TAILLIEHOUT
VENDITILnTAILLIEHOUT.
la BàfilfôDM
Nous n'en avons pas encore fini avec
les assassins dil le Courrier de Marseille
Hier soir, la place Neuve a été, vers quatre
heures, ensanglantée par une triple tenta
tive d'assassinat, accomplie dans les cir
constances suivantes Des agents de police
étaient la recherche d'un assassin qui,
samedi dernieravait porté plusieurs
coups de couteau un de ses compagnons.
Ils procédaient leur enquêtelorsqu'ou
leur montra sur la place un Italien de la
province de Bénévent qui, il y a quelques
mois, avait donné un coup de rasoir un
de ses compatriotes et avait pu jusqu'alors
se dérober toutes les poursuites. Les
agents s'approchèrent de cet homme et
lui demandèrent son nom.
Après avoir constaté son identité, ils se
préparaient l'arrêter et le conduire
la préfecture, lorsque ce misérable, sor
tant vivement sa rnain de sa poche, lança
deux coups de couteau terribles l'agent
qui était le plus près de lui, et lui fit deux
profondes blessures la poitrine. Un
second agent s'élança, il fut frappé au bas
ventre et tomba; un troisième, atteint
égalemeutau ventre, s'aiïaissa baigné dans
son sang.
Un sergent de ville, voyant cet horrible
spectacle, qui s'était passé en moins de
temps qu'il n'en faut pour l'écrire, accou
rut pour saisir le meurtrier, il eût subi le
même sort que ses camarades si la foule
indignée ne s'était précipitée sur le bandit,
ne l'avait contenu, désarmé et conduit au
poste.
En cette circonstance, les assistants de
cette scène barbare ont montré la plus
vive indignation et déployé le plus grand
courage.^lls auraient fait justice sur le-
champ, tant la colèrepubliqueélailgrande.
Les agents, blessés sont tous trois d'an
ciens militairesayant les meilleurs étals
de service et qui en maintes occasions ont
déjà couru de grands dangers en exposant
leur vie pour le service de la société. Leurs
blessures offraient un caractère de gravité
exceptionnelle.
L'assassin s'appelle Douva; il est âgé de
vingt sept ans, né Morconiexerce la
profession de maçon, et n'a pas de domi
cile fixe.
Nous lisons dans VÊcho des Cévennes
au sujet d'un incendie survenu un de ces
derniers jours Valleranguequi aurait
pu occasionner un véritable désastre
M. Eugène Sévérac, chaudronnier dans
cette ville, s'étant aperçu qu'une bonbonne
pleine de pétrole perdait du liquide, vou
lut voir par où il s'échappaitet dans ce
but approcha sa lampe de trop près. En
un clin d'oeil il se trouve entouré de flam
mes. Hercule Dumont, qui se voit présent,
a la barbe et les cheveux brûlés.
Deux autres bonbonnes en zinc, con
tenant environ 150 litres de pétrole cha
cune, prennent feu également. Il devenait
dès lors impossible de sauver aucun objet
inflammable contenu dans le magasin.
Une première tentative de sauvetage
au moyen d'une certaine quantité d'eau
jetée sur les flammes, les active au lieu de
les éteindre. C'est alors qu'on a la bonne
idée de les combattre avec de la terre. Ce
procédé aurait amené les meilleurs résul
tats, sans la courageuse témérité d'un des
sauveteurs, qui eut l'imprudence d'entrer
dans le magasin d'y saisir une bonbonne
remplie de pétrole et de sortir avec ce
fardeau mais en passant au dessus des
flammes, la bonbonne avait pris feu, ce
qui obligea le porteur la lâcher au milieu
de la rue. Les flammes se répandent aus
sitôt comme un torrent au milieu des
travailleurs, qui ont juste le temps de se
sauver. En plein air les flammes s'élèvent
au-dessus des maisons et menacent de tout
envahir.
C'est alors qu'un émouvant spectacle,
pouvant devenir en un instant un drame
lugubre se présente aux yeux des assis
tants M"" Pauline Sévérac, placée au haut
d'un escalier qui conduit sa filature, se
trouve prise entre le mur et les flammes
elle ne peut reculer et n'ose pas avancer.
