BELLE MAISON, Se vend Ypres, chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwb pharm G. Vers, pharm., et Mahieu, pâtissier, et dans toutes les villes, chez les premiers pharm., épicierset confiseurs 5. ÉTAT-CIVIL I)'YPRES9 S <T. il a sr s i s, Au 1er Septembre prochain ©K IPfl DE L'EMPRUNT d'État Autrichien de Fan\ 864 Prix gagner de florins 200.000, florins 50,000, florins 15,000, florins t0.000, flo rins 5,000, florins 2.000, florins 1,000, florins, 500, le moindre gain florins 160. Les actions légalement timbrées se vendent 15 francs pour une action. 400 francs pour sept actions. 200 francs pour quinze actions. ROTnSCIIILD et C". 44, rue de la Poste Vienne (Autriche). Contre remise do montant ou rembour sement. A LOUER SITUEE HUE DE LILLE, N* 37, AVEC JARDIN, Entrée en jouissance immédiate. Pour les conditions s'adresser chez LAMBIN-MORTIER, rue de Lille, \0. SZ m X X se a h m sa te «e 'mi LU -- Z Z m, - x 5 V i r i te V rXi Z - - r J S ~.ÎZ t - CZ a a r S S M a - "Z ûj -C r~ te _-_aj J -y sf S il S V JZ rz o Xf i-hïî a, s s- ap x -3 rm -y. - w T tS3 S n S 2-a g W -m y) tC rx~ V 2 .1 'm "a I~ i i v o "2 a» u 5 v M I ex g t'~s 2 tc-Z - rt> 3 'o.M <T 03 53 r.n ,-u u - S.- c 14 économies. Ils ont cherchée échappera celte laie, et voici ce qu'ils oui trouvé; La loi porte que tout cocher coaclimtn doit payer nue patente. Mais elle ne dit rieo de9 coac/iwomeri on cochères (pardon de ces deux néologisiui's!). Donc, en faisant conduire sa toiture par nue femme,ou n'a rien payer au fisc. Anssi, «"est—il pas rare de voir une toiture de maître conduite par une femme alerte, bien découplée, eo costume semi-masculin aux couleurs éclatantes; quelques omnibus même sont menés de la même façon et il en est de ces téhic.ules comme des ménages dont les femmes tiennent aussi les rênes: ce ne sont pas les plus mal conduits. Samedila cour d'assises de Manchester a ontert ses séances sous la présidence de M. le juge Hayes, qui, dans son adtesse ao grand jury, a fait observer le chiffre effrayant de g3 affaires a juger. Ces affaires portent surtout sur des cas de meurtre, d'assassinatde tiolence contre les per sonnes, et M. Hayes les attribue principalement aux habitudes d'ivrogoerie de la population. Le Morning Post publie la Dote suivante M. Forbes, de Boston, est en ce moment Madrid, où il s'est rendu avec des pouvoirs des États-Unis qui l'autorisent faire des ouvertures pour l'achat du Cuba. Nous apprenons que l'offre des États Unis est de 100,000,000 de dollars. Comme cette île rapporte l'Espagne 2 millions de livres sterliog par ao, il est très-douteux que l'offre soit acceptée. CUBA. Une lettre adressée la Tribune de New-York donne des détails suivants Les deux armées souffrent des effets du cho léra. Cette terrible maladie sévit maintenant dans toutes les villes de la côte, et les Cubains ne sont pas plus l'abri que les Espagools. Ceux là ont toutefois un grand avantage là où existe la seconde épidémie, la fièvre jaunè. Ils échappent son ac tion, tandis que les péninsulaires De peuvent s'y soustraire. La mortalité causée par la fièvre jaune est énorme. Les volontaires basques arrivés récem ment meurent par douzaines. Quelques mois d'une telle situation suffiraient pour débarrasser l'île de ses oppresseurs. FAITS CURIEtX RELATIFS AUX MÉBECINES PATENTÉES. Il «'y a qu'un petit nombre de personnes qui peuvent se faire une idée exacte de la statistique des Médecines Patentées en général, tuais l'historique de l'une d'elles, c'est-4-diic sou origine, ses progrès et ses résultats actuels, nous voulons parler des Pilules et Onguent Holloway peut être considéré cotùme un des épisodes les plus intéres sants de la civilisation moderne. Bien ne parait aussi facile, aucune affaire ne semble aussi aisée conduire, qu'un établissement de Médecines Spéciales. Il suffiit d'un carré de papier avec une