TAILLIEHOUT
VENDITIE
Op den 26" December 1868,
ANGLETERRE*
L'Observer annonce comme définitif les
nominations suivantes
Lord Bruce, l'intérieur; le duc d'Ar-
gyle, aux Indes M. foright, au commerce;
lord Granville, aux colonies; lord Russell,
lord garde du sceau privé lord Kimberley
président du conseil et ministre de l'ins
truction publique; M. Goeschen, l'admi
nistration des pauvres; le comte Grey,
maître général des postes; Villiers, lord
chancelier le comte Spencer, lord lieute
nant d'Irlande.
Jeudi a eu lieu Londres un meeting
révolutionnaire provoqué par l'association
internationale des travailleurs. On voulait,
l'occasion de l'anniversaire de la rtrort
de Baudin, témoigner ses sympathies pour
la victime du droit et de la justice.
Des radicaux de toutes les nations assis
taient cette réunion, et M. Alexandre
Besson en français, M. Bradlangh en an
glais et M. Weher en allemand ont tour
tour prononcé l'éloge de Baudin. M. Weber
l'a nommé le Robert Blum de la France.
Puis Félix Pyat a pris la parole et évoquant
l'ombre de Baudin Si elle pouvait par
ler, elle dirait aujourd'hui peuple de
Pariston représentant a fait son devoir,
la presse a fait son devoir, le barreau a
fait son devoir, ton tour àfaire le tien!
Après le discours incendiaire de Pyat,
qu'ont nccompagnéel suivi d'enthousiastes
applaudissements, l'assemblée a voté des
remercîments la presse et au barreau, et
le chant de la Marseillaise a terminé la
soirée.
ÉTAT-PONTIFICAL.
Le gouvernement fait publier une lettre
écrite par Monti avant son exécution Dans
cette lettre, Monti déclare qu'il a été affilié
aux carbonari en 1865. H se plaint de
ceux qui, après s'être servis de lui, l'ont
trahi et livré au bourreau pour sauver
leur vie. Il a exprimé son repentir, en
priant de le manifester au monde entier
par la voie des journaux. Il implore la bé
nédiction du Pape et lui recommande son
enfant.
AUTRICHE.
Le Conservatore de Trieste annonce que
le comité qui s'était formé pour élever un
monument la mémoire de l'empereur
Maximilien a réuni une somme de 60 mille
florins.
Il vieht de s'adrêssër au èonseil commu
nal p'ôur que celui-ci désigne un emplace
ment. Aussitôt qu'une résolution aura été
prise cet égard, le comité ouvrira un
concours pour la réalisation du projet qui
répondra le mieux au but qu'on se propose.
AMÉRIQUE.
Le dernier courrier du théâtre de la
guerre du Paraguay annonce que l'armée
alliée était, campée devant Angostura et
cherchait les moyens de tourner cette po
sition. Dans ces desseins, le maréchal Ar-
gollo, que le général Rivas, avec un renfort
important, devant rejoindre prochaine
ment, venait de traverser le Rio Paraguay,
la tête de 3,000 Brésiliens, pour marcher
directement sur l'Assomption et contrain
dre le président Lopez se rejeter en
arrière dans le district de Pirabebuy. Les
nouvelles télégraphiques qui ont annoncé,
postérieurement la date de la correspon
dance laquelle nous nous référons, le
passage de quatre cuirassés brésiliens
sous le feu de la batterie d'Angustora et
leur arrivée Villeta sont confirmées par
cette correspondance. D'autres cuirassés
et canonnières devaient les rallier dans le
but de remonter jusqu'à Malto-Grosso pour
fermer la roule de Bolivie au président du
Paraguay.
LA MORTALITÉ
SES CAUSES ET SES ADOUCISSEMENTS.
Û1P §TM9
0P PASSCHENDAELE,
zynde den 2t0 Kersdag, te beginnen ten
i ure namiddag, zal den Notaris CHRIS"
Tl AE N, byopenbarevenditieverkoopen:
Op Passchendaele, langs de kleine Rous-
selaerstrael, by het hofstedeken der kin-
deren Bruggeman, in den Dulferiing,
deelmakende van de bosschen van Pote-
ghems Goed.
50 koopen zeer schoon TAILLIEHOUT op
stam en daerna eeffige BÔOMEN, staende
op het hofstedeken derkinderen Crop, by
de Kalve.
Op gewoone voorwaerden en tyd van
betaling, mils goede borg stellende.
De vergadering by koop 1 in het gezeid
bosch den Dulfering.
Londres, G décembre.
Home, 5 décembre.
r-S» Q i|i fi i-Si
Il est tiès-péoible pour un homme de dire qu'il
ne sait pas, surtout dans une matière qu'il professe
ou qu'il est censé devoir connaître. Sa réputation
loi défend de confesser sou ignorance. De Ik le
grand accroissement de soi-disant maladies decœor.
