ÉTAT-CIVIL D'YPRES
Bingsdag 12en January
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Lâchée le 15 avril 1697 par J. M.; pèse 2
livres.
L EMPIRE
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Op de hofsteden en landen gebruikt door
sieurs Ignatius Noyez, Emmanuel Muyssen
en Vincent Swaels, op weinig afsland der
plaets.
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d'individus; les uns arrêtent les chevaux
en les saisissant par la bride d'autres
s'acharnent après le cocher, le frappent
coups de bâton et cherchent l'arracher
de son siège, mais il résiste énergiquement
en poussant les cris Au voleur! l'assas
sin! Les assaillants n'avaient sans nul doute
d'autre intention que d'enlever au cocher
sa bourse qui contenait la recette de la
journée. Les deux voyageurs, que les agres
seurs n'avaient probablement pas aperçus,
justement effrayés, ouvrirent une portière
et réussirent s'esquiver. Au moment où
le cocher, étant bout de forces allait
succomber, des sergents de ville ayant
heureusemententendu sescris accoururent
son secours. A leur approche les mal
faiteurs se hàlèreot de déguerpir; mais les
agents sont parvenus en capturer six.
Ce sont, pour la plupart, des repris de
justice; ils ont été mis la disposition de
l'autorité judiciaire, et le service de sûreté
a été chargé de la recherche de leurs com
plices dans cette audacieuse attaque noc
turne.
Un de nos maraîchers, dit VIndépen-
dant de Saint Orner, a pris mardi matin,
dans un élang de Clairmarais, une énorme
carpe qui pesait cinquante livres; mais ce
qu'il y a de t>lus curieux, c'est que cette
carpe portait la naissance de la queue un
petit anneau d'argent de 15 millimètres de
diamètre, sur lequel on lisait en caractères
fort visibles.
Cette carpe compterait donc plus de 175
ans d'existence.
a
OUI NE VOIT JAMAIS SE COUCHER LE SOLEIL.
Tel est l'orgueil de la Grande Bretagne, qu'il
surpasse infiniment celui de tous les empires qui
ont existé jusqu'à présent, même celui de la colos
sale Babylone, aux jours de sa plus grande gloire;
celui de la Perse, sous Xercès, de la Macédoine,
sous l'ambitieux Alexandre et, enfin, celui de la
Rome Eternelle dite la maîtresse du monde.
L'autorité britannique est matérielle et morale;
c'est-à-dire qu'elle s'appuie sur le pouvoir et
l'influence. Mais il y a une sorte d'influence que
les Anglais exercent d'une manière frappante -
nous voulons parler de la capacité médicale que
semble avoir gagnée l'un d'eux avec le titre
indieo de l'homme Médical de l'Univers. Nous
faisons allusion an Professeur Holloway sur la
sphère desquels remèdes le soleil ne se couche
jamais; eo effet, n'importe où se trouve la maladie,
ces remèdes y pénétreront. De même que Londres
est le pôle physique et commercial do monde, de
même aussi le simple et modeste établissement da
Professeor Holloway, près de Temple Bar, Lon
dres, est le quasi pole Médical de l'Univers. Les
chercheurs d'or de l'Australie trouvent dans ses
Pilules certaines goérisons pour toutes leurs mala
dies internes et dans son Ooguentle remède
infaillible pour toutes les maladies externes. Dans
les vastes et populeuses régions de l'Iodeles
remèdes Holloway sont uue véritable panacée
pour toutes les formidables maladies qui affligent
spécialement ce brûlant climat. L'habitant de la
Nouvelle Zélande, dans sa région primitive, les
estime comme de vrais amis; les Indigènes comme
les colons européens, dans les régions fiévreuses de
l'Afrique, les regardent comme on sauveur an
moment du besoin. Ces Médicaments sont l'ancre
de salut ponr l'habitant des Antilles quand il est
en danger de périr par la dyssenlerie, préiode de
la gangrène et de la terrible fièvre jaune. Cet
épouvantait de la nuit, ce démon du jour, dans
ces colonies. Si ces Remèdes n'ont pas encore
supplanté tous les autres en Europe, ce n'est que
par la forfanterie ou l'ignorance, si communes
parmi les hommes qui ne savent pas ce qui est
bon pour eux. Les habitants do Canada ont été
les premiers faire connaître les louanges accor
dées aux préparations Hollowty. Elles paraissent
avoir, avec nne rapidité merve lieuse, remplacé les
vieilles prescriptions. I,es prépirations stéréotypées
de la Pharmacopée pour les fièvres et les accès, la
dyspepsie, les scrofules etc. ne peuvent lutter avec
ces médicaments. La presse a dû conséquemraent
annoncer les guérisons obtenues par eux comme
le commencement d'une ère nouvelle, dans l'his
toire sanitaire de l'Amérique anglaise. On ne doit
cependant pas supposer que la vogue des remèdes
Holloway dans les colonies, soit le simple écho de
leur réputation en Angleterre. Ces Médecines qui
ont prouvé qu'elles étaient des spécifiques pour
les principales maladies de ces climats, ont été
acceptées avec bonhenr et jamais jusqu'à ce jour,
aucun remède n'a obtenu autant de vogue, que
ceox du Professeur Holloway. - Maulmain Eagle.