ordonnance dessus et quelques drogues. C'est tout ce qu'en général le public pense nécessairej c'est aiusi que plusieurs personnes ont essayé une chose et l'autre, sans aucun succès et leur grand désappointement. Il est vrai qu'aise médecine patentée n'est que le résultat d'uue prescription écrite sur uû carré de papier; mais, alors, elle doit prouver par elle-même qu'elle est digne de la confiance du public dont le verdict dépend de son efficacité, eu un motson succès se trouve dans la guérisou de la maladie. Heureusement l'extension des célèbres Médéoines Holloway était comme l'idée Napoléonienue un plan que lieu ne peut arrêter dans sa marche travers la conquête universelle. Quand le Professeur Holloway, il y a quelque trente ans, parla un des principaux associés d'une graude maison, d'introduire une Médecine Patentée, le vieux mon sieur secoua la tète et demanda au Professeur s'il avait de l'argent. Oui, répondit-il. Alors vous feriez mieux de le garder, fut-il réparti Malgré ce décourageant avis, Holloway sentant l'importance de sa grande découverte, et sachant bien que ce n'était pas simp'eraeut un carré de papier sur lequel se trouvait une prescription, mais quelque chose de destiné pour l'avenirpersévéra contre toute opposition et découvrit bientôt que non-seulement toute la nation anglaise, mais le monde entier était disposé l'appuyer dans son grand projet de faire la guerre aux maladies de chaque espèce et avec leS meilleures armes, bien que sous la forme simple de Pilules et Onguent. Les succès de ses Médecines ne furents pas lents. Au coutraire, ils furent proportionnés l'importance de leur objet, leur souveraiue efficacité, et en ce qui regarde le débit actuel des a Pilules et de l'Onguent Holloway, nous pouvons déclarerd'après les statistiques, qu'il est étonnant. Il suffit sur ce point de faire remarquer que le nombre des droguistes et vendeurs de Médecines da Royaume Uni avec les quels le Piofesseur Holloway est eu relations, dépasse quatorze milleet que pas un d'eux ne resterait uue heure *s sans un assortiment de ses Mérecioes; tant leurs demandes sont fréquentes parmi toute les dasses de la société. Tel a ete le succès de ces Médecines spésales la réussite desquelles un connaisseur comme Mr 8aicay n'avait pas foi; niais qui, heureusemeutest encore viva t pour attester le fait et féliciter son auteur de son iiiVeitiôo. Nous ue pouvons nous empêcher de rematquer que c'et là uu d- uble succès de la part d'HoRowây ùnu-seulemeit pour lui-même qui en est amplement réoempensé m^is atfsi pour la société et tout le genre humain qui«a retiié lesplus grands avautages de ses Médecines. The Philusophicd Advocate. PILULES DJHOLLOWàY. - La Loi de la Vie. - Ce paragraphe foornrt une occasion opportune pour indiquer les poluts sur lesquels pivôte la saut'. Toutes les impuretés doi vent être expulsées du système jussitôt que leur présence y est découverte. Les exhaustions dcivent être composée par uue nourriture convenable qui, lorsqi'elle est digerée d'une ma nière complète, doit emichir le >aig de ses éléments nutritifs. Les améliorations efficaces produits par les Pilules dépuralives d'Holloway rencontrent justement ces éxigences, et de plus elles exèteent des pouvoirs dist ncifs et spéciaux en fortifiant les nerfs, en régleut la circulation par qui la sécrétion et l'excrétion sont sagemeut combinées. Ces excellentes Pilules conservent toutes les fonctions nautelbs en si juste balance, qu elles préviennent ou prompteunnt soumètteut, mal de tète, vertige, nausées, attaques bilieuse*, fièvres, diarrhée, dyssen- terie et autres maladies seoiblabbs. Tout malade trouve, par la dm ce Revalenla Du Barry santé, énergie, appétit bonne digestiou et hou sommeil. Elle guérit, sans médecine ni porges, li f ais, les dyspepsies, gas trites, gastralgies, glaires, vents, acidité, pituite, nausées, renvois, vomissements, constipation diarrhée, toux, asthme, phthitfie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. 