VENTE M BUIS SCIÉ l'ItO-.llSIITlÂ) PASSCHENDAELE. EXTRAIT. AERDAPPELS TE VELUE, ET AUTRES. police, et M. le commissaire et ses agents, sur pied toute la nuit, organisèrent les plus minutieuses recherches. L'autorité municipale, justement alarmée, ne négligea aucune mesure. Enfin, après mille tentatives infructueu ses, on eut un renseignement, une faible lueur dans la nuit sombre. Dans un café, près de la gare, on avait vu une petite fille, la robe bleue, tablier blanc, tête nue (celait bien le signalement), aux mains d'une fille de dix sept ans, de mise très- sale et très négligée Celte fille était ac compagnée d'un marchand de paniers d'environ quarante ans, et la maîtresse du café, mécontente de leur tenue, les avait mis la porte. La fille et l'enfant avaient pris le chemin de fer. On télégraphia iNoyon, Compiègne, Creil, Chantilly, Paris. Le malheureux père partit lui-même. On retrouva le com pagnon de café de la fille; ce n'était pas un complice; il avait simplement failli être dupe. Car, sous prétexte de lui acheter un panier, la voleuse d'enfant (il n'y avait plus en douter), avait voulu en extorquer un. Cet homme, par un rapprochement bizarre, est du pays de Vasseur, d'Origny en Thié- rachedit on; il logeait chez son compa triote, il n'a pas reconnu le petite de son hôte. Toute la nuit se passa dans les plus cruelles alarmes l'enfant volé fut l'objet de toutes les préoccupations et ausside la part des autorités, l'objet de toutes les recherches. Enfin, dans la journée de lundi, M. Ser gent, commissaire de police, reçut une dépêehe qui lui annonçait qu'on avait trouvé Janville, près Compiègne, une petite fille de deux ans, abandonnée sur la berge du canal. Il paraît que la voleuse, se croyant pour suivie par une jeune fille de quinze ans qui ne la suivait que par curiosité, avait aban donné l'enfant en la poussant vers l'eau. Sauvée de ce nouveau danger et accueil lie dans la famille de la jeune fille, l'enfant Vasseur fut envoyée Compiègne, où on l'envoya chercher de Chauny. Elle revint par le train de trois heures du matin. Son père revenait de Paris par le même train, dans le même wagon. En proie au plus violent désespoir, il nereconnut pasd'abord son enfant; il était devant elle, pâle, les yeux hagards, hors de lui. Nulle parole n'arrivait son oreille; les plus touchantes caresses de sa fille le laissaient insensible; elle trépignait de joie cependant, elle le couvrait de baisers. Enfin la raison lui revint, et il faillit mourir de joie en retrouvant dans ses bras l'enfant qu'il croyait ou morte ou avilie dans les bras d'infâmes saltimbanques. MEXIQUE. On lit dans le Times du 5 septembre Les nouvelles du Mexique du 15 du mois dernier établissent que la conspira tion qui vient d'être découverte et qui était dirigée contre la vie du président Juarez était organisée sur une assez grande échelle, car il y était entré cinq généraux, qui ont été arrêtés pour leur complicité dans cette affaire. L'armée mexicaine doit désormais se recruter, dit on, par le sys tème de l'enrôlement au lieu de celui de la conscription. On enverra des recruteurs par le pays et l'on offrira des primes ceux qui voudront s'enrôler. .