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économies. Ils ont cherchée échappera celte laie,
et voici ce qu'ils oui trouvé;
La loi porte que tout cocher coaclimtn
doit payer nue patente. Mais elle ne dit rieo de9
coac/iwomeri on cochères (pardon de ces deux
néologisiui's!). Donc, en faisant conduire sa toiture
par nue femme,ou n'a rien payer au fisc. Anssi,
«"est—il pas rare de voir une toiture de maître
conduite par une femme alerte, bien découplée, eo
costume semi-masculin aux couleurs éclatantes;
quelques omnibus même sont menés de la même
façon et il en est de ces téhic.ules comme des
ménages dont les femmes tiennent aussi les rênes:
ce ne sont pas les plus mal conduits.
Samedila cour d'assises de Manchester a
ontert ses séances sous la présidence de M. le juge
Hayes, qui, dans son adtesse ao grand jury, a fait
observer le chiffre effrayant de g3 affaires a juger.
Ces affaires portent surtout sur des cas de
meurtre, d'assassinatde tiolence contre les per
sonnes, et M. Hayes les attribue principalement
aux habitudes d'ivrogoerie de la population.
Le Morning Post publie la Dote suivante
M. Forbes, de Boston, est en ce moment
Madrid, où il s'est rendu avec des pouvoirs des
États-Unis qui l'autorisent faire des ouvertures
pour l'achat du Cuba. Nous apprenons que l'offre
des États Unis est de 100,000,000 de dollars.
Comme cette île rapporte l'Espagne 2 millions
de livres sterliog par ao, il est très-douteux que
l'offre soit acceptée.
CUBA.
Une lettre adressée la Tribune de New-York
donne des détails suivants
Les deux armées souffrent des effets du cho
léra. Cette terrible maladie sévit maintenant dans
toutes les villes de la côte, et les Cubains ne sont
pas plus l'abri que les Espagools. Ceux là ont
toutefois un grand avantage là où existe la seconde
épidémie, la fièvre jaunè. Ils échappent son ac
tion, tandis que les péninsulaires De peuvent s'y
soustraire. La mortalité causée par la fièvre jaune
est énorme. Les volontaires basques arrivés récem
ment meurent par douzaines. Quelques mois d'une
telle situation suffiraient pour débarrasser l'île de
ses oppresseurs.
FAITS CURIEtX RELATIFS
AUX MÉBECINES PATENTÉES.
Il «'y a qu'un petit nombre de personnes qui peuvent
se faire une idée exacte de la statistique des Médecines
Patentées en général, tuais l'historique de l'une d'elles,
c'est-4-diic sou origine, ses progrès et ses résultats actuels,
nous voulons parler des Pilules et Onguent Holloway
peut être considéré cotùme un des épisodes les plus intéres
sants de la civilisation moderne. Bien ne parait aussi facile,
aucune affaire ne semble aussi aisée conduire, qu'un
établissement de Médecines Spéciales. Il suffiit d'un carré
de papier avec une ordonnance dessus et quelques drogues.
C'est tout ce qu'en général le public pense nécessairej c'est
aiusi que plusieurs personnes ont essayé une chose et l'autre,
sans aucun succès et leur grand désappointement. Il est
vrai qu'aise médecine patentée n'est que le résultat d'uue
prescription écrite sur uû carré de papier; mais, alors,
elle doit prouver par elle-même qu'elle est digne de la
confiance du public dont le verdict dépend de son efficacité,
eu un motson succès se trouve dans la guérisou de la
maladie. Heureusement l'extension des célèbres Médéoines
Holloway était comme l'idée Napoléonienue un plan que
lieu ne peut arrêter dans sa marche travers la conquête
universelle. Quand le Professeur Holloway, il y a quelque
trente ans, parla un des principaux associés d'une graude
maison, d'introduire une Médecine Patentée, le vieux mon
sieur secoua la tète et demanda au Professeur s'il avait de
l'argent. Oui, répondit-il. Alors vous feriez mieux de le
garder, fut-il réparti Malgré ce décourageant avis, Holloway
sentant l'importance de sa grande découverte, et sachant bien
que ce n'était pas simp'eraeut un carré de papier sur lequel
se trouvait une prescription, mais quelque chose de destiné
pour l'avenirpersévéra contre toute opposition et découvrit
bientôt que non-seulement toute la nation anglaise, mais le
monde entier était disposé l'appuyer dans son grand projet
de faire la guerre aux maladies de chaque espèce et avec
leS meilleures armes, bien que sous la forme simple de Pilules
et Onguent. Les succès de ses Médecines ne furents pas lents.
Au coutraire, ils furent proportionnés l'importance de leur
objet, leur souveraiue efficacité, et en ce qui regarde le
débit actuel des a Pilules et de l'Onguent Holloway, nous
pouvons déclarerd'après les statistiques, qu'il est étonnant.
