BELLE MAISON
OUATE ANTI-RHUMATISMALE
A LOUER,
DU Dr PATTISON.
noises (Gilly), de Bonne Espérance el du
Pays de Liège (Montigny). Pes ouvriers de
différentes fosses de ces charbonnages ré
clamèrent une augmentation de salaires.
Elle ne fut accordée nulle part.
Le nombre des mécontents s'accrut
insensiblement et le jeudi soir ils se réu
nirent en foule au Faubourg, et d'un com
mun accord ils décrétèrent le chômage.
Hier, en effet, le trait ne descendit pas
au n® 2. Des bandes d'ouvriers se formè
rent dans le voisinage de la Broucheterre
et sur la place des Haies de Gilly. L'ex
traction continuait dans la plupart des
puits que nous venons de mentionner,
mais elle était considérablement restreinte
un grand nombre d'ouvriers ayant fait dé
défection dès le matin.
Vers une heure, toute la gandarmerie
de Ghariéroy se rendait précipitamment
Montigny suivie d'un bataillon de 9° de
ligne. La troupe parcourut la Neuville se
rendant d'un établissement l'autre et
dispersant les groupes qui prétendaient
faire remonter partout les ouvriers.
A 3 heures, gendarmes et soldats étaient
postés en face du puits St-Auguste du
Charbonnage de Bonne Espérance (Monti
gny). Une bande d'une centaine d'individus
hommes, femmes et enfants, se tenait en
arrière, attendant patiemment le départ
des bonnets poils pour mettre son des
sein exécution. Grâce anx conseils de la
police de Charleroi et de Montigny, la
foule finit par renoncer sa résolution, elle
se dispersa ét vers cinq heures la troupe
put rentrer dans nos murs.
Le soir une nouvelle bande se forma et
se rendit la fosse de l'Épine. Les ouvriers
de ce puits furent prévenus que ce matin
le trait ne descendrait pas. A Gilly, des
menaces avaient été proférées par les
meneurs. L'autorité communale, avertie
de ce qui se passait, demanda de la troupe
et, versitrois heures du matin, un bataillon
d'infanterie, les gendarmes et quelques
chasseurs se rendirent Gilly plutôt pour
prévenir que pour réprimer les troubles.
La troupe bivaque sur la place des
Haies. Les travaux continuent la Réunion
et aux Ardinoises, bien qu'un grand
nombre d'ouvriers fassent défaut. Il n'y a,
pensons-nous, que le n* 2 du Mambonrg
et un puits du Pays de Liège qui chôment
complètement. Du reste, aucun désordre
ne s'est produit nulle part. Les ouvriers,
même ceux qui ne travaillent pas, sont
calmes.
Le Figaro publie une dépêche particu
lière de Madrid assurant que Prim soutient
la candidature du prince Alfred d'Angle
terre, qui est mal accueillie par la popu
lation.
On écrit de Berne, le 5 octobre, au
Journal de Genève.
Toute l'attention se concentre en ce
moment sur les affreux sinistres dont sont
frappés nos confédérés de la vallée de la
Reuss, duRheinthal, du Tessinet du Valais.
Malheureusement, le télégraphe, inter
rompu sur plusieurs points, ne permet pas
des communications rapides avec les lieux
inondés, ce qui fait que l'on est loin encore
d'être complètement renseigné sur l'éten
due des désastres.
On écrit de Berne, le 6 octobre
Le Conseil fédéral envoie dans le
Rheinthal une compagnie de sapeurs du
génie pour travailler aux réparations né
cessitées par les inondations.
Ce soir a eu lieu une grande manifesta
tion en faveur de la liberté et de l'égalité
des cultes. Une bande nombreuse a par
couru Madrid musique en tête et précédée
d'un transparent éclairé portant les inscip-
tions
A bas le Concordat
Abas les tyrans de Rome
Vive Rome libre!
La réunion démocratique tenue hier
s'est passée très-tranquillement.
Il a été prononcé des discours modérés
qui ont été écoulés avec calme et l'ordre a
été parfait.
Un décret du ministre de la guerre con
fère un grade supérieur aux caporaux et
officiers de l'armée entière jusqu'au grade
de lieute colonel. Le même décret accorde
aux soldats une remise de deux années de
service, qui se répartiront sur le service
actif et la réserve.
Le général Pieltain est nommé capitaine
général del'Aragon,et M. Milano Del Bosch
gouverneur militaire de Madrid.
Le corps des ballebardiers et la junte
consultative de la guerre sont dissous.
La tranquillité continue.
Plusieurs journaux critiquent le minis
tère portuguais, qu'ils accusent de vouloir
l'union ibérique.
Les journaux publient une proclamation
affichée Lisbonne, et qu'ils supposent
avoir été écrite en Espagne, proclamation
qui réclame l'union ibérique sous le roi
Don Luis.
Avant-hier, hier et aujourd'hui a eu lieu
la confrontation de l'ex prince Karageor-
gevitch.