--i O I an CE QUI MÉRITE D'ÊTRE CONNU. L'ESTOMAC, LE FOIE ET LES POUMONS. Ces trois organes peuvent être appelés la banque de la vie humaine, parce que si leurs fonctions respectives s'arrêtentla ruine du système s^en suit infailliblement i\ous faisons, chaque jour, des dêpAts dans Vestomac dont nous recevons immédiate ment l'intérêt courant au moyen (Tune bonne digestion et assimi' lation qui donnent une nouvelle force le foie préside eomme un comptoir les poumons représentent le chèquecomme si, par leur vigoureuse actionils devaient faire une reconnais sance n'importe quel taux. Maiepour assurer ce plaisant état de choses, ces trois organes importants doivent être main tenus en bon état. A cet effetcomme il est prescritdepuis long tempst, par le Professeur Uollowayil faut avant touttenir C es tomac en parfait étatparce que c est là que notre nourriture commence sa première transformation et se prépare devenir du sang pur, la seule source de la santé et de la force du sys tème Tel fut le principal motif qui amena Thomas Holloway inventer ces merveilleuses Pilules, que Cexpérience de chaque année successive recommande de plus en plus au choix de la société entière. En effetpar la bénigne influence de ces Pilules C estomac ne manque jamais de remplir ses fonctions ordinaires avec la nourriture qui lui est confée par une promptefacile et imperceptible digestion le foie est maintenu en ordre régulier, sécrétant 11 bile en quantité et qualité convenables et les poumons rafraîchissant la flamme de la vie sans efforts ni entraves. Tel estdans chaque cas, l'effet des Pilules llolloway, que des milliers de personnes les ont recommandées non-seulement dans le Royaume-Uni, muis dans chaque contrée du globe Du reste la réputution bien méritée des Médecines llolloway s'est étendue de Vextrême-nord au fond du sudenfin partout où réside Vhumanité souffrante Elles n ont jamais manqué de produire leurs effets sur l'estomacle fois et les poumons ce qui leur a valu leur réputation bien méritée Quoi d'étonnantalors, qu'il n'y ait guère, de vaisseaux partant de notre port pour tes pays étrangers qui n'aient un assortiment des Médecines llolloway, embarqué par ordres de correspondants toujours pressés de les recevoiret que chaque droguiste, d'un bout Vautre du Royau me-Uni y quelque soit ce qui lui manque, ait ioujours soin d'avoir un large assortiment de Pilules et dOnguent llolloway thf. loudon cohrpspowdent. ONGUENT ET PILULES U'HOLLOWAY. Soulage ment pour Chaque Mal. Cet Onguent donne le moyeu le plus rapide, le plus sûr, et le plus aisé pour recouvrer la santé dans toute espece de maladies de peau, affections scro- fuleuses, maladies scorbutiques, ulcérations, éruptions et iuflammatious II n'y a rien de nuisible dans la composition de l'Onguent Holloway au coutraire, ses Médecines possèdent les qualités les plus douces, les plus dépuratives et fortifiantes. La peau délicate des eufauts n'est pas affectée par l'application de cet Ongiieul, qui, conséqueinmeutconvient admirable ment a la jeunesse et guérit les ulcéiations chagrinautes qui attaques la vieillesse. Dans toute affection constitutionnelle chronique ou compêxe, les Pilules d1 Holloway doivent être prises pendant l'usage de fOugueut, aliu que toute matière nuisible soit expulsée du corps. Depuis la cuie du Saiut-Pere par la douce Revalenta Du Barry,e l les adhésions de beaucoup «le médecins et d'hôpita ux, mil ue pourra plus douter de l'efficacité de celte délicieuse Farine de Santé, qui guérit sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diar rhée, toux, asthmephlhisie; tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. 