelstraat, 24, t'Ypre. 2 3 fi 3"3 fi R H M as a S J c/> o A O -5 53 Ua s d - - "3 .2 3 S**- 5 i v ti'5 M a""^ - S B -3 -a -5 ^u a- 5.S~ u s -s .2 -= -L- -a •--=£?.. -ïiS „.SP3.H B - g -3-* AI-S Ï-8-S u S13 :»-§" - -5 .SP S. 0CÛ^.ÏB Ê3S'" 2 ïjS fi -£-fi 2 --o -^ n S 3 s-S°.sj i - 5 - 3- 1 o t O o o fi ïs«S 3 S .2 -3 .2.5-3 S) a s "fi jjjs a 03 3— H "O ji 2 a "3 t- -ô a, 5 a - 2jafi 5 "2 u o-3 -E o 1 -— —s 3 a s 7- 5-ÛS^Î3.» 9- r -iH* S aa""-3 _cda© ïra> M fi t 1 a a 1.2 3 3 "21 - - J O js C w eo W a lîiji»- 2 S fi fi o - S t: s-5 u tLiSA •"-'i S I a |5 5 m J o "S g -fi s 2 - -23 O K îm e y e i S H 23 S5 LJ 1/3 a: US US O ^srssuïs jjfi.tr 5" W 2 a s-; S a h Onguent et Pillules Holloway. Ur gente Nécessité. Ces préparations offrent les meilleurs moyens de chasser toutes les maladies iolerDes et eiteroes qui abondent dàds tous les pays. Dans les colonies, surtout, ces deux médica ments sont inestimables, car il n'y a que les indif férents qui peuvent rester sans posséder on antidote •atix maux accidentels et aux nombreuses maladies auxquelles le planteur est plus on moins exposé, alors qu'il est éloigné de tqut secours médical. Les entorses, coupures, brûlures, ulcères, abcès, varice^ et toutes les maladies de peau, sont promptement guéries par les remèdes Holloway. Les varices, les manx de jambes et toutes autres affections sont immédiatement soulagées et- graduellement guéries par l'emploi de ces curatifs et poriftanis remèdes, qui, .par leurs prix modérés et jeur universelle diffusion, se trouvent heureusement a la portée de chacon. -Ji- Ji, ji _i_. Désormais nul ne pourra doutçr des çures mer veilleuses obtenues par là Révalenta Arabica Do Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues, nous sommes beoreux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans.la Gazelle du Midi: m Rome,31 juillet 1866: La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses.repas de la Revalbnta Ar abica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Saihteié ne peut assez louer tes avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Les gastrites, gastralgies, toux, consomption, dépérissement pour lesquels la médecine n'offie aucun remède efficace, sout parfaitement guéris par la délicieuse Revalenta Arbica Du Barry, de Londres. Cure N* 63,476, Dieu soit béni! Iq Revalbnta Arabica mis fin a mes 18 ans de souffrances horribles de l'estomac et mauvaise digestion. J. Compare), curé. S1' Romaine-des-Isles. Cure N* 65,5» 1Dieu soit béui votre délicieuse Re- valbnta m'a sauvé la vie et rendu la santé. A. Brnnellière, curé. Vervant. Cme N" 53.860. M"' Gallard, roe do Grand S1- Michel, 17, Paris, d'une pbtbisie pulmonaire. Cure N* 4y,43i. Mu* E. iacobs, de souffrances horribles des nerfs, indigestions, éruptions, hystérie, mélancolie. DU BARRY, 13, rue de l'Empereur, Bru xelles. En boîtes de i|4 kil. 3 fr. 35; i|3 k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 3 i|3 kil., t6 fr.; 6 kil., 5a fr.; 13 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée Du Barry, eD poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffemeuf, ni les autres inconvénients des chocolats ordinaire ment en usage. En boîtes de 13 tasses, fr. 3-35; 34 tasses, fr. 4; 48 lasses, fr. 7; 388 tasses, fr. 3s 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. Dépôt Ypres chez MM. frysou, pharmacien, Bbcuwe, ph.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu; YPRES, 35 JUILLET 1868. .il '1 3 Si :t i. BUT Indiquant les quantités et le prix moyen des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville i 1 NATURE quantités prix D£3 VENDUES. HiTBS 2 0 a z G par 100 a L* 1 Grain» et Denrées. Kilogrammes. kilogrammes. 5 i su Froment 57,100 54-oo 80 4.goo 33 00 73 i Avoiue 600 39 00 44 I 1,100 37-00 80 1 Féveroles. 1,000 37-75 80 Pommes de terre 5,300 8 5o Beurre 365-oo Pain de farine de froment brute 5i c4 lé kilo. Idem pour les fondations de 3o c'. g3o- «rara. DU 17 AU Î4 JUILLET INCLUS. Naissances 4. Sexe masc. 3, idem fém. 3. Mariages. Destoovere, Jules, maçon, et Blomme Sophie, dentellière. LandetWyn Adolphe, journalier, et Verloingbe, Clémence, dentellière. décès. Hoet, Pierre, 68 ans, journalier, époux d'Amélie Baeleo, Vieux-Marcbé-au-Bois. Blancke, Idonie, 18 ans, dentellière, célibataire, rue de Meniu. De Waegbeuaere, Louis, 45 ans, charpentierépoux d'Horteose Ramant, roe de Meoin. Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe roasr. 5, idem féiu. o. PATRIMONIEELE op Inslelpenningen te winnen. BY UITSCHE1DING. van eenen Ten huize van M ad' de tvedùwe van den heer F. Bossaert, rcnteniersler, MOND- OF PATERSTRAAT, N* 13, c w a y - o 3 3-0 s s 5 us as H. v> a as u es o H US 55 td 55 US ub É-« CSS ui UJ i a 1 o» 3 v r- 0 cc x> - -3 r j - fit a tr eu-- -2 - flr 1 1. a 5 a si y -• Jl o O y o "S s cj fl a U 53 2 U *J "C .5 w a u _a rz p W)- C W tr cil -— 31 ï- s si 2 fi c 3 u a a i- -3 3 •s 3 w rn o o "O a a a a> -3 u T3 3 a en H "~z s -a o a V S Ji 30 Z, 1: J fi a j "C 0 -c ts a •- 5 ao g 1- M C- a s «3 01 _fi J*s v i» .2 a x 3 •jz V a v, V C2 ïm mm JS 3 -c u ço n m •- Jj "fi l eJJ I Jjp M n sa. s - 33 s e g S 2 - Z U - O -8 H A «n e/3 g 1.1 a - a -S as ÎT, - fi- s H •i M fa G w a- p C» WD 'm 3

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3