HOVENIERHOVEN, \\\.\m. 1ËËRSGHEN EN BOSSCHEN, S Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm,; L. Kiudl- De Ghryne, pharm C. Vauder Espt, pharm. Dixmude. Claus-Vaudenbussche. Alenin. Veuve H. Van Ackerepharm. Aieuport. L. Lefevre,pharm.; Vanbacctel-Fooquaur, pbarnp. Ostende. F. Kockeupoo, pharm., rue Louise, 9; Hayw.rd, nég1, rue de la Chapelle, 68 veuve Pnilips, négociante, place Saint Joseph. Roulera. F. Amrye, pharm.; H. Boutens-Degherst, pharm. Thielt J. Buyssens-Bylpliarmacien. Thourout. L. Coruille-Parmeuliernégociant; J. Van de Caaleele, imprimeur. i - OPENBAKE VERKOOPING bebooreude bel Bureel van VVeldadigheid der gemeenie Langemarek, ep gelegen le BiJkscbote, Siadeo, WesiroosebekePas- schendaele eo Langemarck; Ingebruikireding 1" October 1870. Afzonderlijk ingesteld 132,925 franks. OVERSLAG, DONDERDAG 19" M El 1870, ora 9 ure des voormiddags, le Lan gemarck, in bel Gemeenlehuis. là 3 a m Sum n ec M N 5 a» a r.- ej .i 3 aT S O tS Z, a. s •- - E s s s- 3 été QJ ~V 2 S w -B "S a a - J a e tl t 8-a.5 .5 2 - Z - - ai s 11-1"= :"e Is s- 2 t-o «:=S-E t-S-1. jx l 8 a°|ï m~ «j£L-*3ei) bcS-3 to 93 3 'eu 2 t S 2 te M S a. a ts g -:w V co -y-î* -c Zi M tc-rs y J, v Z s 93 mes tr. w il*is !5 H lisH O c. c te 5 a W le doigt de la Providence dans la manière dont a avorté cene odieuse tentative. Fusseot-ils restés ciuq minutes de plus dans la salle 1» manger, qui peut dire si seul des convives eût échappé eo désastre! FRANCE* Paris, 4 nsf. Le Constitutionnel dit qu'à Angers, 1) Seclio (Nord), Hombonne, (Hante Marne), h Tbaou (Haot Rhin), les rénnioos snliplébiscitairgs n'ont pu coutioiier; elles ont été dissoutes par la popo-, lalion qui criait: Vive l'Empereur I A bas. la république! a Saiiit-Qofhtih, 3 mai. Le calme est complet.. Uo revue de la garde nationale a eu lieu. Marseille, 3 mai, au soir. La proclamation du comité républicain socialiste aux troupes relativement au vote a été saisie. Plusiears membres do comité oot été arrêtés, Des perquisitions domiciliaires oot été faites chez les autres. Paris, 3 mai. Le Journal officiels publié dans ses deux édi tions la note suivaote, qui est la confirmation offi cielle de faits déjà cotions On connaît aujourd'hui l'atelier où ont été' fondues les bombes saisies chez le sieur Roossel. a A la voe du dessein de FigaroM. Lepet, foodeor, rue Saiot-Maor, 38, a reconou ce qu'il avait fabriqoé lui-même quelques joursaoparavaot. Il a fait aossitêt au commissaire de police de son quartier nue déclaration dont voici la substaoce Le i4 avril dernier, uo individu, qui a dit se nommer Renard, et doot le signalemeut parait se rapporter b Roossel, est veoo donner le modèle des bombes. Ce sont dit-il, des, modèles pour des moyeux de vélocipèdes. Je les,ai,inventés, et je compte faire ainsi ma fnrtiine,eo Amérique. Fait, tes-eo foudre 120; après cela vpos continuité! sans vous arrêter, il eu faut une grande quantité. Renard a refusé de douoer sou adresse. Il est venu sept foisb l'usine, soit pour faire la commande soit pour prendre livraison. a La grève ayant suspendn les travaux, M. Le pet n'avait pu ljvrçt qoç vingt-deog bombes, sa voir trois le 16 avril quinze le. 17, e^qt^alre.le 19 sans cette, grfcve, quatre cents bo^bps au, moins eosseql été fabriquées. n II parait qu'on de ces modèles a servi b une expérience faite dans les environs de Paris, et dont les effets foodroyants oot vivement satisfait les conjurés. Les.vjogt et .nue autres oot été saisies an domicile de Roussel. Ou lit dans \e Journal officiel La tactiqae do parti révolutionnaire est .con nue. Elle consiste,bincriiçiaer mus les actes,do gouvernement. Ce parti tente t-il une émepte c'est la police qui l'a provoqoée. Organise-1 il nu complot c'est le gouveroemeot