Ml'BULS, KOIP-, KEÈRPi- mim i&dm VILLE D'Y ERES. VILLE D'YPRES. YËRKOOPL\(; en Landbouwers AUaam, WYTSCHAETE, Caroline Elisabeth de Bade, fille du grand- duc Charles de Badeet de la grande-duchesse Stéphanie, nièce et fille adoptive de Napo- léen I". Paris 11 janvier. L'empereur a fait visite samedi la reine d'Espagne et don François d'Assise. Sa Majesté était accompagnée de son aide de- camp, M. le général Douay. Du pavillon de Kohan l'Empereur s'est rendu au Palais Royal pour voir soncousin, qui l'attendait dans son salon. Le prince souffre moins de ses coliques hépatites et sera prompteraenl rétabli. Ces deux visites ont duré de deux heures quatre heures. Voulez vous savoir combien il a paru de nouveaux journaux, Paris seulement, peudant l'année qui vient de s'écouler? Il en a paru 139!... La Presse libre nous en fournit la curieuse nomenclature. On peut les classer de la manière sui vante 101 littéraires et artistiques; 14 traitant de matières politiques, dont 6 paraissant tous les jours; 12 consacrés aux arts industriels et la science; 1 pour le magnétisme; 1 pour les gardes champêtres; 1 pour les cafés concerts; 1 pour la navi gation aérienne; 1 pour les gares; 1 pour les concierges. A l'époque de l'apparition de la Lanterne, 33 journaux ont imité le format et le genre de ce journal; de toutes ces publications, deux seulement continuent paraître. Parmi les litres les plus excentriques, mentionnons le Caméléon, le Balayeur d'à tieries, la Cliarruc, le Lumignon, le Concierge et les Punaises dans le beurre. Combien en reste t il aujourd'hui? On pourrait facilement les compter sur le bout des doigts. ANGLETERRE. Le jeune duc de Norfolk vient d'atteindre sa majorité. On sait qu'il est le premier duc, le premier comte, le premier baron de l'Angleterre et maréchal héréditaire du royaume. A cette occasion, une fêle splendide a ■été donnée Arundeil. L'argenterie de la famille a été étalée sur une table autour de laquelle se pressaient quatre cents convi ves, l'élite des clients, des alliés des Norfolk. Celte argenterie historique ne pèse pas moins de trente quintaux et sa valeur est estimée plus de 1,250,000 fr. A la place d'honneur, on a placé la coupe du couronnement de la reine Victoria, pré- Si maître Claude Foornier «eut voir son frère Jacques, qu'il vienne demain, non vêtu comme un grand seigneur, mais bien eomrne uu frère doit l'être pour visiter son frère. Ce billet ranima l'espérance du boulanger, et le lendemaiu il reprit son justaucorps de drap brun et la mante grise que nous lui avons vu le jour où il devait marier sa tille au pauvre Germain, Guil lemet te et blanche étant pâtées l'avenant, ils retournèrent tous trois au palais papal. peine arrivés ils furent introduits devant un vieillard portant l'habit des moines de Cîteaux. Eh bien, frère, dit celui-ci dès qu'il vit en trer maître Claude, tu oe me donne pas l'embras sade fraternelle? Claude était un peu embarrassé d'abord; mais son f<ère loi teudait les b as, il s'y précipita. Ce fut t oot-h - fait une scène de familie; là, rien qui rappelât le pape et quand Jacques Fournier, car je ne veux pas l'appeler autre ment, puisqu'il s'est dépouillé de sa grandeur, se fut informé de ce qui s'était passé dans la mai son de Sa verdun depuis son de'part, qu'il eut douné «ne larme son père et salué Goillemette comme ternme de son frère: dit-il, quelle est cette gracieuse enfant? C'est ta nièce, répondit Claude qui s'était enfin mis a son aise, c'est ma fille, ma Blanche bien-aimée. Pour être continué.) sent que, suivant un usage traditionnel depuis Guillaume le Roux, les souverains d'Angleterre doivent au duc de Norfolk eu prenant les attributs de la souveraineté. Le lendemain de ce premier festin, une seconde fête faisait retentir les échos de la vieille salle. Le duc de Norfolk donnait un banquet ses fermiers, qui, au nombre de deux ou trois cents, et accompagnés de leurs femmes, prenaient place la noble table. Le lendemain de ce second festin, c'était le tour des ouvriers employés sur les do maines que Sa Grâce exploite directement par l'intermédiaire de ses ingénieurs et de ses intendants. Le lendemain de ce troisième festin le maître coutelier et la corporation de Shef- field ont eu l'honneur d'être présentée Sa Grâce, qui les a de même admis sa table, et les fêtes dureni encore au moment où nous esquissons ce récit incomplet. Onguent et Pilules Holloway. - Grande Découverte. - La connaissance que nous avons que tous les différents composés du corps - la chair, les os, la cervelle et la peau - proviennent également de la même nourriture, ont