Le bruit court que sa culpabilité a été
prouvée.
Nous apprenons que M. ADLER, cé
dant aux sollicitations de sa clientèle,
viendra un jour tous les mois, Ypres.
C'est une heureuse nouvelle pour notre
ville, car la réputation, le talentet l'estime
générale dont il jouit depuis longues années
sont un gagedeconfiance pourles personnes
qui ont recours son art. N'oublions pas
qu'il est le seul dentiste dans toute la Bel
gique qui a été couronné d'une mention
honorable de la faculté de médecine.
M. ADLER, a déjà produit plusieurs ou
vrages remarquables, entr'autres l'ostéo-
légie, traité sur l'art dentaire, en vente
chez les principaux libraires de Bruxelles.
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foncières charge du propriétaire.
S'adresser an Quai, N* 4.
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sortes, mal aux dents, lombagos, irritations de poitrine, maux de gorge, etc. Tous les
rouleaux qui ne portent pas la signature Pattison, sont des contrefaçons. En rouleaux de
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FRANCE.
Paris, 8 octobre.
SUISSE.
ESPAGNE.
Madrid, 8 octobre*
Maorid 12 octobre.
Madrid, 12 oetobre midi.
Madrid, 12 octobre, au soir.
PORTUGAL.
Lisbonne, i i octobre.
gg-bbebwbp
SERVIE.
Semlir, 12 octobre.
Onguent et Pilules Holloway. Judi
cieux Traitement. Bien que dans ce climat où
le changement de température est si fréquent, il
soit impossible de se préserver d'une mauvaise
santé, cependantgiâce l'adoption, b temps,
de ces remèdes, on peot diminuer beaocoup le
nombre et l'importance des maladies. Lorsqu'on
ressentira quel qu'irritation b la gorge où b la
poitrine, par suite d'enrouement, de toux ou de
respiration difficile, il faudra, sans délai, frictionner
ces parties avec l'Ongoent Holloway en prendre de
ses Pilules, en doses modérées pour augmenter
l'action curative. Ni catarrhes, ni plaies ne penvent
résister b ses remèdes. Des instructions imprimées
entourent chaque pot d'Oogueot comme chaque
boite de Pilotes; ces médicaments conviennent a
tous les âges et b toutes les classes de la société et
pour toutes les maladies ordinaires auxquelles l'hu
manité est sujette.
Désormais nul ne pourra douter des cures mer
veilleuses par la Revalenta Arabica Du Barry. Aux
milliers de bénédictions déjb reçues, nous sommes
heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est
constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21
juillet 1866. La santé du Saint Père est excellente
sortout depuis que, s'abstenant de tout autre re
mède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica
du Barry, qui a opéré des effets surprenants sur
lui. Sa Saiuleté ne peut assez louer les avautages
qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle
preod one assiettée b chaque repas.
Le problème de se guérir sans médicament a
été parfaitement résolu par l'importante décou
verte de MM. Barry, de la Revalenta Arabica
Du Barry, qui économise cinquante fois sod prix
en d'autres remèdes. Voici on petit extrait de
65,000 guérisons parfaites:
N* 62,476. Sainte Romaine des lles (Saôoe-et-
Loire), ce 3o décembre 1862. Monsieur,
Dieu soit béni! La Revalenta Arabica Du Barry
a mis fin b mes 18 ans de souffrances de l'estomac
avec faiblesse et sueurs nocturnes, pour m'accorder
de nouveau le précienx trésor de la santé. J.
Compare!, coré.
N* 47,121. M11' E. Jacobs, de quinze ans de
sooffrances horribles des nerfs, indigestions, érup
tions, hystérie, mélancolie. N* 48,514. M11" E.
Yeoman, de 10 ans de gastrite et toutes les bor-
reors d'une irritabilité nerveuse. N* 4g,842.
Mm< Marie Joly, de cinquante ans de constipatinu,
indigestion, des nerfs, asthme, toux, flalns. spasmes
et Dansées. N* 36,2 12. M. le capitaine Allen,
de la marine royale, sa fille d'épilepsie.
DU BARRY, t2, rue de l'Empereur, Bru
xelles. En boites de i|4 kil. 2 fr. 25; i|2 k.,
4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 i|2 kil., 16 fr.; 6 kil., 02 fr.;
12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. - La
Revalenta chocolatée Du Barry, en poudre.
Aliment exquis pour déjeuner el souper, éminem
ment nntrilif, assimilant et fortifiant les nerfs et
les chairs, sans causer de maox de tôle, ni échaof-
fement, ni les autres inconvénients des chocolats
ordinairement en usage. En boites de 12 tasses,
fr. 2-25 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7, 288 las
ses, fr. 32; 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 cen
times la tasse.
Dépôt Ypres chez MM. Frysou, pharmacien;
Becuwb, pb.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu,
confiseur. 6
