VENDITIE VAN VLÂS, UN BATIMENT INDUSTRIEL ADJUDICATION re LU 3 tuer, des iiiforinnti os intéressantes et antli*ntiques qui ne laissent pas beatMrrmp d'espoir aux ami» des réformes coustitu- liouuelles et de la liberté. M. Rouher soutiendrait avec forte les idées de lèaction, en attribuant le résultat des électicius actuelles aux réformes, déconseillées par lui, du 19 janvier. C'est, aurait-il dit, la liberté de la pres-e et celle des réuuions qui ont fait tout le mal, et si*on e*i mjjnlieut l'eppficaliou, nul ne saurait prévoir où elles lions co"d»ûrout. Le miuislre d'État a dooe conclu conclu contre elles st formellement émis la proposition de les retirer, en replaçant l'Empire daus les conditions où il se trouvait il y a deux années. M. de Foccaile ta Hoquette a combattu'ces'idées. A ses yeux, s'iby a quelque péitl mainleuir les concessions libé rales, il y en aurait bien plus les retirer. Il a développé avec Chaleur ce pm'ut de vue, et terminé tu disant que, saus pousser le programme Ftbéral jusqu'à l'extrêmeil y aurait avantage a élargir prudemment le cercle actuel, de manière a donner satisfaction des vœux et des leudancc» manifestes et légi times. Ou assure que l'Irapétatrices'é'evaut avec énergie coutre les propositions de m. de Forcade, se serait rangée au senti ment de M. Ruuhei et comme l'Empereur écoulait eu silence, sans qu.i le moindre geste fît connaître son impression l'Im pératrice se tournant vers lui aurait ajouté Voilà ce que vous avez gagné A écouter les oouseils de m Emile Ollivier Voulez-vous encore eu faire un ministre? S'il avait été élu Pari*; répondit doucement l'Empereur, jeVerurais probable ment appelé pour eu faire un ministre; mais il u'<# pas été nommé a Paris; je n'y pense plus. Sur le fond des choseson croit que l'Empereur incline v rs le mouvement et le progrès. Il sent qu'il y a, comme on dit, quelque chose faire, et il a'bésitti ait que sur la question de mesure et d*oppoi tunité. il aurait été très-frappé du mémoire que M. de Persigny lui a soumis et qui aboutit des conclu sions libérales. J'ig«ore lesqueHes; ou prétend qu'il s'agirait de restituer la Chambre le droit d'élire son président, de faire nommer par le Mu If rage universel les couseila municipaux de Paris et «le Lyonde choisir exclusivement les maires dans le sein des conseils communaux d'établir la responsabilité individuelle des ministre*devant ta représentation natiouale, etc. Mais je doute beaucoup que-le programme de M. Persiguy soit aussi préciset je doute surtout que le gouvernement adopte toutes les réarmes qui précedeuU Le plus probable, ainsi que je vous l'ai dit, c'est que le statu quo sera provisoirement maintenu cela ne compromet rien, et laisse la porte ouverte toutes les décisions. Ou vivra ainsi jusqu'à la fiu de l'année, o'est-à-diie jusqu'aux appro ches de la session et ou s'inspirera alors des circonstances. PILULES HOLLOWAY. Aucune famille ne (luit être dépourvue de ces Pilules. Leur ellicaciiédepuis longtemps éprouvée pour guérir l'indigestion, Stimuler les iuteslius, purifier le sang leur ont acquis daus le monde uue réputation impérissable. Quelle que soit la maladie, quelques doses sou lageront les principaux symptômes, et, ensuite, régulariseront complètement toutes les fonctions désorganisées, rxciterout le foie torpide, assimileront la uourrilure, amélioreront le sang et comme conséquence, amèneront le ceiveau et chaque fonction une saine vigueur, leur activité naturelle et nue complète régularité. Dans les cas d'iudigestiou, d'allaiblis- semeut de la vue, de migraine, de lassitude physique ou mentale, ces rrsUuratives Pilules agissent comme un charme. Elles chassent les rhumatismes et la goutte et corrigent infail liblement les maladies des femmes. Plus de 7 ,000 gué s >ns par la délicieuse Re valent a Arabica Du Barry prouvent (pie le» misères, dangers et désappoiute- ttieuts que, jusqu'ici, les malades ont éprouvés par les drogues nauséabondes, se trouvent présent remplacés par la certitude d'une radicale et prompte guérison moyennant la délicieuse farine de santé Hevalenta Arabica Du Barry de Londres, qui rend la santé parfaite des organes de digestion, des nerfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, daus les mauvaises digestions (dyspepsies}gastrites, gastralgies, constipations habituelles, hémorroïdes, glaires, veuts, palpitations, diarrhée, gonflement, étourdissement, bourdonnement d'oreilles, acidité, pituite, migraiue, nausées et vomissements; douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'e6tomac; insomnies, toux, surdité, oppression, asthme, bronchite, phlhisie (cousomption), dartres, éiuptions mélan colie dépérissementrhumatisme, goutte, fièvre, catarrhe, hystérie, névralgie, vice du