EEN HOFSTEDEKEN TAILLIE BOSCH, BOOM-, PLANTSOEN- p&mowEm&iLE, OPENKAESl TE KOOPEX. INSTEL vait imprimer un mouvement la ficelle qui soutenait le fer... Et faire tomber sur sa tête ce glaive île la loi dont la vétusté n'empêchait pas le danger... Notre curieux demeura là... immobile... haletant... jusqu'au lendemain malin, l'ouverture des portes du musée Tussaud... Et il jura, mais un peu tard, de ne plus jamais loucher ta liaclie. Plusieurs moyens ont été discutés et proposés pour empêcher qu'on n'enterre un individu mort seulement en apparence, chose possible, bien que jamais exacte ment constatée. Les journaux de Lyon racontent une ex périence curieuse fait aux Brotteaux, dans le jardin de la Compagnie des Archers du Buisson. Il s'agissait de faire fonctionner unappareil inventé par M. Delay, ingénieur civil, le Réveil éleciro-lclhargiqiie. Cet appa reil a pour but de prévenir non l'inhuma tion, mais même les conséquences d'inhu mations précipitées. M. Delay, après avoir démontré en détail son appareil électrique, muni d'une forte sonnerie mise en mouvement par les fils conducteurs, a fait placer le sujet de l'ex périence, un jeune homme, dans un cer cueil, qui a été descendu dans une fosse de deux mètres de profondeur et recouverte aussitôt de terre. Ce jeune homme, dont les fonctions respiratoires étaient entretenues l'aide d'un tube mis en communication avec l'at mosphère extérieureest resté dans celle position une heure et demie. Un fil électrique placé dans sa main plusieurs reprises, a fait jouer au plus léger mouvement la sonnerie qui était une grande distance, dans un bâtiment figurant la loge du concierge d'un cimetière. Au même instant, le conducteur d'air s'est ouvert et un indicateur a marqué au ta bleau le lieu précis où se trouvaient et la galerie et la fosse vers lesquelles on devait porter secours. Toute la ville ne s'occupe que des car touches extinctrices de M. Zaptle qui, mé langées l'eau des pompes incendie, effacent, pour ainsi dire, les flammes les plus incandescentes et éteingnent les plus violents incendies comme par enchante ment. L'inventeur, qui se trouve Amsterdam, ayant obtenu l'autorisation d'expérimenter ses cartouches, une foule énorme s'est portée sur le lieu des expériences. On y remarquait des ministres, des députés, l'honorable bourgmestre d'Amsterdam, des ingénieurs, des industriels, enfin tout ce que notre cité compte de plus élevé. Un immense foyer ayait été préparé. Il se composait d'une grande baraque en bois qui avait été remplie de 150 fagots, 45 sacs de copeaux 5 voitures de déchets de bois, des madriers, de vieilles poutres et 200 mottes de tourbe. Ce vaste bûcher avait été arrosé, sur toutes ses faces, avec 500 litres environ de goudron et 200 seaux de pétrole. Il formait un volume énorme de 27 mètres cubes. On y mit le feu et, en peu d'instants, ce n'était qu'une flamme immense. Le spectacle était magnifique et effrayant la fois. Au signal donné, l'habile pompier Jean Drock de Liège, qui accompagne M. Zapfle, attaque ce terrible incendie au moyen d'eau mélangée de la composition Zapfle. Tout le monde était incrédule, maison dut bientôt se rendre l'évidence en trois minutes, la flamme était anéantie, et en douze mi nutes, le vaste bûcher ne laissait même plus échapper la moindre fumée. Tout était éteint. Des applaudissements éclatèrent de tou tes parts, M. Zapfle demanda qu'on ranimât le bûcher. Cent litres de goudron et un grand nombre de seaux de pétrole furent versés sur le foyer et on y remit le feu; mais telle était la puissance du gaz extinc teur que le goudron et le pétrole s'enflam mèrent seuls sans communiquer la flamme aux bois arrosés par la composition Zapfle. Ce ne fut qu'au bout d'une heure que