Le médecio ne sachant pas, sans doute, discerner
immédiatement la cause de la maladie, iron.e nu
moyen tout prêt de se tirer d'embarras, en l'attri
buant k uue maladie de cœur. On ne nous com
prendrait pas si nous disions que ces milliers de
maladies de cet organe, le principal de la vie,
n'existe point; mais nous pensons fermement que
plusieurs maladies, dites de cœur, ne sont que le
résultat de la cirenlation imparfaite du sang, causé
par une mauvaise indigestion. Dans de tels cas, le
meilleur et le plus prompt moyen de soulagement
se trouve dans les Pillules Holloway, qui ont ob
tenu une réputation universelle. Elles agissent
directement sur le sang, ce véhicule par lequel la
nourriture se répand dans tout le système et indi
rectement sur tontes les parties du corps, restaurant
celles qui sont désorganisées, et donnant une nou
velle vigueur aux autres uoo eucore atteintes. Des
milliers de gnérisons obtenues et d'existences pré
servées sont Ik pour prouver leur efficacité.
Le vaste établissement d'Holloway (avec ses
iooombrables agences, son immense correspon
dance, et l'énorme quantité de sa publicité), son
intelligent système, an moyen du quel ses Pilules
et son Onguent sont dirigés dans chaque partie du
globe, est uue des merveilles commerciales du
monde. Persoone, si non on esprit supérieur, n'eut
pu concevoir nu tel plan. Il ne fallait rien moins
que l'énergie et la persévérance d'un autre Napo
léon pour pouvoir le mener k bien. Ou dit qu'il ne
se trouve presqu'aucon ouvrage imprimé, en quel
que langue que ce soit, où le nom d'Holloway
n'ait apparu, ni aucun port, de quelqu'importaoce,
sur le ri.âge de l'océan, de la ruer, ou d'une baie,
où ses médecines ne soient pas régulièrement con
signées. Ce sont des ctiratifs d'origine civilisée qui
ont gagné la confiance des nations sauvages et
demi sauvages. Les Malais, les Birmans, les Chi-
uois, les Hindous, les Indieus des Deux Amériques,
et en faii toutes les Dations de couleur qui sont
en communications avec les contrées chrétiennes,
ont plus on tnoios expérimenté leur influence for
tifiante et curative. Peu de temps avant la récente
insurrection des natifs de l'Inde, une forte com
mande fat envoyée par le Roi de Siam l'Agent
d'Holleway Singapour; et le Roi d'Onde, pen
dant son dernier séjour k Londres, déclara que les
Pilu les et l'Onguent Holloway étaieot les doos les
plus précieux que la Grande Bretagne fût accordés
aa monde oriental. The Nantuckian.
1
Onguent et Pilules Holloway. Rhu
matisme et Névralgie. Bien que la première
de ces affections attaque sans pitié les personnes
jeunes et robustes, tandisque l'autre choisit ses
victimes parmi les faibles et les délicates,cependant
le même médicameDt les guéri a infailliblement
toutes les deux. Après que les parties affectées
ont été soigneusement fomentées avec de l'eau sa
lée et que la peau u été bien essuyée il faut, pen
dant quelques minutes, les bient frictionner, deux
fois par jour, avec l'Onguent Holloway; on pren
dra, en même temps, de ses Pilules suivant les
instructions imprimées. En effet, des Instructions,
clairement détaillées, entourent chaqne boîte de
Pilules, comme chaque pot d'Onguent, et quiconque
les suivra attentivement, pourra facilement et
avec succès, être son propre docteur.
Santé tous par la douce Revalenla Arabica
Du Barri/délicieux alimeut réparateur qui a
opéré 70,000 guéiisons sans médecine et sans
purges. Elle économise cinquante fois son prix en
d'autres remèdes, rendant la parfai'e santé des f
orgtnes de digestion, des nerfs, poumons, foie et
inembraoe moqueuse, aux plus épuisés même,
dans les mauvaises ou laborieuses digestions (dys
pepsies), gastrites, gastralgies, constipations habi
tuelles, hémorrhoïdes, glaires, vents, palpitations,
diarrhée, gooflement, élourdissemeut, bourdonne
ment aux oreilles, acidité, pituite, nausées et vo-
raissemeuis même eu grossesse, douleurs, aigreurs,
crampes et spasmes d'estomac, insomnies, toux,
oppression, asthme, bronchite, pbthisie (consomp
tion), dartres, éruptions, mélancolie, dépérissement,
rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes, hystérie,
névralgie, vice du sang, hydropisie, manque de
fraîcheor et d'énergie nerveuse. 70,000 cures,
y compris celles de S. S. le Pape, le doc de Plus-
kow, Mm° la marquise de Bréhao, etc., etc. Plus
nourrissante qoe la viande, elle économise âo fois
son prix en d'autres remèdes.
Extrait de 70.000 guérisons. N* 52,081,
M. le duc de Plnskow, maréchal de Cour, d'une
gastrite. N* 48,842, M"" MatieJoly,de 5o
ans de constipation, indigestion, des uetfs, asthme,
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sommeil et énergie aox personnes et aux enfants
les plus faibles, et nourrit dix fois mieux qoe la
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