- 3 - On annonce que le Mecklembourg paiera la somme de 1,036,320 francs due la Belgique pour le rachat du péage de l'Es- caut eu quatre paiements annuels. La Gazette de Madrid analyse en ces ter mes la séance des Cortès dans laquelle le maréchal Prim a rendu compte d'une dé monstration dirigée contre lui dans les rues de la capitale KEMMEL, LOKER EN VOORMEZEELE, openbaerlyk te koopen De Noiaris T H E R R Yte Nieuwkerke. zal openbaerlyk Verkoopen ten overstaen van Mynheer de Vrederegter van 't kanton Meesseo, de volgende Goederen GEMEENTE KEMMEL. De Verkooping zal plaets hebben in d'herberg bewoood door de wed* Persyn, le Kemmei, le weten Den INSTEL WOENSDAG 30" MAERT 1870, En den OVERSLAG WOENSDAG 13" APRIL daerna, t'elkens len 3 uren naraiil- dag. De voorwaerden dezer Verkooping be- rusten ten kantore van gemelden Noiaris TE3EH7. l'hétporragiç si qn médecin qe se fût heoreqseqient trouvé lit par un hasard providentiel pour lui porter secours. Oa se rappelle qq'un terrible incendie a dé truit le 16 février 1869 le tjhéâife de Cologne, et que quelques personnes ont péri dans les flammes. La cause de ce sinistre était restée inconnue; mais quelques jours plus tard, une femme, la nommée Ursule Schmitz, qu'on avait trouvée assise sur les escaliers d'tioe maison, déclarait eu versant d'abon dantes larmes, et comme poossée par les remords, eo préseocç de plpsjeups personnes, qu'elle avait mis le. feu au théâtre pop; su venger du caissier Backbaus et de sa femme. Elle fui arrêtée, et dans son interrogatoire devant le juge d'instruction, elle renouvela ses aveux et les compléta par des détails qui furept reconnus exacts par l'instruction. Peu de temps après, ellç rétracta sa déclaration, disant qu'elle était mensongère et de pore inven tion mais les soupçons qui s'étaient élevés contre elle paraissaient tellement fondés, que l'iostructioo fut continuée et qu'Ursule Scbmitz fot renvoyée devaot les assises. Daus uoe lettre ao commissaire de police, elle prétendit avoir qoitté le i5 février la ville d'Aix-la-Chapelle et être restée en roote trois joors, de sorte qu'elle ne serait arrivée h Colo gne que le 18 février, c'est-à-dire deux jours après l'incepdiç dopt elle avait déclaré antérieurement être l'auteur. On o'atlacba qu'une médiocre atten tion cette tentative d'établir 00 alibi. Le fait de son départ d'Aix-la-Chapelle ao i5 fot cependant reconnu exact, mais elle ne pouvait donner aucune indication ao sujet de la roote qu'elle avait parcou rue ou des maisoos où elle avait passé la nuit. Son avocat, M. Heiotges, oe se laissa pas décou rager; il p&rtiQ.t b établir que sa cliente avait suivi un chemin passant par Juliers. L'avocat, qoi con naissait parfaitement la contrée entre Aix-la-Cha pelle et Juliers, se mit en ronte muni d'an portrait photographique d'Ursule et traça soo itinéraire avec 00 soio minutieux par Ursule ao sujet de la maison et des geus chez qui elle avait passé la nuit do 15 au 16 février. M. Heiotges eut la satisfaction de trouver la mai son b HaareD, on village près d'Aix-la-Chapelle, sur l'indication suivante d'Ursule: les habitants allaieot chercher leur eau dans une maison blanche située vis-b-vis de leur maison; et, chose inatten due, les habitants se rappelaient parfaitement avoir donné l'hospitalité k la pauvre femme doot le por trait leur fut présenté, parce que le i4 février, jour de la Saiot-Valeotin, est une grande solennité pour le village de Haaren. L'avocat établit eusoite que la femme avait passé la ouit suivante dans une forge b Stetternicb, no village près de Juliers, et la ouit do 17 au 18 février b Grosz-Kœnigsdorf. A Haaren, on loi avait doooé gratuitement l'hospi talité mais U'snle avait voulo montrer sa recon naissance en forçaut la femme b accepter one paire de bas bleus que celle-ci n'avait jamais por tés, mais qu'elle montra b l'avocat. Le bourgmestre de la commune a déclaré que les gens eo qoestion soot honnêtes et dignes de foi. L'alibi est donc bien établi, et on se demande quelles raisons ODt pu pousser Ursule Schmitz b s'accuser d'nn si hor rible forfait. Une nouvelle instruction se poursuit, et l'affaire viendra devant les assises le second, tri mestre de 1870. On écrit de Saint-Pétersbourg que l'emploi des femmes dans les boréaux télégraphiques a pro duit des résoltats tellement favorables, que le nombre de ces fonctionnaires a été élevé b 265. On assure que le gouvernement a l'intention de donner b cette mesure provisoire un caractère dé finitif lors de la prochaine révision do règlement des télégraphes. ALLEMAGNE. Schwerin, 21 mars. ESPAGNE. Dqns, les Cortès, M, So.ler ademaodé ce qui était arrivé. Le président do conseil (géêral Prim) a dit que des pierres lui avaient été lacées, et que l'on éviterait de pareilles manifestalias en les châtiant avec rigueur. Je remercie assurément, ontinna-t-il, M. Soroi et M. Garcia, dicecteo.r c la Discussion qui ont fait les graods efforts pou me dégager des étreintes de la multitude. Alors voyant que ces groupes demeuraient sourds b Vus les conseils, j'ai doooé de l'éperoo b mon