70,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, Mm« la marquise de Bréhao, etc., etc Plus nom rissante que la viaude elle écouoiuise 5o fois sou prix en d'autres remèdes. Voici encore un petit extrait des 70,000 guérisons sans médecine par la délicieuse Revalenta Arabica Du Rarryqui, quelques sous par jour, économise ciuquante fois son piix en d'autres remèdes. N° 62,812, Liège, le *4 novembre :863 Atteint de dartres au bas des jambes depuis i85i, et trouvant que le mal 11e faisait que s'empirer sous le traitement détruis médeoins qui m'assuraient du reste qu'à mon âge (55 ans) la guérisou était impossible, je me suis décidé, mon grand bonheur faire usage de votre Revalenta Arabica qui m'a paifaitement guéri eu peu de temps et affermi ma sauté eu général d'une manière surprenante Gr Vnos, concierge au banc d'épreuves des aimes a feu N° 46,270, \l. James Roberts, négociant, d'une consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipations et surdité de vingt-cinq années. En boîtes de i/4 k-il., 2 fr. 25; 1/2 k., 4 fr. le kil. 7 fr 6 kil 3î fr 11 kil.,bo fi -- La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, sommeil et énergie aux per.souuts et aux eufauts les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viaude et que le chocolat ordinaire. -- En huiles et eu tablettes de t a tasses, fr. 2-25; de "176 tasses, 60 fr., ou envi 1 ou 10 c la lasse. Envci contre b« 11 de poste. Barrï ou Barry et O, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Se vend Ypres, chez .M M. Frysou, pharmacien; Becuwe pharni G. Veys, pbarm., et Mahieu, pâtissier, et dans toutes les villes, chez les premiers pharm., épicierset confiseurs 3. Par Jugement par défaut devenu défini tif rendu par le Tribunal correctionnel de I arrondissement d'Ypres, province de la Flandre-Occidentale En date du 8 Juillet 1800 soixante-neuf, DELMOTTE LEoroLD-Lotis, âgé de 42 ans, marchand de toile ambulant Wervicq; Convaincu de banqueroute frauduleuse et de banqueroute simple; a été condamné, en vertu des articles 2 et 3 de la loi du 4 Octobre 1867. 577, 583 de la loi du 18 Avril 1851489, 80, 39, 40, 46. 47, 50 du Code pénal, et 194 du Code d'instruction criminelle, 1° du chef du premier fait huit mois d'emprisonnement, 2° du chef du 2e fait quatre mois d'emprisonnement, et 3° aux frais du procès liquidés trente- et un francs, nonante centimes; La durée de la contrainte par corps pour le recouvrement des frais a été fixée huit jours. Il a été ordonné en outre que le présent jugement sera inséré par extraits dans les journaux qui s'impriment Ypres, le Pro pagateur et le Progrès. Pour extrait conforme délivré Mon sieur le Procureur du Roi, le 8 septembre 1869. Le greffier du Tribunal de 1" instance d'Ypres, (signé) L. SPILLIAERT. EN op Op MAENDAG 27e0 SEPTEVIBER 1869, te beginnen met den middag, zal den Notaris C H R I S T I A E IM by Venditie verkoopen op PASSCHENDAELE, by de Kozak, Op het iiofsledeken gebruikt door s' Ladkisocx. De Meubels en Huisraed als Tafels, Stoelen, Koper-Tin-, Yzer-Aerd en Galeischwerk, KleerkasKoipen, Keirn, Aelkuip, Kordewagen Bakkordewagen Akkerhalam Kegge Eggen, Rolle, Hooi, Strooi en meer andere voorwerpen. Voorls Beestialen en Aerdappels. Onmiddelvk daerna op Passchendaele, aen het Engelsveld, op het hofsledeken van sieur Samyn. Wat Meubels, Windmolen Biekot met Rien, 10 voile en veel iedele Biekorven, Kuipen Keirn, Brandhout, wat Perse», Akkerhalam, en andere voorwerpen, Voorts 1 goede Melkkoei, een Kalf en Aerdappels te velde. Op gewoone voorwaerden en tyd van betaling mits borg stellende. De koopen toi en met 5 frank nochtans kontant. l'LOKCiSTEKUT, en face de l'église, près du cabaret occupé par le Sr Duhayon- Mouret, LE LUNDI 15 SEPTEMBRE 1869. 2 heures de relevée, près du cabaret ci des" sus indique, il sera vendu publiquement une grande quantité de BOIS SCIE et au tres consistant en Planches de bois blanc de canada et d'orme de toute dimensions* Poutrelles, Cites, Plançons pour ourdages tabac, Baies pour chariots etc. Cette vente aura lieu sous des conditions ordinaires par le notaire vSS - - t Neuve-Eglise.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3