lî 3 - AUTRICHE. ITALIE. R. Cadorna. ÉTAT-PONTIFICAL. ANGLETERRE. il U S IL VERKOOPING BT RECHT MACIIT. Op ZiOndag 2en Octobee es 2 m SB S 5 si 3 e v a g» Hier matin (18), le commandant Fraochetti avait reçu du général Trocbu l'ordre de fàire une reconnaissance du côté de Crêteil, où l'ennemi était signalé. L'escadron des éclaireurs a cheval s'est dirigé de bonne.henre vers Maisons- Alfort et s'est mis la disposition du commandant du fort. Dirigé vers le carefour de Pompadoor (i.5oo mètres de Cboisy-le Roi), en longeant la route de Villeoeove-Saint-Georges, l'avaol-garde des éclai- reors a rencontré les hussards bleus de la garde royale. Après une charge tris-brillante et on com bat corps corps, l'enoemi a été dispersé. Les éclaireurs se sont repliés sur le fort après avoir ramassé les armes prussiennes que les ennemis avaient abandonnées sM le champ do combat. L'ennemi a perdu sept bommes. Un détachement d'artillerie pied était venn de Maison-Alfort protéger la reconnaissance des éclaireurs cheval: Un des artilleors a reçu h la tête ooe balle, seul homme touché par un décharge de l'infanterie prussienne, qui, cachée dans le talos du chemin de fer, veoail secourir la cavalerie en nemie. Les éclaireurs cheval ont eu trois cbevaox tués. A quatre heures, les troupes engagées dans ce combat d'avant-postes s'étaieot repliées sur le fort de Maisons-Alfortet les eoloooes prussiennes s'avançaient en colonnes serrées. L'escadron des éclaireurs il cheval, rentré Paris par les boulevards, ses blessés en tête, a été acclamé par la foule. Viennp, 20 septembre. La Correspondance autrichienne dit Après la fin de la guerre, l'empereur du Brésil fera pro bablement on voyage en Europe, et séjournera quelque temps Vienne. Au moment de passer la frontière pontificale, le commaodaot des troopes royales, général Cadorna, a publié la proclamation suivante Italiens des provinces romaines. Le roi d'Italie m'a confié une haute mission il vous est réservé d'en être les plus efficaces coopé- rateors. L'armée italienne, symbole et preuve de la concorde et de l'unité natiooale, vient parmi vous, animée de sentiments fraternels, pour sauvegarder la sécurité de l'Italie et vos libertés. Vous saurez prouver h l'Europe que l'exercice de tous vos droits peut s'allier ao respect, i la di- goité et b l'autorité spirituelle du suprême Pontife. L'indépendance do Saint-Siège sera inviolable au milieu des litftrtés civiles, mieux qu'elle ne l'a jamais été sous la protection des interventions étrangères. Nous ne venons pas porter la guerre, mais la paix et l'ordre vrai. Je ne dois pas intervenir dans le gouverne ment et dans les administrations; vons y pourvoirez vous- mêmes. Ma tâche se borne b maintenir l'ordre et b défendre l'inviolabilité dn sol de notre patrie commune. Terni, le 11 septembre 1870. Le lieuleuant-géitéral commandant le Ier corps d'armée, Rome, ao septembre. Les troupes italiennes sont entrées b Rome après quatre heures de combat. Par ordre du Pape, les troopes pontificales ont cessé le fen et ont arboré le drapeau blanc. Florebcb, aa septembre. Par suite de désordres dans la cité Léonine cau sés par la population contre'des gendarmes ponti ficaux, le Pape a demandé au général Cadorna d'eovoyer des troopes pour maintenir l'ordre. Cadorna y a consenti; L'Association formée en Angleterre pour le soulagemeot des malades et des blessés par suite de la guerre a reçu des souscriptions la somme respectable de 162,755 liv. (4 millions 68,000 francs). ONGUENT ET PILULES D'HOLLOWaY. - D.n* beaucoup de maladiea externes, quapd le secours du meilleur chirurgien avait été appelé: et que le taleul le plus profoud avait échoué obteuir une guét isou, les remarquables remèdes découverts par le Professeur llolloway ont atteiut ce bat désiré. A chaque géuération, il se rencontre des bommes qui aban donnent les sentiers battus et parviennent trouver une route plus aisée et plus courte. Tel fut Holluway quand il essaya ses remèdes alors nouveaux et qu'il vit les ulcères les plus profonds, les inflammatiou* les plus intenses céder son Onguent et ses Pilules. L'une et l'autre de ces préparations amolissentgué rissent 9 et purifient 1 nue assiste l'autre matériellement en effectuant les cures, eu renouvelant la force, et en donnant la nature épuisé, juste ce dont elle a le plus besoin. Santé tous par la douce Revaleuta Arabicadélioieux aliment réparateur qui a opéré 72,000 guérisons sans médecine et sans purges. Elle économise cinquante fois son prix en d'autres remèdes, rendant la parfaite santé des organes de digestion, des