3
4 i* 2
La Correspondance de Berlin dit dans son
numéro du 10 août
Hier la Prusse a signé avec i'Aogle-
terre le traité pour l'observation de la
neutralité belge. Le gouveruement anglais
a exprimé au cabinet de Berlin ses renier»
cîmeuts pour l'empressement et le bon
vouloir avec lesquels il s'est déclaré prêt
garantir l'intégrité de la Belgique.
Le triomphe du mérite et de Cintelligence.
3= .2
U -tt
SI
d
os
•a a
a*
O
K
M
H
S-£ 3" a
Mgr. le comte de Cbarobord met la disposition
de la Société de secours a ni blessés les vastes
salles du châieau dooi il s adopté le nom sor la
terre d exil. C'est une noble résolution que de
transformer géoéieusemeot en ambulance française
ce royal édifice que le prioce tient de la France.
Il n'y aura qu'une voix pour en féliciter le petit»
fils de Henri IV. [Figaro.)
Une religieuse qui doooait des secours k on
cotrassier blessé a eu les deux jambes coupées par
uu boulet.
Pendant la bataille de Woenh, ou officier de
cuirassiers a eu la iêie emportée par on boulet. Le
corps n'est pas immédiatement tombé k terre, et
on a eu l'horrible spectacle de ce cadavre décapité
se maiuteuaut che«al sur un parcours d'etmrou
cent métrés et paraissant encote charger l'ennemi.
PRUSSE.
Il y a environ trente ans, le genre bomaio était
obiigédeieconteoier d'un traitement dur, incertain
et souvent illusoire, pour se guérir, ou tâcher de
jonir d'une robuste sauté; mais il élan impossible
d'atteindrel'uoeoul'aulre. Dans ceriaïues contrées,
telles, par exemple, que les côies d'Afrique, les
Indes Orieuiales et Occidentales, les parues maré
cageuses de l'Amérique et les régioos glaciales du
Canada la science médicale ne savait alors quel
remède il fallait administrer, pour fortifier la con-
stiiutioo, dans quelque circonstance que ce fui, ou
suivant la maladie doot elle était atteiote. Ce fot
alors que se présenta le Professeur Holloway, avec
ses simples, mais admirables remèdes, dout les soc»
cès complets et ooiformes fureot immédiatement
appréciés par les Anglais de toutes les classes et
conditions de la société les expériences qui eo
furent faites k l'élranger confirmèrent rapidement
le verdict du public anglais. En tout temps, de tels
résultais ont dû attirer l'envie de la profession;
principalement parce qoe le professeur Holloway
s'appliqua tout d'abord sopprimer la plupart des
maladies auxquelles le corps humain est sujet. H
fut combattu en raison même de ses succès. Pen-
daot qu'il recevait les béuédiclioos de ceux qu'il
avait sauvés et qui étaieoi tout disposés k attester
la bonne composition et l'efficacité de ses remèdes,
il était déooocé par les autres comme oo ennemi
commuadigne d'être lapidé plaisir. Personne,
du reste, o'élait capable de supporter ces attaques,
aussi bien que le professeur Holloway, sooienu
comme il l'avait toujours été, par la booue opinion
de la majorité du public pour ses remèdes, avec
lesquels il avait triomphé de tootes sortes de ma
ladies, dans tous les pays du monde. Vainement, la
jalousie de profession et la sotte prévention oot
voulu critiquer sa méthode et ses succès la voix
universelle et la gratitode do geore humain sont
pins paissants que l'intérêt personnel et cette voix
est en parfait accord sur le mérite de ces bien esti
més remèdes. Nulle part, cependant, la réputation
du professeur Holloway n'est mieux établie, qoe
daos les Iudes Orientales et Occidentales. Allez où
vous voudrez dans uos possessions étrangères et
daos toutes les familles, vous entendrez des looao-
ges sur l'efficacité des Pilules et Oogoeot Holloway.
Les fièvres intermittentes oo billieuses les affec
tions glanduleuses on cutanées, en no mot, toutes
les maladies particulières k ces pays, sont précisé
ment celles pour lesquelles les Médicaments Hollo
way sont si salutaires, alors que tous les aotres sont
sans résnltat. Aocuo remède n'est plus merveilleox
qoe les Médecines Holloway qui sont dfevenoes le
vaste eotrepôt du marché médical daos le moade
entier, et aussi indispensables que la nourriture
dans chaque famille. A quoi pourrait-on attribuer
une telle popularité, si ce u'était b l'efficacité de
ces infaillibles remèdes et k Itur supériorité recon
nue sor les divers aotres qui ant été employés jus
que l'a pour guérir les soufrauces humaines.