amené l'In venteur de ces Médicaments cette conclusion que la maladie provient également d'une seule source - l'impureté du sang. Pienant ce nouveau point de vue comme cause d'une mauvaise santé, il s'efforça de trouver le moyen de débarrasser la circulation de toutes matières empoisonnées ou détériorées, et après beaucoup d'essais, il réussit produire ses célèbres Pilules et Onguent. Lorsque l'Onguent est bien frotté sur la peau, il débarrasse les vaisseaux de tonte souillure et règle toute action désordonnée; les Pilules expulsent de la circulation chaque atome de corruption. Depuis la cure du Saint-Père par ia douce Re valenta du Barryet les adhésioos de beaucoup de médecins et d'hôpitaux, nul ne pourra plus douter de l'efficacité de cette délicieuse Farine de Santé, qui guérit sans médecioevni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, toux, asthtne, pbthisie; tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins intestins, muqueuse, cerveau et sang. 70,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le doc de Pluskow, Mm" la marquise de Bréhin, etc., etc. Plus nourrissante que la viande, elle économise 5o fois son prix en d'autres remèdes. Voici encore un petit extrait des 70,000 guéri- sons sans médecine par la délicieuse Revalenla Arabica Du Barry, qui, quelques sous par jour, économise cinquante fois son prix en d'antres remèdes. N1* 62,812, Liège, le i4 novembje i865. Atteint de dartres au bas des jambes depuis 1851et trouvant que le mal ne faisait que s'em pirer sous le traitement de trois médecins qui m'assuraient du reste qu'àmon âge (55) la guétisou était impassible je me suis décidé, mon grand bonheur, faire usage de votre Revalenta Ara bica qui m'a parfaitement guéri en peu de temps et affermi ma santé en général d'une manière surprenante. Gr. Voos, concierge au banc d'é preuves des armes a feu. N* 46,270, M. James Roberts, négociant, d'une cousompiioo pulmo naire, avec toux, vomissemeutsconstipations et surdité de vingt-cinq années. En boîtes de i/4 kil., u fr. 25; 173 k., 4 fr.; le kil., 7 fr. 6 kil., 52 fr.; 12 kil., 60 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit digestion, sommeil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. Eu boîtes et en tablettes de 12 lasses, fr. 2- 25 de 5y6 tas ses60 fr., ou environ 10 c. la tasse. Envoi contre bon de poste. Barry du Barry et C', 12, rue de l'Empereur, a Bruxelles. Se vend Ypres, chez MM. Frysou, phar macien; Becuwe, pharm.; G. Veys, pharm.; et veuve Mahieu, confiseur; et dans toutes les villes, chez les premiers pharmacieiis épiciers et confi seurs. 5. Par délibération du 14 décembre 1868, le Conseil communal a adopté un plan in diquant 1° L'alignement pour les con structions que se propose d'élever le sieur Vande Broele sur sa propriété située entre le chemin de ronde intérieur et la rue Nouveau Chemin S1 Martin l'extrémité ouest de la rue de Dixraude; 2" La largeur et la direction de la rue nouvelle percer eu prolongement de la rue du Quai. Ce plan est déposé l'Hôtel-de-Ville, bureau du Secrétariat, où l'on pourra en prendre connaissance jusqu'au 3 février 1869. Les observations auxquelles il donnerait lieu, devront être adressées l'adminis tration communale au plus lard le dit jour avant midi. Fait l'Hôtel-de-Ville, le 11 janvier 1869. LE COLLÈGE, P. BEKE. par ordonnance Le Sécrétait e. J. DE CODT. Le Collège des Bourgmestre et Échevins de la ville d'Ypres informe ses administrés que la commission administrative a fait la demande tendant pouvoir continuer pendant un terme de trois années, pren dre cours au 1" mai 1869, la perception du droit de barrière établie sur la route d'Ypres Comines. Et invite les intéressés que l'administra tion communale d'Ypres, recevra pendant 20 jours les oppositions ou les observations auxquelles cette demande pourrait donner lieu. Fait Ypres, le 11 janvier 1869. Les Bourgmestre et Eciievins, P. BEKE. par ordonnance Le Secrétaire, J DE CODT. van EN MANS RLEEDEREN, te Terhofsledelienvan M. Maximilien DeNeckere gebruikl door deweduweCharles Dervaux. gelegen tussclien deii Oostaverne en de Lijnde en bij de Gebosten Pinlestraate. WOENSDAG 27" JANUABIJ 1869. om 12 uren juist, zal men ter gemelde hofsle- deken publiek verkoopen.aîle de Meohelen, bet Kuip Keêrn en Landbouwers Allaam, eene hoeveelheid Aardappels, Koorn. Er- weten, Tabac, Mest, Sirooi, en Mans Klee- deren. Voorts eene goede bekaalfde Koei. Tijd van betaling mits borg. M"* de we van <len Nolaris TI37CC?.. te Meessen is met de verkooping en uni- vangst belast.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3