sàng, hydropisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. cilti: ne I*F. Rome, 21 juillet 1866. La santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Hevalenta Arabica du Barry qui a opéré des effets surprenants sur lui. Sa Sain teté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent dé cette excellente fariue dont elle prend une assiettée chaque repas. Correspondant de la Gazette de Midi. Guérison n° 56,935. Barr (Bas-Rhin), 4 juin *665. Mon sieur, la Revalenta a agi sur moi merveilleusement; mes foi ces reviennent et une nouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse. Mou appétit, qui, pendant plusieurs années, a été nul, est revenu admirablement et la pression et le serrement de ma tête, qui depuis quarante aus, s'étaient fixés l'état chronique, ne me tourmeote plus. DAVID RCFFpro priétaire. En boîtes de i/4 kil., 2 fr. a5; i/i k., 4 f«*- le kil-, 7 6 kil., 3s fr 11 kil., 60 fr. -- La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, sommeil et énergie aux persounes et aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viaude et que le chocolat ordinaire. -- En boîtes et en tablettes de 12 tasses, fr. a-a5; de 576 tasses, 60 fr., ou euvirou 100. la tasse. Envci contre bon de poste. Barry du Barry et t>, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Se vend Ypres. chez MM. Frysou, pharmacien Beccwb, pharm G. Vets, pliarm., et Mahieu, pâtissier, et dans toutes les villes, chez les premiers pharm., épicierset confiseurs 11. ETAT-CIVIL ITYPRES, Du SI* Hal an t Juin Inclus. NAISSANCES 10. Sexe masculin 5 idem féminin 5. MARIAGE. StuerPierre, tisserand, et Hauspie Julienne, dentellière. DÉCÈS. PlanqueelFlorentine, 60 ans, sans profession, épouse de Pierre Woussen rue Close. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 4. Sexe masculin 3, idem féminin 1. YPRES, 5 JUIN 1369. r.T*T Indiquant Ira quantité, «t le prix ninxen de» t.mitt». t'onrrHtfei. e» autre* produit, «nrl- cate. xendti* au marche de cette xlllet nature DES Grain* et Denrée*. quantités VB>DLK8. Kilf^raainies. PU IX ii 1 r: par 100 kilogrammes. K i 2 i S i c B» Froment 57.900 27-12 80 3,000 3 1-25 7^ A «oine i,3oo 24-5O 44 1,000 24-5O 80 Fe'teroles. 1,200 24-00 80 Pommes de terre 5,200 6-35 Beurre 255 00 V Pain de farine de froment brnle 36 cs le kilo. Idem pour les fondations de îo c5. 1,15o gr. Etude de Me LAN NO Y Notaire a Comines. LUNDI I4~JUIN 1860, f. IIRtRRS DR DELIVRE, l'estaminet La Fontaine tenupar Alexandre Catleau Comines, rue du Faubourg, D'UN BEL m situé a COMIN E S - 11 ELGIQ U E, rue du Faubourg. 1" Lot. Une très belle et spacieuse MAISON Étage, comprenant plusieurs Places, avec Teillage mécanique contigu, Cheminée vapeur, autres dépendances et 3 ares 72 centiares en Fonds et Terrain. Mise prix 11,000 francs. L'acquéreur de ce lot aura la faculté de reprendre sur prisée dire d'experts l'Ou tillage complet du Teillage mécanique, consistant en Machine vapeur de la force de 10 chevaux, Générateur de la force de 10 chevaux, Transmission et 13 Métiers teiller le lin. 2me Lot. servant de MAGASIN, avec le droit d'em- phytéose jusqu'au 1" Octobre 1891, 5 ares de Terrains sur lequel il est construit. Mis prix 1,000 francs. Celle Propriété est occupée par le vendeur M' J. Demade qui en abandonnera immédia tement la jouissance l'acquéreur. BY sterfgeval en TE VELDE, OP OOSTIMEIJWKERKE, S00RD-00ST BY IIET DORP. Op Woensdag 23en Juny 1869, te beginnen, len 1 ure namiddag, zal den Notaris LHRISTIAKN, by openbare Venditie verkoopen, op de gron- den der bofstede alwaer wylen Bernard Vaniiaverbeke overleden is, op OOST- NIEUWKERKE, noord-oost by het dorp; Omirent 2 heciaren VLAS en 5 hectareo MAE1GRAS, te velde, verdeeld in koopen l'elks gerieve. De vergadering, ter hofplaels van de gezeide hofstede. Op gewoone voorwaerden en lyd van belaling, mits borg slellende. o a S? a sï 5 - o «c x, v s 5 -a al^> d - V 613 m C—2 te. s Z u b 2 w v 2 ±rX 2 a - o •- s - ~Z -p d - u u S 3 S s. S -a o - S a c y -3 |'s.s," sil c s 1 S s s - 's §-2 3 8* 5 S| g|:-= -£ s i - s i r J3 O 2 - u 2.3-r x «- O ec a. - C- Tr, k- a - 5 o re re «- in v— m M K O •r cz a O i ci a S 'r. ■x 5 S v - - Ji V •- s. Z o B 3 vS i 1~ i 2 "i u i s s'S S- «D -2 -m, o M S i* A~ fîi" 3 -n - -es - -c 1J 3 ii C. -r. w c - •- t a -* "3 a .2, t *- ji 2 s o S O eS lo"S -x 's S-15 b,3 J-» s a. I 2 O --XC4 2 .a •- s tn -- 3 -s 43 - s !■-:•= s Î3-J:= s aï1-- «-«s ,-i.ï i S. - îT -a t-z O kg— - - s •I - 3 5 -3 -®" I - C -r - O - - .s i -s -ë i -= x W a cs .m -Î5 o 3. i-2 PU -m »-2 W S i-2 -aj a o a \n ZZ P ry .2 c; «r a "vu •- C U c/T U 3 2 zj re s m CJ ^3 - 'f* A - S S •- O zn m* ss S - S r> ?i| LU ac O H m o a z Cd a z JLi LO il tîiïSjs g S 9-!» SB5 5 ?AU i Ji 1 11

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3