qui l'a inventé. Un homme.a été arrêté au moment où il ebercbait l'occasion d'assassiner l'Empereur, il avooe sou projet criminel une certaine presse n'en persiste pas moins b nier l'attentat. On trouve des bombes; c'est la police qui les a fabriquées. Mais celui qui lésa foodues se découvre et donne des renseigne ments précis. Cela convaincra-1-il les incrédules? Non parce qu'ils sont incrédules volontairement. Le devoir dn gouvernement est de prémunir le public contre toutes les manœovres électorales. L'instruction se ponrsoit avec activité, et comme le nouvel atieotat n'est que la soite do complot de février, dont l'instruction est complètement termi née, l'opinion pnblique ne tardera pas b être saisie de tons les élémeots d'appréciation. ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY. Douleurs Rhumatismales et Tic-Deuloureux. Ces maladies dominent malheureusement beaucoup dans oe pays et elles sont fré quemment des plus désolantes elles ontquelque fois, depuis des années, défié la scieuce médicale de soulager leurs victimes. Dans aucun cas. les Médecines Holloway n'ont mauqué d'obtenir la guérisou. [,'Ungnent exerce une influaoce particulière et salutaire sur les ueîfset les muscles; relâche les spasmes et réduit la douleur, Les attaques devien nent bientôt plus modéiées et les intervalles de paroxysme, plus longsjusqu'à oe qu'ils cessent tout tait. Les Pilules restaurent le oorps la force et la santéde faible et débile qu'il était. Des personnes alitées depuis des mois, parsuite de douleurs rhumatismales, ou d'enilûres, après avoir employé eet Onguentont été guéries daus un espace de temps in croyablement court. Les misères, dangers et désappointements quejusqu'ici les malades ont éprouvés par les drogues nauséabondes, se trouvent ptéseut remplacés par la oertilude d'une radicale et prompte guétùou moyennant la délioi'use Re»a|enta Arabica de Ia>udie8, qui rend la parfaite santé aux organes de diges- tiou, aux uetfs, poumons, foie i-t membrane muqueuse, aux plus épuisés même, guérissant les mauvaises digestions ,dys- p. psi. s gastrites, gastralgies, coustipatious habituelles hémorroïdes, glaires,vents, palpitations, diarrhée, gonflement, étuurdissemeut, bourdonnement daus les oreilles, acidité, pituite, nausées et vomissements douleurs, aigreurs, cram pes et spasmes d'eslumac, insomnies, fluxion de poitrine, chlorose, tiueur blanche, toux, oppre sion, asthme, bronchite, pbtbi.ie (consomption dartres, é.nptions, mélancoliedé périssement rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes, oppres sion, étoufTement, hystérie," névralgie, vice du saug, bydro- pisie manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. i. Cur. N" 53, 84 JtJMfT, prqs CharlerQi, 9 mai, t863. Messieurs Barry, Du Barry et O, votre précieuse Revalruta vient de faire sou entrée triomphante dans notre.omumune. par la guérisou de ma fqmme^ujet.le dasqujj'r^ceseUfles vomissements coutiuuels U est mutile de vous eiiuiiyer de longs détails sur sa maladie et sur les maux qui, depuis 4 «us, la tourmeutaieut sans trêve. Lufiu un Wave iqédeciu de nos environs Jui conseilla de, faire usage dq votre faiiqe fclle commença s'eu servir le 19 avril dernier, et ctqàau grand éloiinement de plusieurs personnes, les von\isSî:m«nls ont cessé l'affection des yeux ainsi que celle'des jambes oui dis paru le sommeil est redevenu paisible les douleurs du oœur, de restoinac et.des reins cèdeut insensiblement et sont déjà, presque nulles. Messieurs, je ne suis qu'un ouvrier, mais je suis résolu attester devaut tout le mod^e les immenses services que la Revaleuta rendus ma femme, et conseiller l'usage de cette farine toute personne souffrante, AgreezE,-J. Dgrt. Plus noarfassaqfe, q^e la viande elle