Il suffit sur ce point de faire remarquer que le nombre des
droguistes et vendeurs de Médecines da Royaume Uni avec
les quels le Piofesseur Holloway est eu relations, dépasse
quatorze milleet que pas un d'eux ne resterait uue heure
*s
sans un assortiment de ses Mérecioes; tant leurs demandes
sont fréquentes parmi toute les dasses de la société. Tel a ete
le succès de ces Médecines spésales la réussite desquelles
un connaisseur comme Mr 8aicay n'avait pas foi; niais qui,
heureusemeutest encore viva t pour attester le fait et
féliciter son auteur de son iiiVeitiôo. Nous ue pouvons nous
empêcher de rematquer que c'et là uu d- uble succès de la
part d'HoRowây ùnu-seulemeit pour lui-même qui en est
amplement réoempensé m^is atfsi pour la société et tout
le genre humain qui«a retiié lesplus grands avautages de ses
Médecines. The Philusophicd Advocate.
PILULES DJHOLLOWàY. - La Loi de la Vie. - Ce
paragraphe foornrt une occasion opportune pour indiquer les
poluts sur lesquels pivôte la saut'. Toutes les impuretés doi
vent être expulsées du système jussitôt que leur présence y
est découverte. Les exhaustions dcivent être composée par uue
nourriture convenable qui, lorsqi'elle est digerée d'une ma
nière complète, doit emichir le >aig de ses éléments nutritifs.
Les améliorations efficaces produits par les Pilules dépuralives
d'Holloway rencontrent justement ces éxigences, et de plus
elles exèteent des pouvoirs dist ncifs et spéciaux en fortifiant
les nerfs, en régleut la circulation par qui la sécrétion et
l'excrétion sont sagemeut combinées. Ces excellentes Pilules
conservent toutes les fonctions nautelbs en si juste balance,
qu elles préviennent ou prompteunnt soumètteut, mal de tète,
vertige, nausées, attaques bilieuse*, fièvres, diarrhée, dyssen-
terie et autres maladies seoiblabbs.
Tout malade trouve, par la dm ce Revalenla Du Barry
santé, énergie, appétit bonne digestiou et hou sommeil. Elle
guérit, sans médecine ni porges, li f ais, les dyspepsies, gas
trites, gastralgies, glaires, vents, acidité, pituite, nausées,
renvois, vomissements, constipation diarrhée, toux, asthme,
phthitfie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau
et sang. 70,000 cures, y compris Ce! les de S. S. le Pape, le duo
de Pluskow, Mad. la marquise de Bréhan etc.etc. Plus
nourrissante que la viande elle économise 5o fois son prix en
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pour lesquels la médeciue n'offre auoun remède efficace, sont
parfaitement guéris par la délicieuse Revalenta Arabica Du
Barry de Londres. Cure N° 6a,8i5, Tiitiillies (Belgique)
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NAISSANCES 10. Sexe masculin 4 idem féminin 6
MARIAGES. Angillis, Edouard, tapissier, el Demey,
Jeanne, dentellière. lugelaere Désiré, vniturier, et Alle-
mau, Justine, dentellière. Tanche, Émile, serrurier, et
Plaucke, ALixè, deûtelliére. -- Mieioo, François, commis
sionnaire, et Leroy, Hélène, dentellière. Uuilou. Horimond,
tisserand, et .Demey, Florence, dentellière. Tyberglieiu'
Jean, coutre maître, et Dornioeut, Marie, s.us profession.-I
bevaox, Arnaud, chaudronnier, et Borry, Isabelle, modiste.
Draille.Charles, journalier, et Destins, Sophie, couturière.
DÉCÈS. -- D heere, Marie, ji aus, journalière, veuve de
Philippe Roharys, rue de Meinti. - Lugghe, Félix, 68 ans
peintre époux de Jeanne Masselis Nouveau chemiu S1 Mar
tin. - Van den BugaerdeEdoioud 33 ans, greffier du
tribunal, époux de Maria Vaudaele, Vieux-Marohé-au-Bois
- lteyhrouok, Antoinette, 34 aus, dentellière, épouse dé
Louis Vanhoulte, rue d'Elverdinghe.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 5. - Sexe masculin
5 idem temiuiu 2.
YPRES, 7 AOUT 1869.
ÉTAt indiquant les quantité* et le prix moyen
des I.rulns, Fourrage* et autre* produits agri
cole* vendus au marché de cette ville s
NATURE
DES
Griilii* et Denrée*'
QUANTITÉS
VENDUES.
Kilogrammes.
PRIX
M«VEI
par 100
Lilogra«rmes.
t
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Froment
l3,200
29 87
801
Seigle
2,000
22 50
73
6oo
26 5o
44
Pois
6oo
25- 5o
80
Fé»eroles.
4oo
26 5o
80
Pommes de terre
3,8oo
6 5o
Beurre
245 00
Pain de farine de froment brote 28 c5 le kilo.
Idem pour les fondations de 5o c'. 1,070 gr.
PORTE LATÉRALE, ETC.,
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