Pilules et Onguent Holloway. - Mala
dies des Femmes. - Les mères de famille encou
rent uue grande et sérieuse responsabilité pour
assurer leurs filles une robuste santé fréquem
ment hélas! complètement sacrifiée, par une
coupable honte, alors qu'à certaine époque de leur
existence, d'importants changements seront res
sentis dans leur constitution, do soin de laquelle
dépend leur futur bonheur ou la misère! Les
Pilules Holloway, surtout lorsqu'elles sont secon
dées par son Ongueut, prodniseut les plus heureux
effets, en rétablissant ces fonctions sur la régularité
desquelles reposent la santé et l'existence même.
La mère et la fille peuvent employer, elles-mêmes
et en toute sûreté, ces puissants détersifs. Univer
sellement adoptées comme un grand remède pour
les maladies de femmes, ces Pilules obtiennent
toujours le résultat désirésans jamais manquer,
ni sans affaiblir le système.
Aucune maladie ne résiste la douce Revalenla
Arabica Du Barry, qui guérit sans médecine,
ni purges, ni traits, les dyspepsies, gastrites, gas
tralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées,
renvois, voiuissemen ts, constipât ion, diarrhée, toux,
asthme, phthisie, tous désordres de la poitrine,
gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie,
reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. 70,000
cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de
Pluskow, Mm° la marquise de Bréhan, etc., etc.
Plus nourrissante que la viande, elle économise 5o
fois son prix en d'autres remèdes. Guérisons:
N° 53.86o M11' Gai lardrue du Grand Michel,
17, Paris, d'une phthisie pulmonaire (consomp
tion), après avoir été déclarée incurable, et de
n'avoir plus que quelques mois vivre. Aujour
d'hui 1868 elle jouit d'une santé parfaite; preuve
vivante que la phthisie est guérie par la Revalenla
Arabica. N° 53.982 M. Aug. Hecque, d'une
hydropisie et maladie du foie.N° 44,619 Mm*
Woodhoose, d'une constipation opiniâtre de nau
sées et vomissements pendant sa grossesse.
En boites de i/4 kil., 2 fr. 25; 172 k., 4 fr
le kil., 7 fr. 6 kil., 32 fr. 12 kil., 60 fr. La
Revalenla chocolatée rend appétit digestion,
sommeil et énergie aux personnes et aux enfants
les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la
viande et que le chocolat ordinaire. Eu boîtes
et en tablettes de 12 tasses, fr. 2-25 de 576 tas
ses j 60 fr., ou environ 10 c. la tasse. Envoi
contre bon de poste. 8arry du Barry et
C*, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles.
Se vend Ypres, chez MM. Frysou, phar
macien Becuwe, pharra,; G. Veys, pharm.; et
veuve MahieU, confiseur; et dans toutes les villes,
chez les premiers pharmaciens épiciers et confi
seurs.
2.
DU I'r AU 8 JANVIER INCLUS.
Naissances 12. Sexe masc. 7, idem fém. 5.
Mariage. - Delrue, Henri, marchand de lin,
et Dupont, Marie, pâtissiète.
Dècfcs. - Berten, Joséphine, 63 ans, jardinière,
veuve de Pierre Gisquiere, S' Nicolas lez Ypres.
Noterdame. Marie, 70 ans, sans profession, veuve
de Pierre Valckenaere, Marché-au-Poissoo.
YPRES, 9 JANVIER 1869.
ÉHT Indiquant les quantités et le prix moyeu
des Grains, Fourrages et autres produits agri
coles vendus au marché de cette ville t
NATURE
DES
Grains et llenrées.
Froment
Seigle.
Avoine
Pois
Féveroles.
Pommes de terre
Beurre
QUANTITÉS
VENDUES.
Kilogrammes.
pkix
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par 100
kilogrammes.
S 2
53 t
31,800
8,100
1,200
i,6oo
200
7,200
27-75
21-37
24-00
24-5O
26 5o
6- 25
33o 00
80
73
44
80
80
Pain de farine de froment brute 26 c® le kilo.
Idem pour les fondations de 3o c®, i,i5o gr.
1869, 12 uren 's middags.
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