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Pilules Holloway. Les affections bilieuses
et les douleurs de l'estomac provenant d'uoe at
mosphère cuisante, ou d'un régime trop libéral,
doivent être promptemerit arrêtées faute de quo.
elles produisent souvent de fausses couséqueocesi
Quand on s'aperçoit que les idées sont moins saines
qu'à l'ordinaire, que ia vue baisse, que le vertige
vous prend quand en même temps, ou ne peut
s'adonner aucun exercice physique 00 mental, on
peot être certain qu'on a immédiatement besoin de
quelque médecine rafraîchissante pour prévenir
de dangereoses conséquences. Qu'on se procure
immédiatement une boîte de Pilules Holloway et
après quelques doses, la tête sera soulagée, les idées
seront pins lumineuses que jamais en toute l'éoer-
gie reviendra. Des instructions imprimées pour
guider les malades sur l'usage de cette admirable
médecine, entourent chaque boîte.
DU 11 AU 19 MARS INCLUS.
fi.
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été partout médiocres. En 1808, elles ont
Oté bonnes seulement dans les Flandres
belges, moyennes en Hollande, mauvaise
et surtout peu abondantes, en France, en
Irlande et en Russie, il en est résulté une
pénurie de lins teillés qui a fait arriver les
prix de cette matière une élévation in
connue jusqu'à présent. Les fabricants
teillers ont réalisé de beaux bénéfices, qui
les disposeront d'autant mieux aux achats
que, suivant toute probabilité, il ne leur
restera aucun stock de vieux lins.
II est bon d'ajouter que les lins de
Russie sont pour la plupart des piovinces,
si mauvais cette année, qu'il y a oeu re
douter leur concurrence. (Patrie.)
Le prince impérial de France (Napo
léon Eugène Lous Jean-Joseph)a accompli
sa 13* année. Ce prince est né le 16 mars
1856, Paris.
Une jeune dame qui habite les Bati-
gnolles, Paris, était sorti le matin pour
faire diverses provisions. Déjà elle avait
terminé ses acquisitions, et le cabas de ta
pisserie dont elle était munie était garni
d'une foule d'objets divers, lorsqu'elle en
tra dans un magasin de mercerie pour y
acheter des écheveaux de laine et de soie.
Fatiguée des longues courses qu'elle venait
de faire, celte dame s'essuie le visage avec
son mouchoir, qu'elle posa sur le comptoir
pour examiner les paquets decheveaux
qu'on lui présentait. Elle choisit, paya la
facture et reprit son mouchoir, autour du
quel se trouvaient éparsés les marchandi
ses parmi lesquelleselleavait faitson choix.
Un des commis du magasin crut s'aper
cevoir en ce moment que le mouchoir était
plus volumineux que lorsqu'il avait été
posé sur le comptoir; il en avertit le patron
lequelavait été précisément victime de vols
exécutés par des femmes que la police dé
signe sous le nom de careuses, et qui, pour
exécuter leurs soustractions, ont coutume
d'encombrer les comptoirs des marchands
de leur mouchoir, de leur parapluie, de
leur caba, etc.
Madame, dit le marchand, en arrêtant
au passage l'habitante des Ratignolles au
moment où elle se dirigeait vers la porte
de sortie, vous avez oublié, en soldant votre
note, de payer le contenu de votre mou
choir. Que voulez-vous dire, monsieur?
demanda l'acheleuse d'un air étonné.
Vous me comprenez, reprit le marchand,
vous m'avez volé, je vous arrête.
La pauvre dame s'indigna, mais on ne
tint pas compte de ses protestations ni de
sa douleur; le mouchoir fut saisi il ne
contenait rien, et le cabas, que l'on visita,
n'était rempli que de marchandises d'une
toute autre nature que celles dont le mer
cier fait commerce. Celui-ci alors voulut
s'excuser, mais la malheureuse femme ne
l'entendait plus. Prise d'un tremblement
nerveux, elle était tombée la renverse, et,
après s'être débattue pendant quelques
instants, en proie une horrible crise, elle
avait perdu connaissance. Un médecin ap
pelé en toute hâte parvint lui faire re
couvrer ses sens une voiture la recondui
sit chez elle, où les mêmes accidents se re
nouvelèrent et déterminèrent un état com
plet de catalepsie, qui fait crainore que la
victime de cette regrettable erreur ne re
vienne pas la vie.
Lundi a commencé la Tente des tableaux an
ciens et modernes de la galerie Delessert, a Paris.
Voici les prix d'adjudication des principaux ta
bleaux Portrait de Michel Le Blon, par Van Dyck,
i5,5oo; Place d'ane ville de Hollande, par Van
der Heyden, 4o,ooo; Vue prise en Hollande, par
Je même, i6,5oo; no Canal en Hollande, par le
même, 8.000; l'enfant a la pêche, par Greuze,
iO,ooo; For trait de Wilde, célèbre graveur, par
le nièine, 29,000; t.a Vierge et l'Eofarii Jésus,
par Rapbaët, t5o,ooo francs (acheté la vente
Aguado 27,250 fr.); Vaches sur ou tertre, par
Albert Cnyp, 92,000; Intérieur d'un bois, par
H-'bbemati4o,ooo une Halte militaire, par
Wouwermans, j6,5oo; la Halte an pnils, par le
même, i5,ooo; Habitation rustique, par Isaac
Van Ostade, i3,000; un Pâturage, par Paul Potier,
10,000; Scène d'intérieur, par G. Metzu, 10,000;
Un caluie, mariue par an de Velde, 12,5oo;
Marine, par le même, i4.5oo; le Rachat de l'es
clave, par Bercbem, io,5oo; le Passage du gué,
par le même, 1 i ,000; Paysage, par Hobbeina,
10,200; Marine, mer houleuse, par Backhuysen,
18,200; Marine, une visite bord, par le meure.
g.ooo- La première vacation a produit 633,000 fr.