70,000 cures, y compris Ce! les de S. S. le Pape, le duo de Pluskow, Mad. la marquise de Bréhan etc.etc. Plus nourrissante que la viande elle économise 5o fois son prix en d'autres remedes. Les gastiites, gastralgies, toux, consomption, dépérissement» pour lesquels la médeciue n'offre auoun remède efficace, sont parfaitement guéris par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry de Londres. Cure N° 6a,8i5, Tiitiillies (Belgique) 3o septembre i863. Depuis vingt ans j'ai souffeit d'une dys pepsie avec tous les maux qui eu résultent Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les congestions célébrales. J.-J. NOËL. En boîtes |de i/4 til., 2 fr. a5; 1/2 k., 4 fr. le kil. 7 fr., 6 kil fr 11 kil.,60 fr l.a Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, sommeil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. Eu boîtes et en tablettes de 12 tasses, fr. a-a5; de *>76 tasses, 60 fr., ou environ 10 c la tasse. Envci contre b. n de poste. Barrï du Barrt et C®, îa, rue de l'Empereur, Bruxelles. Uu 30 Juillet uu O .tout InrlUN. NAISSANCES 10. Sexe masculin 4 idem féminin 6 MARIAGES. Angillis, Edouard, tapissier, el Demey, Jeanne, dentellière. lugelaere Désiré, vniturier, et Alle- mau, Justine, dentellière. Tanche, Émile, serrurier, et Plaucke, ALixè, deûtelliére. -- Mieioo, François, commis sionnaire, et Leroy, Hélène, dentellière. Uuilou. Horimond, tisserand, et .Demey, Florence, dentellière. Tyberglieiu' Jean, coutre maître, et Dornioeut, Marie, s.us profession.-I bevaox, Arnaud, chaudronnier, et Borry, Isabelle, modiste. Draille.Charles, journalier, et Destins, Sophie, couturière. DÉCÈS. -- D heere, Marie, ji aus, journalière, veuve de Philippe Roharys, rue de Meinti. - Lugghe, Félix, 68 ans peintre époux de Jeanne Masselis Nouveau chemiu S1 Mar tin. - Van den BugaerdeEdoioud 33 ans, greffier du tribunal, époux de Maria Vaudaele, Vieux-Marohé-au-Bois - lteyhrouok, Antoinette, 34 aus, dentellière, épouse dé Louis Vanhoulte, rue d'Elverdinghe. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 5. - Sexe masculin 5 idem temiuiu 2. YPRES, 7 AOUT 1869. ÉTAt indiquant les quantité* et le prix moyen des I.rulns, Fourrage* et autre* produits agri cole* vendus au marché de cette ville s NATURE DES Griilii* et Denrée*' QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX M«VEI par 100 Lilogra«rmes. t c Froment l3,200 29 87 801 Seigle 2,000 22 50 73 6oo 26 5o 44 Pois 6oo 25- 5o 80 Fé»eroles. 4oo 26 5o 80 Pommes de terre 3,8oo 6 5o Beurre 245 00 Pain de farine de froment brote 28 c5 le kilo. Idem pour les fondations de 5o c'. 1,070 gr. PORTE LATÉRALE, ETC., U„1 3 2 C 2 -a I w-a. i, o k o v -a K mi H Ul o H O z u K es fc. to~ CD 1 Kj v. I--* O 2*1 2 C g 5 M S ai S 2 P Sa0 r c -e 'Z 5D c c n s Sj w e a O t -g 5 5 i w a." s a a c a "z-o-a .2 a ÎT o i x J2 t s h a .Sf3 t o "3 - s M Z-Z± 3 T» jj c Sr - 5 *7: jz - a S S a SX» - M S a 3 C ci il s'i «J T 3 O 1 S c r u y Z* 2 te C CJ q c - aï a i J je S s 4, I B N- c3 t. 0 aj i 5 -t-% -C i» a c C S a" s x o s 5 "Z v - z - o 2 j* a w S -a S S *-o M 33 4 v --2 5 %0 a a" t" S S w E. y" B d Es J jf a y £- e llj li S "3 s - w>" s x te _a »-S JS co -2î «J G - a e KO). V 3 a n --C Ci i» a a S fl a S? - y - a - w Cfi - a 5 on w a - C- 3 x .Z 5^ 3 ex a - S 53 "S - i S l s u - S i- i 1 S D îtej 3 - a -g a - m C V PC -- -— -a a a i ji u "j >3 S «^2 "x 3 .5 a v U 3 -_ S - V v -e - - m* r - y S Jcd a 5 -z X t- a a a e - -SÔSflî -2 Q a - S M su x 7> 2 3 5 è'M •v C- <n .H "3 ~C 'Z C 1 S ce -a s - u 2s fi g 2 tJD Z - tr - r: ts a ;r - J -* - - - w fl y «-= "5 ET sxid a: - X a g V -1- a 2 i N g a r •t t Z b - 2 s w z x r 4 z se z as U W 2 2 i; X a: s M

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3