rend la santé et économisé 5o fois son prix en médecine. En boites; i/q kil., 2 fr. a5; 1 kil., 7 fr. 12 kil. 60 fr. Du Barry et C*1, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Appétit, digestion, sommeil et énergie rendus par la Re valeuta Chocolatée aux persounes, et aux enfants'jes plus faibles, elle nourrit trois fois plus que la via'ude et rend les"' chair^fyjpes EUjtablettes pour 6 tasser, 1 fa, 25; pour( environ, 10 c. la tassç.. - Du Bgrr^t C*, 19, rue d^ l'Em pereur, Bruxelles. Dépôt y près, chez MM. C. BzcùirE, pharmacien, rue du Verger; Farsuo, ph.rm rue de Dixmude; G. Vers, pharm.', rue de Lille; El Mabieu, pâtissier, rue au Beurre. itoor- slede, chez Cb. Bosti», boulanger. Poperinghechez M. A. Haelevttcx, pharmacien, Bruges. Veuye De Gravç, dr.og., rue Eeckhout, a; F. Vaq- deuplds, drog., rue dea Pieriei, 9; S. Veys-Delcampe, pharm rue Nord du Sablou, 4< V. Veyr-Frysou, pharm., rue Saint- Jacques, ai P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Slaen- daçrt, pharm., rue dea Pierres, 39; L. Algnet-Disperayu, nég', rue Noire-Dame, 33; De Hondl-Gazet, nég>,.rue dea Pierres, u Moere- Grand*- 1 Sablou. al- F«W«. j. Dobhelaere, pharm.; E. Duc(os, pharm Ver- poorle-Taveroiernégociant. ÉTAT-CIVIL CYPRES, Du là Avril au Mal Inclus. NAISSANCES 9. Sexe masculin 2, idem féminin 7. MARIAGES. Eeckhout, Ué.iré, jardinier, et Devos, Julie, couturière. Vandeubriele, Henri, journalier, et HesselMariedomestique DÉCÈS. Faohe, Joseph, 66 ans, eabaretier, époux de Planquel, Virginie, rue de Boesinghe. Salou Adolphe, 44 ans, poëlier, célibataire, rue de Lille. Hof, Maiie, 37 ans, dentellière, épouse de Debr.uyue. Joseph, rue de Mrniu. ENFAN,Ti^AU-UESSODSDE7 ANS4 —Sexe masculin 1idem fémiuin 3. ypres, 7 mai .870. ÉTAT Indiquant les quantités et le prix «iiojch des Grains, Foerrages et autres produits agri coles vendus nu marché de cette ville j nature QUANTITÉS PRIX DÇ8 VENDUES. M«VRh S - 1 t par 100 <Tj JE. 1 a Grain* cl Denrée*. Kilogrammes. kilogrammes. - Froj^epl, 24,100 24 25 80 bétglc. 9-3oo 19 5o 73 i Avoioe 8oo 22 00 44 i P ois l.OOO 23 OO 80 Féveroles. i,5oo 24 25 80 i Pommes de terre 4,8oo 9 75 i B»urre 370 OO Paio de farine de romeot broie 24 c* le kilo. Idem pour les fondations de 3o c', 1 ,a5o gr. KANTOREN VAN DE NOTARISSEN ELLiEBOLDT EN DE TAVERN1ER, VAN 29 hectaren 57 aren 75 cn BEBOEWDE GKONDEN, Verdeeld in 84 loten. X o. c a "c ai a SE ai as as H en es cd PS a B _J V) lAl es O H M O E U ss *3? es 0 a 0 es Bd s oa S— es Rd e* tu w -e 9 s Si Ed W 9 ■h a Cm IO es c co s -c 2° S'i b a. s s ss rs «.c. u tt,c i "CO O S.-g -J J a. jz a "i - f-'" t Z -S-.I S a-S-2 1 B Z 9. t. £...«.5=1. S" s. tX w V QB - a e a S ôji •- c N Il a? B m-S bo I S I es es V 1=3-2 ■c u S 3 en C i •5^-c S ■o - - i i c 5 a a "T". r- ai .Z* bx - a-a a e 2 s c ».2 -o 2 -a o 3 S a» tï e i 3 2 îr en S d o O g -a^.S a BBa"se jr a g a JL w o J g ri 8- c - S - - «S-f .2 a t 9S«ï'' a^-ï- •a si-o,, Îrîî J- 8 WB te cr Q fc£» C Siî-cj! O g 3.2 .S i» cruo-t3u_= 2 fcrt ex x Q j 2 a t a 3 «3 ss o c m ox c -3 o o. d c k a 0) - »s zil a a S «xO Sjî -3 m w CO es ..S t gl-ï g S" x C Ji 90 es - o. Sa. ii» h Qsrteï.^ X A U •'X-, Ot* u "-5 «i 8 Jï - •«SflSS® - •fi 5£B-? S S-t ®^a C °'Z aj 3s et w SqS M Q V 3- m g t 2 O w t s s -S-1.2^ i. *- •- ax x 3" jj eu a» f-S u - -v? S e 5 S Jj 2-tHaoï1*® w P S -2 "B-= b 5 S e«. m r s - - O JÏ 9} o -C H bC-* ec— O bo? br cû er -© -e g *5 z s O Us - t5 5:; 8.- 1 c m» 93 c. e o W 3 C fl rlï OU-J g S J I s a i- a u h c 0 c S m E'r B w Z 'r U I S w e mJ SS a - az 5 t f 3 W C ©-f Ifs"- i'rS u u B f> U e K e h b e h -, H SS H u: cn u a a. p w 2 <- a s te s

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Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3