Les flammes vont l'atteindreetpour se
sauver, il faut de toute nécessité qu'elle
les traverse en partie. Nul ne peut l'ap
procher et lui porter secours, mais on Ini
parle, on lui indique ce qu'elle doit faire
pour son salut.
ESPAGNE.
La Gazette constate que les élections
continuent tranquillement. Un conflit avait
eu lieu Kemolinos, dans la province de
Saragosse, entre deux partis qui divisaient
le village.
La Correspondent publie une lettre de
Florence annonçant que le prince de Ca-
rignan viendrait passer quelque temps
Madrid. Des appartements seraient déjà
retenus pour lui.
Un décret de M. Sagasta rend obligatoire
pour les municipalités et les provinces,
dans le délai de 50 jours, la conversion en
bons du trésor de leurs fonds déposés la
caisse des dépôts.
L'Êlandarle publie une brochure carliste
imprimée Paris, qui conclut en ces ter
mes Vivent l'unité catholique! les li
bertés la patrie et don Carlos VII!
Les élections sont terminées. Les résul
tats connus font présumer que les élections
de Madrid sont favorables au parti monar
chique libéral.
Le nonce a transmis au Pape le vœu du
gouvernement provisoire de voir commuer
la peine des deux condamnés mort.
Les élections Séville et Barcelone sont
républicaines.
Dans le consistoire, le Pape a parlé des
graves événements qui se passent en Es
pagne, en déplorant le danger que court
l'Eglise, spécialement l'égard de l'unité
de la foiqui a toujours été la gloire de
cette nation catholique.
OP STAM,
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den Notaris CHRISTI AEIM by open-
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Op Zonuebeke in de Molebosschen50
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Op gewoone voorwaerden en lyd van
betaling, mils goede borg stellende.
De vergadering in de dreef by het huis
van den boschwachter Tytgat.
PASSCI1ENDAELE EN ZONNEBEKE,
1869, te beginnen ten 1 ure namiddag, zal
den Notaris CHRISTlAKN, by open-
bare Venditie verkoopen op Passehendaele
en Zonuebeke, by den Mispclaer;
1"3 heciaren schoon TAILLIEHOUT
op stam, verdeeld in koopen.
En 2° 30 koopen schoone PLANT-
SOENEN en LYSTEBOOMEN.
Op gewoone voorwaerden en tyvan
betaling mits borg stellende.
De vergadering in het Bosch en ïèr'ge
meld herberg den Mispelaer.
b Cette dame prend enfin un parti éner
gique. Elle s'élance, traverse les flammes,
tombe dans Ir rue et s'en trouve quitte
miraculeusement pour une peur affreuse,
des brûlures peu graves et une entorse. A
six heures du soir, on s'était rendu maître
du feu. Une grande quantité d'objets divers
ont été perdus. Rien n'était assuré, b
Madrid, sodécemhre.
Madrid 'ai décembre.
Madrid, 22 décembre.
ÉTAT-PONTIFICAL.
Rome, 22 dééembre.
Onguent et Pilules Holloway. Ces
remèdes agissent directement sur le corps humain,
comme de doux et sains dépuratifs qui, peu b peu,
niais graduellement et avec sécurité, améliorent
tout le système. L'Ougueut possède le plus mira
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et ulcères qui, depuis longtemps, avaient délié la
science chirurgicale; mais il faut qnelque persévé
rance pour obtenir ce résultat, car il ne serait pas
raisonnable de s'attendre b ce qu'on ulcère ou
quelque maladie cutanée, depuis longtemps enra
cinée dans le corpspût être guérie en quelques
jours. Ce n'est pas trop que de demander un essai
de ces nobles remèdes pour toute ulcération chro
nique, ou tout autre mauvaise blessure; en peu de
temps, il9 prouvent leurs vertus.
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seurs- 8.
VENDITIE
van
DIP zmm'rzT&Si
IN DE MOLEBOSSCHEN.
Op Maendag 4en January
op
BY DEN MISPELAER.
Op Donderdag 711 January