Unily Telegraph.
Le problème de se guérir saus uédicameut a été parfaite
ment résolu par i'mportaute découverte de la Revaleirla
Arabica, qui économise So fois son prix en d'autres remèdes.
Elle reud la parfaite sauté aux ,rganes de digestion, aux
nerfs, poumous, foie et membrine muqueuse, aux plus
épuisés même, guérissant les mauvaises digestious (dyspepsie),
gastrites, gastralgies, ooustipatioa habituelle, hémorroïdes,
glaires, veuts, palpitations, diarrhée, gonflement, élourdisse-
ment, bourdonnement daus les oreilles, acidité, pituite,
uausées et vomissements, douletrsaigreurs, crampes et
spasmes d'estomac; insomnies, taux, oppressions, asthme,
ilusiou de poitriue, bronchites, péthisic (consomption)dar
tres, éruptions, mélaucolie, dépérissement rhumatisme,
goutte, fievre, catarrhes, hystérie, uévralgie, vice du sang,
chlorose, fiueur blauclre, hémorrlroideshydropisie, manque
de fraîcheur et d'énergie uerveusf. Voici uu petitVxlrait de
72,000 guérïsous parfaites 6.
Certificat N° 56,g35.
Barr (Bas-Rhin), 4 Juin 1861.
Monsieur, La Revaleuta a agisur mol merveilleusement;
mes forces reviennent et une nouvelle vie m'auime comme
celle de la jeunesse. Mon appétit, qui, pendant plusieurs an
nées, a été nulest revenu admirablement, et la pression et le
serremeul de ma tête, qui, depuis quarante ans, s'étaient fixés
l'état chronique, ne me tourœeutent plus.
DAVID RUFF, propriétaire.
Plus nourrissante que la viaude, elle rend la santé t'
économise 5o fois son prix en médecine. En boites i|4 kit.»
•1 fr. a5 1 kil., 7 fr. 12 kil.60 fr. Du Barry et Ce, 11,
rue de l'Empereur, Bruxelles.
Appétitdigestion sommeil et énergie rendus par la Re
valeuta Chocolatée aux personne?, et aux eufauts les plus
faibles, elle nourrit trois fois plus que la viande et reod les
chairs fermes. En tablettes pour 6 tasses, 1 fr. a5; pour
Ht., a fr. a5 24 t. 4 fr En boites en poudre de 12 tasses,
2 fr a5; 48 t., 7 fr.; t2o t16 fr.; de 576 tasses, 60 fr ou
cnvirou 10 c. la tasse. Du Barry et C*, 12, rue de l'Em
pereur, Bruxelles.
Dépôt Ypres, chei MM. C. Brcuwe, pharmacien, roc du
Verger; Farsou, pharm rue de DixtnuSe; G. Verspbarm.,
rue de laite; H Mahieu, pâtissier, rue au Beurre. Moot-
slede, chez Ch. Bosttfboulanger. Poperinghechez M.
A. Haelewtcx, pharmacien.
Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckboot, 2; F. Van-
dcnplas, drog., rue dea Pierres, g; S. Veys-Delcampe, pharm.,
rue Nord dn Sablon, 41 V. Veys-Frysou, pharm., rue Saint-
Jacques, 21; P. Daels, pharm., rue Flamande, ig; H Staen-
daert, pharm., rue des Pierres, 2g; L. Algoet-Dispersyn, nég',
roe Notre-Dame, 33; De Houdt-Gazet, né»', rue des Pierre,
10, Vau Speybroeck, uég', rue Philipstock1 Vao Moere-
Vau Moere, uég', Graud'place, gz J. Willaert, nég', Grand'-
place, 62; A Delplace, imprimeur, rue Nord do Sablon, 24.
Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm.; L. Kiudl-
De Ghryne, pharm C. Vauder Espt, pharm.
Dixmude. Claus-Vandenbussche.
Furnec. J. Dobbetaere, pharm.; E. Duclos, pharm.; Ver-
poorte-Taverniernégociant.