cheal, et naturelle ment j'ai pu circuler. Mais je regrttais d'entendre derrière moi burier toujours contr le ministère de la guerre. (On se récriait surtout ontre la loi rela tive b la conscription.) Lorsque j'arrivai b la sorte d'Jcala, on misé rable me lança une pierre. Je tovoai la bride de mon cheval, et heareosement ji ne vis pas qui avait fait le coup, car je u'aorai psété de moi. Je poursoivis ma roote, e b la Foeote de Ubeles, je doooai l'ordre b un agent de police d'arrêter cinq 00 six hommes qu s'acharnaient le plus vivement après moi. Parmi e»x était 00 men diant qne je me rappelle avoir scouro b diverses reprises, et qui criait plus fort qts tous les autres: A bas la coriscripiioo plus de ccnscripiion «Quand je fus rentré, un ageit de police m'a mena trois hommes, parmi lesmels se trouvait celoi qoi m'avait lancé une piere. L'un d'eux se mit a trembler et les autres b peurer, prenant b témoins tons les saints do paradisqu'ils étaieol in capables de faire pareille chose. Le plus âgé de ces prisonniers avait 19 ans b pine. Que faire b la vue de pareil monde? Je fismettre en liberté ces gamius. (Approbation.) Toutefois, de tels abus oe saaraieot être tolé rés. Il faot qoe le penple sache tien qu'il n'a pas le droit d'insulter l'autorité, et ntos le loi appren drons ainsi le vent notre Constitution démocra tique M. Rivero a sooleoo qu'il égnait one cer taine exagération dans les récits et il a défendu la liberté qui, a -1-il dit, triomphtra nonobstant de légers incidents sans importance. 'madvio, 3i mars. Un décret accepte la démission de l'amiral To- pele et nomme M. Bellanger minstre de la marine. PILULES hoi.loway. Les ehileurs extraordinaires €n été produisent souvent plusieurs personnes de fâcheuses conséquences. Le foie, l'estomac, et les intestins sont, dans de tels cas, plus ou moius affectés, de sor.e que les iudigènes, sont, a cette époque, sujets quelques ins des désordres qui sévissent dans les climats chauds. Il doitètre universellement reoonuu que les Pilules Holloway posséffent les propriétés 011- ratives les plus puissantes Elles rafraîclisseut et purifiant le saug, empêchent le système d'être exposéa certaiues irrégula rités ou bieu, lprisqqe la raaltyiiç s'est ïmparée du système, elles en adoucissent la violence et fiuissut par en triompher tout fait. La dyssenterie, les affections ie la hile, lesaccidités sur l'estqcpac, les mjgrajnes et la débilité disparaissent bientôt après un.traitement avec ses adpiirablesPilules. Aucune maladie,ne résiste la doua Revalenta Arabica, qui guérit sans médjeciue, ni purges, uifrais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidtés, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diaihée, toux, asthtne, phlliisie, tous désordres de la poitrine, Jorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reius, intestin, muqueuse, cerveau et saug. 7.0,000 cures, y compris cellesjie S. S. le Pape, le duc,de Pluskow, Mme la marquise de Béhan, etc., etc. Plus nourrissante que la viande, «fie rend la santé et économise 5o fois son prix en médecine En boîtes i^4 kil., 2 fr. a5; 1 ki|., 7 fr.; n kil. 60 fr. Du Barry et O, 12, rue (le l'Empereur, Bruxelles. 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Gebruikt zooder pacht door Francis D'huysser, Laurentius Foor en Benedictus Hardeman. LOKER, by den Montebergmolen. Tweeden Koof. Eene partie LAND met wat BOSCH en een HUIS ten dienste van twee Woonsten daerop getitnmerd, inbondeode 67 areu 47 centiaren bekend op bel kadaster sectie B, Dummer 4 17aaenpaleode van oosten aen de straet geoaemd Montebergstraetvan zoiden aen Mr Clarisse Beghin, van westen den volgenden koop op paelsteenen en van noorden aea denzelven beer Clarisse-Begbio en met eeoen hoek aen een straetje of wageoweg. Gebroikt zooder pacbtte weten eeoe woonste met 20 aren land door Charles L ambrede an- dere woonste met wat land door de weduwe Bec- kaert eo 20 aren land door Bernard Decrocg. Derden Koop. Eene partie ZAEILAND met Zandpolten, vootdezen bosch, inhoudende 87 aren i3 centiaren, 00k bekend op 'l kadaster sectie B, nuntmer 417apalende vau oosten aen deu voorgaenden koop, op paels'eeoen, »ao zuiden aen gemelde straet en M' Clarisse-Beghinvan westen eeoe dreve en daerover aen Jufvronw Melaoie Vermeersch en den beer Dambre-Tbevelin, op paelsteenen en vaD noorden aen M'Clarisse-Beghin. De Zandhoopen zyn gereservéerd. Handslag met den pverslag, ter uitzoodering van een parceelken gebruikt door de wednwe Bechaert. De hoopen a ep 5 zullen afzunder/yh en in masse aengeboden worden. VOORMEZEELE En vierden Koop. Eene partie ZAEI LAND, voordezen bosch groot by tilel 44 aren 10 centiaren en «olgens kadaster sectie A, nommer 563a, 36 aren 4o centiaren; palende van oosten en noorden aen Mr den Baron de Joigny de Pa- mele, van zuiden aen sienr Leuridan-Dehem te Kemmei, de dreve leidende naer de Kriekstraet daer tusseben, van westeu aen Mm* de weduwe Vaohootte eo nog van noorden aen M' Visart- Demao te S1 Kruys. Gebruikt door Léonardus Vervisch.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3