VENDITIE TE REEUINGKE, se trouvent réalisées les espérances qu'avait fait naître la grande entreprise de la jonc tion des deux mers. La terreur est son comble dans l'arrondissement de Cbàleaubriant. Un habitant des environs de celte ville, que nous pourrions nommer, vient d'emmener un convoi de trois cents fusils qui lui sont demandés par les habitantsdu pays. L'Union bretonne et ses assertions rassurantes ont, paraît il, peu de crédit sur l'esprit des paysans. Une véritable consternation s'est répan due parmi eux; le bruit court en certains lieux que des incendies sont allumés par les ordres du conseil central démocratique Hier, un vieillard était sorti la nuit pour faire la garde; le fils de cet homme, aper cevant quelqu'un qui rôdait près de son paillier, allait tirer sur lui, quand, par bonheur, il reconnut son père. Chez M. Deraangeat, lorsque le feu prit, il y a deux ou trois jours, son domestique était occupé prendre du foin dans la meule; tout coup un bruit étrange, sem blable celui d'un pétard, se fit entendre; il écoute, il regarde, et voit le pailler qui s'enfiamme instantanément. La perte de M. Démangeai s'élève près de 5,000 fr., bâtiments compris. (Gazette de COuest.) Un jeune garçon d'extérieur conve nable, en tenue de lycéen se présentait hier malin chez M. le commissaire de police du quartier des Halles, Paris, et deman dait lui parler en particulier. Le magistral le fitentrer dans son cabinet et l'invita lui faire connaître le sujet de sa visite. Monsieur, répondit il, je viens me constituer prisonnier. Ah!... et pourquoi cela? Parce que tout l'heure j'ai assas siné ma cousine. Assassiné!!... pour quel motif? El le refusai t de se marier avec moi.» Il y avait un contraste étrange entre ces paroles et la physionomie douce et imberbe du jeune garçon. Quel âge avez vous donc, mon ami? lui demanda le commissaire. Quatorze ans. n Et votre cousine? Quinze. Votre nom Je ne veux pas le faire connaître, de peur de déshonorer ma famille. Il persista dans ses déclarations relative ment au crime dont il s'accusait, mais il ne put dire en quel endroit avait eu lieu l'as sassinat prétendu. Quelques mots qui lui échappèrent donnèrent penser qu'il avait eu l'esprit troublé par les récils des forfaits de Tropmann. En conséquence, il a été envoyé la Préfecture, où son état mental sera l'objet d'un examen de la part d'un médecin spé liai. (Droit.) Une nouvelle très-étrange et très- incroyable. en effet, recontée par le Figaro: Un simple industriel, qui ne s'est jamais occupé que d'affaires, vient de découvrir... devinez quoi? le moyen de diriger les ballons. Vous n'y croyez pas? Ni moi non plus; et cependant la chose est authen tique. L'Empereur a payé son brevet sur sa cassette, et la maison E... est en train de s'emparer de l'affaire moyennant 500,000 francs payés comptant. Si maintenant vous voulez savoir le nom de l'inventeur, je vais vous le dire c'est M. Saleville fabricant de châles, place des Victoires, Paris. Le moyen em'dové par M. Saleville pour diriger les ballons est d'une simplicité enfantine une machine pneumatique adaptée l'aérostat fait le vide devant lui, et tout est dit. Plus de courants contraires, plus de résistances vaincre. Le ballon a son sillon tracé devant lui, et il s'y préci pite forcément. Qu'en dites vous?... Nous croyons savoir que le contrat passé entre M. E... et M Saleville ne sera valable d'une manière définitive que lorsque ce dernier aura fait une expérience en grand, une expérience concluante. Du reste, les conditions de M. Saleville sont celles ci S'il ne va pas de Paris Marseille eu quatre heures, rien de fait. Dans une petite ville de d'Ille et Vi laine, un gendarme, en mangent une tran- chede gigot, essaya d'en avaler un morceau coriace, qui. une fois engagé dans le gosier, ne voulut plus ni entrer ni sortir. C'était un jour