.Venin. Veuve H. Van Ackere, pbarm.
h'ieuport. L. Lefevre, pharm.; Vanbaeckel-Focqusur, pharm.
Ostende. F. Kockenpoo, pharm., rue Louise, g; Hayward,
nég', rue de la Chapelle, 68; veuve Philips, négociante, place
Saiut Joseph.
Roulers. F. Ameye, pharm.; H. Boulens-Degheest, pharm
Thielt J. Buyssens-Bylpharmacien.
Thourout. L. Cornille-Parmentier, négociant; J. Van de
Casteeie, imprimeur.
ONGUENT ET PILULES D'HOLLOWA Y. Soulage
ment pour chaque Mal. Cet Ougueut doune le moyeu le
plus rapide, le plus sûr, et le plus aisé pour recouvrer la sauté
dans toute espèce de maladies de peau, afiVctious scrofuleuses,
maladies scorbutiques, ulcérations, éruptions et iufiauimatious.
Il u'y a rien de nuisible dans la composition de l'Onguent
Hollovray; au contraire, ses Médecines possèdent les qualités
les plus douces, les plus dépuralives et fortifiantes. La peau
délicate des enfants u'est pas affectée par l'application de cet
Onguent, qui, conséquemmenl, convient admirablement la
jeunesse et guérit les ulcéiatious chagrinantes qui attaquent la
vieillesse. Dans toute aifectiorr constitutionnelle chronique on
complexe, les Pilules d'Holloway doivent être pnsis pendaut
l'usage de l'Ongueul, afin que toute matière nuisible n)it ex -
puisée du corps.
ETAT-CIVIL IPYPRES,
i»u a i 19 oût Inclus.
NAISSANCES G. Sexe masculin 3, idem féminin 3
MARIAGES. Philippart Théodore, journalier, rt
Dauch) y Marie, dentellière. Decool, Jules, boulangere
LombaertPaulin* sans piofessiou.
DÉCÈS. Thouon, Pierre, ii aus, s us profession, céti-
hataire, rue Close. WarlopJean, ^3 ans, journalier,
époux de Marie Obyn, rue de Meziiu. Deuys, MarieS a
aus, religieuse, rue S1 Jacques
ENFANTS AU-DESSOUS DE7 ANS 10. Sexe masculin
5, idem féminin 5.
g""*1——f gg»
YPRES, 20 AOUT 1870.
ÉTAT Indiquant le. quantité, et le prix moyeu
des Grala., fourrages et autre, produit, agri-
e.lea vendu, au uorckè de cette vtttc
NATURE
DES
Gralnii et Dearées.
QUANTITÉS
VENDUES.
Kilogrammes.
PRIX
MSTKS
par l(J(!
Lilogramiti?,.
5 i
1
Ji m
a 1
l -s
Froment
21.800
29 25
80
8.900
19 00
rj
7a l
1 Avoine
2.700
31 OO
44 1
600
24 -5o
80
Féveroles.
200
26 00
3o
Pommes de terre
a,5oo
6 00
Beorre
33o 00
Pain de farine de froment brtue 29 c' le kilo.
Idem pour les fondations de 5o e*1 ,o5o gr.
aï
Z
s -s
S
H S
U3
US S
C/5 S
S 2
V.
g
M M
a
O
52
cd
c
es
O
b9
C
tu
ta
G0
3
os
W
•w
h
us
m
2"
O
r O -
•5 W OO
S" «.E 2
O en 22
.c 3 a
v. co
S ©aï J*
CL S "r:
3 X rN*
m es QJ
^2 C I-
t» o
S"53 2 t» 22
-
3 5*3
--3
w u. •- cC X,
O ta es
2un
en w
"5 2'". ce
- 2 O
00 o Ci
5 rr-
2 o ce
â'i 2 3
C3 5 w
c/) o w
!r s- -Ni
mm CU ÇJ *±4
•Z 2
Z!r c
S 03 r°
VJ SJ «i-
S - M a t
- 5 5'J£S -
a u S h
s a
-3 c2:<-
vccj> a
C -S t.
S? V -?'S
.5 e «r -r r x
es -
§-00^ 2
B 5 o - so
-3
- T.
■ÔÏÏ;ss
a «E ce
J m 2 U
i* - t a,
-iï;-a 2
S S 'S g
m A es •-
S s
S =ia
8 c c m
S II 8 s.
S ia »!C Sr