l'in cendie se ranimât; mais en vain le feu fit-il rage, la fournaise fut attaquée de nouveau, et, celte fois, il ne fallut que trois minutes pour anéantir le feu de fond en comble. L'expérience était décisive. M. Zapfle fut aussitôt entouré et félicité sur son éton nante invention. C'était qui lui donnerait des éloges, bien mérités d'ailleurs, dans ce pays où généralement on ne les prodigue pas. Sa cartouche extinctrice est appelée un grand succès. Personne n'en doute ici. Dans les pays du Nord, où les incendies sont si souvent désastreux, une semblable invention y sera accueillie avec enthou siasme. Nous ne s'aurions trop engager les Ad ministrations prendre en sérieuse consi dération le procédé de M. Zapfle, qui peut, l'occasion empêcher d'immenses désas tres et de grandes infortunes. Un télégramme du Caire donne les dé tails suivants sur le complot qui avait été formé contre la vie du vice-roi. Une bombe remplie de matières fulmi nâmes avait été introduite dans leplancher de la loge même de Son Altesse et sous son fauteuil. Une mèche adhérente celle bombe et habilement dissimulée le long du tuyau du gaz, allait aboutir aux coulisses. Si le complot n'avait pas été découvert, non seulement la vie du vice roi courait le plus grand danger, mais encore toutes les personnes qui se seraient trouvées ce soir- là au spectacle auraient été les victimes de cet affreux atlental. Op DINSDAG 27e" APRIL 1869, ont 5 ure des namiddags, te Langemarck. op Poelcapelle plaats, ter herberg de Goude Bloem, inhoudende 80 aren 50 cenliaren, te Staden by het Boschkasteeltje gebruikt door Catherine en Léonard Desodt, tôt l'D Oclober 1870; verdeeld in 4 koopen. SCHOONEN Den Notaris CHKISTI4IW zal van wege den Eigenaer met bel houden van 2 zittingen openbaer te Koop veilen bet na- schrevenON'ROEREND GOED,gelegen op: PASSCH END AELE, ivest by het dorp. Eenen schoonen BOOM-, PLANTSOEN- en TAILLIE BOSCH, groot in ERYE 1 hec tare 74 aren 70 centiaren; palenrJe oost en zuid den meersch en land van de wed* en erfgenamen van wylen Pieler Jacobus Vandermeersch west den meersch van M' Cbarl es Hynderick, nog west en noord bel bosch en meersch van M' Vantieghem. Om door den kooper aenstonds in het gebruik te treden. Denzelven koop zal op de vraeg der liefheb- bers in 2 of meer loten verdeeld worden De zittingen, voor de Verkooping zullen plaels hebben ten dorpe van Passchen- daele, ter herberg bewoond by S' Dejonghe, te weten Den LISTEL op WOENSD\G 21 4PRIL 1869 en de VOLSTREKTE TOEWYZIMG WOENSDAG 5° ,MEI daerna, l'elkeosten 4 uren namiddag. 2iist?l jJninimjm tf toimirn. Expérience pleine de charme. On s'est beaucoup occupé dans ces derniers temps des dangers des inhumations pré cipitées. Incendie. Le procédé Zapfle. Amsterdam, 6 avril. ÉGYI'TE. Onguent et Pilules Hollovvay. Les maladies de la peau, l'impétigo, le scorbut, la jaunisse, les scrofules ou maladies des rois, la teigoe et la plupart des maladies de peau invété- rées auxquelles-le corps humam est sujet, ue peu vent être traitées avec ou remède plos sain et plus sûr, qu'avec les Pilules et l'Onguent Holloway, qui agissent si particulièrement sur la constitution et purifient si bien le sang, que ces maladies sont immédiatement extirpées du système, et qu'une guérisou permanente eu est obtenue. Elles sont également efficaces pour la guérisou des tumeurs, des biûlures, des glandes euflées, des blessures ulcéreuses, des rhumatismes, désarticulations rai- des et contractées. Ces médecines opèrent d'une manière agréable et sure. La guérison qu'elles effectuent, n'est pas seulement temporaire ou ap parente, mais complète et permanente. 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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3