de marchéet le fait que nous rapportons se passait devant le poste du quartier de la gendarmerie. Le malheureux militaire, cependant, renversé sur un fauteuil, se raidissait les bras et les jambes, ne pouvant plus abso lument respirer, et il allait infailliblement mourir de suffocationlorsqu'un vieux paysan breton, passant par là d'aventure, posa terre son bâton et son bissac sai sissant alors vigoureusement le geudarme par les cheveux, lui ramenait par un mou vement brusque la tête en avant, il lui asséna derrière la nuque un coup de poing pareil un coup de marteau. Au même instant, le morceau de viande fut lancé en avant comme un paojectile, et le gendarme fut sauvé. Le paysan breton reprit alors son bâton et son bissac. puis continua tranquillement son chemin comme si de rien n'était. ANGLETERRE. Dans une des dernières séances de la cour des faillites, Londres, a comparu lord Albert Clinton, frère du duc de New- castle, qui, avec un revenu de 10.000 fr., a fait en quatre ans 800,000 de dettes. Or, parmi les créanciers se trouve, pour une somme de 32,500 francs, un saltim banque qui s'intule El Mueab, le Roi du feu, ou la Salamandre vivante. Le jeune vineur lui doit celte somme pour des représentations données ou com mandées. On écrit de Dublin, le 18 novembre, VEvening Standard: Une procession aux flambeaux a eu lieu hier au soir dans Waterford; en tête étaient des musiques jouant des airs natio naux. La procession s'est rendue la colline de Ballybricken là on a poussé des cris en faveur de l'Irlande, de h république d'O'Donovan Rosa et du capitaine Mackay. Sur les bannières on lisait Mackay pour l'Irlande et Dieu protège l'Irlande. Plus de 12,000 personnes ent pris part cette démonstration. A (JTR1CI1 E. On inande de Cracovie Un décès inopiné vient de produire une profonde sensation dans notre ville. M. le docteur Jakubowski, qui avait été chargé d'éclairer le tribunal sut la situation mentale de Barbara Ubryk et sir les causes de sa folie, vient de mourir subitement, au moment où il allait être appelé la barre du tribunal. On mande de Cracovie ;u Lloyd de Pesth que la carmélite Barbara Ubrvk vient d'être internée dans un établissement des tiné aux aliénés incurables. Saille lous par la douce Revaleuta Alabicadélicieux, aliment réparateur qui a opéié 70,0 ogueiisons sans médecine et sans purges. 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Cures d'ulcères, plaies, inflammationsabcès, difformités par scro fules, obtenues par l'usage des sublimes médecines euratives d'Iiolloway, peuvent re citées par milliers et un grand nombre de certificats volontaires pour attester leur efficacité, abonde dans les journaux de la métropole, des colonies, et des pays étrangers Un peu devonfiauce seulement est nécessaire pour qu'on essayé les médicameuts; une seule épreuve sera suffisante pour démontrer leurs pouvoirs salutaires et conduire leur adoption pour l'avenir. Les Pilules Holloway domptent la maladie, restaurent la force eu purifiant et amélioiant la qualité du saug. L'Ongu-ut d'Holloway guérit les ulcères, ferme les abcès, en formant de fermes et SaiueS granulations. UINSDAG H- DECEMBER 1869, 's middags, «Y LIEFJES HOKk. VAN 75 KOOPEN IEPEN. ESSCHEN, ABEELEN EN POFULIEREN BOOM EN, Waeronder versclie'de van I m. 70 tôt 2 m. 45 dikle; Op de hofsteden gebruikl door Constante Leuridan en de kinders van wylen Albertes Sticker, langs den sieenweg naer Oostvle- teren en de Sint Corin straet. Door bet ambt en ter ontvangst van den Notaris ES 3CC, te Oostvleteren. STUDIE VAN DEN NOTARIS DE BOO. TE O OS T VI. ETE H EN. verjditie DEN WOENSDAG I" DKCEMBER I8G9, ora 9 ure 's morgens, ten sterlhuize van M. den onderpastor Quartier, ter dorp- plaets van Woeslen, van MEUBEL.S, m IM AT© 01 1 f !L s EN WYIN. Met gereed geld.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3