Plus de 70,000 guérisons par la délicieuse Re-
valenta Arabica du Barry prouvent que les
misères, dangers et désappointements que, jus
qu'ici, les malades ont éprouvés par les drogues
uauséaboodes, se trooveut préseul remplacés par
la certitude d'uoe radicale et prompte guérisoo
moyennant la délicieuse farine de santé Revalenta
Arabica Du Barry de Londres, qui rend la saolé
parfaite desorgaoes de digestion, des nerfs, pou
mons, foie et membrane moqueuse, aux plus
épuisés même, dans les mauvaises digestioos (dys
pepsies), gastrites, gastralgies, constipations habi
tuelles, hémorrhoïdes, glaires, vents, palpitations,
diarrhée, gonflement, étourdissemeot, bourdonne
ment d'oreilles, acidité, pituite, raigrsioe, nausées
et vomissements; douleurs, aigreurs, crampes et
spasmes d'estomac; insomnies, toux, surdité,
oppression, asthme, bronchite, phtbisie (consomp
tion), dartres, éruptions, mélancolie, dépérisse
ment rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhe,
hystérie, névralgie, «ice du sang, hydropisie,
manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse.
CURE DU PAPE Rome 2t juillet 1866.
La santé du Saint Père est excellente, surtout de
puis que, s'abstenant de tout autre remede, il fait
ses repas delà Revalenta Arabica du Barry,
qui a opéré des effets surprenants sur lui. Sa Sain
teté ne peut assez louer les avantages qu'elle res
sent de cette excellente farine dont elle preod une
assiette chaque repas.
Correspondant de la Gazelle du Midi.
Guérisori ri* 56,935. Barr (Bas Rhin), 4 jui'i
1861. Monsieur, la Revalenta a agi sur moi
merveilleosementmes forces revienneul et une
nouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse.
Mon appétit, qui, pendant plusieurs années, a été
duI, est revenu admirablemeot et la pression et le
serrement de ma tête, qui, depuis quarante ans,
s'étaient fixésà l'état chronique,ne me tourmeotent
plos. DAVID RUFF, propriétaire.
En boîtes de i/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 k., 4 fr.;
le kil., 7 fr. 6 kil., 52 fr. 12 kil., 60 fr. La
Revalenta chocolatée reud appétit digestion,
sommeil et énergie aux personoes et aox enfants
les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la
viande et que le chocolat ordinaire. En boîtes
et en tablettes de 12 lasses, fr. 2-25 de 576 tas
ses60 fr., ou environ 10 c. la tasse. Envoi
contre boo de poste. Barry du Barry et
C*, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles.
Se vend Ypres, chez MM. Frysou, phar
macien; BecuWE, pharm.; G. Veys, pharra.; et
veuve M ahieu, confiseur et dans tontes les villes,
chez les premiers pharmaciens épiciers et confi
seurs. ii.
ÉTAT-CIVIL D VIMtKS
Naissances 12. Sexe raasc. 6, idem fém. 6
DÉCÈS. Feys, Françoise, 77 ans, sans pro
fession, célibataire, rue du Lombard. Makereel,
Valentine, 72 ans, boutiquière, veuve de Charles
Dierick rue de Lille. Denut Marie 62 ans
journalière, veuve de Pierre Blieck, rue de Menin.
Gontier, Henri, 4o ans, cabaretier, époux
d'ÉmérenceOogbe,rue de Lille. Vaostichelman,
Natalie, 5o ans, journalière, célibataire, rue de
Tbourout. Deberghe, Pierre, 69 ans, journa
lier époux de Françoise Queotio, rue de Meoin.
Enfants au-dessous de 7 ans 3. Sexe
masc. 2, idem féra. 1.
YPRES, 20 MARS 1869.
état Indiquant le* quantité* et le prix moyeu
de* Grain*, Fourrage* et autres produit* agrl-
eoleN leiiduN au marché de cette ville i
NATURE
QUANTITÉS
PRIX
r.
-5 S"
.t:
DES
VENDUES.
H O 1 K.%
r,
par 100
1 Grain* et Denrées*
Kilogrammes.
kilogrammes.
o
Froment
1 1 ,000
27-00
80
6,200
20 87
75
700
24- 5o
44
2,000
24-5O
80
Féveroles.
2,5oo
26 00
80
Pommes de terre
"ON
O
O
5-75
Bjnrre
34o-oo
Pain de farine de froment brute 26 ca le kilo.
Idem pour les fondations de 5o c', i,i5o gr.
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