neifs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, dans les mauvaises ou laborieuses digestions, (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habituelles hémon hoïdes, glaires, vents, palpitations, diar rhée, gonflement, étourdissemeut, bourdonnement aux oreil les, acidité, pituite, nausées et vomissements même en grossesse, douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac, insomnies, toux, oppression, asthme, bronchite, phthisie (con somption), dartres, érupiioos, mélancolie, dépérissement, rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes, hystérie, névralgie, vice du sang, hydropis e, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. 72,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, Mm la marquise de Bréhao, etc., elc. 4* Couillet (Haiuaut) novembre 865: Si je n'avais pas fait usage de la Revalenla, qui m'avait été prescrite par les médecins, je n'existerai plus maintenant. J. John en Gcissb. Plus nourrissante que la viande, elle rend la santé et économise 5o fois son prix en médecine. En boites i|4 kil., 2 fr. 25 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. L)u Barry et Ce, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Appétitdigestionsommeil et énergie rendus par la Re valeuta Chocolatée aux personues, et aux enfants les plus faibles, elle nourrit trois fois plus que la viaude et rend les chairs fermes. En tablettes pour 6 tasses, 1 fr. 25; pour 12 t., 2 fr. j5 24 t. 4 fr. ÇJn boîtes en poudre de 12 tasses, 2 fr. t5; 48 t., 7 fr.; 120 t., 16 fr.; de 576 tasses, 60 fr. ou 1» »?«'.- r>- i>q- -1 n- a- ce pereur, Bruxelles. Dépôt Ypreschez MM. C. Beccwe, pharmacien, rue du Verger; Frysou, pharm rue de Dixmude;G. Veys, pbarm., rue de Lille; H. Mahieu, pâtissier, rue au Beurre. Moor- sledechez Ch. Bostyk, boulanger. Poperinghechez M. A. Haelp.wycx, pharmacien. Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckhout, 2; F. Van- deuplas, drog., rue des Pierres, 9; Veys-Delcampé, pharm., rue Nord dn Sablon, 4' V. Vcys-Frysou, pharm., rue Saint- Jacques, 21; P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Slaen- daert, pharm., rue des Pierres, 29; L. Algoet-Dispersyn, nég1, rue Noire-Dame, 33; De Hondt-Gazet, nég*, rue des Pierres, 10, Vau Speybroeck, nég1, rue Philipstock Vao Moere- Van Moere, nég*, Graud'place, 92 J. Wi llaert, nég1, Grand', place, 62; A Delplace, imprimeur, rue Nord du Sablon, 2$. Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm.; L. Kindt- De Ghryne, pharm C. Vander Espt, pharm. Dixmude. Claus-Vandenbussche. Furnes. J. Dobbelaere, pharm.; E. Duclos, pharm Ver- poorte-Taverniernégociant. MeninVeuve H. Van Ackere, pharm. A'ieuport. L. Lefevre,pharm.Vanbaeckel-Focqusur, phann» Ostende. F. Kockeupoo, pharm., rue Louise, 9; HayWdid, nég1, rue de U Chapelle, 68; veuve Philips, négociante, place Saint Joseph. Roulèrs. F. Ameye,pharm.; H:. Bouteus-Degherst, pharm. Thielt J. Buysseus-Bylpharmacien. Thourout. L. Gornille-Parmeutiernégociant; J. Vau Casteele, imprimeur. ÉTAT-CIVIL D'ÏPRKS, Du H au tS Septembre Inclus. NAISSANCES 16. Sexe masculin 8, idem fémiuiu 8 DÉCÈS C.1 r yBernard, 63 ans, colonel pensionné, époux d'Élisa Ramas di Castella, rue d'EIrerdinghe. Hullaert, Marie; îq aos< dentellièrecélibataire, S'-Nicolas- lex-Ypres. Debollandfer, Léouie,uo ans, dentellière, cé.ib.- tair-e, Marché au Boia.Vantboll, Gustave, aus, boulan ger, célibataire, rue ait Beurre. De Jonghe,. Hierre, 3o aus, journalier, célibataire, rue de Menin. Soenen, Théodore, 39 ans, peintre, époux de Catherine Kaekel, rue du Plat. ENfiANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 7. Sexe masculin 4, idem féminin 3: YPRES, 24 SEPTEMBRE 1870. ZTâT Indiquant le. quantité, et te prix moyen des Gralaa, Haurr.ug.es et autres produits agri coles vendus,au m/rrhe de cette ville i NATURE QUANTITÉS l'RIX g: w i .3 DOS VENDUES. vi0 v Km S S «5 y par 100 V) a- Grains et Ueurées. Kilogrammes. kilogrammes. s - 80 Froment 61,000 28 00 Seigle.. 8,100 19 5o 75 3,ooo 20 00 44 Pois i,3oo 22 -00 80 Féveroles. 100 O O fi 80 1 Pommes dte terre 5,2oo 6 00 Beurre 310 00 Pain de farine de froment brnle 28 c® le kilo. Idem pour les fondations de 5o c®1,070 gr. 1870, 00a 9 ure 's morgens, zal er ten huize en op de landen gebruikt door sieur PETRUS SAMYN, koopman in konynen en winkelier, te Becelaere overgegaen worden toi de openbare Veiling met den gereeden gelde en zonder verhoog. van allerhande slacb van MELJBELEN, Huis- katheilen Menagie Goederen Winkel Gerief, 2 Geiten, Konynen, Hennen, droog Vlas, Hooi, Slroo, en meer andere Goede ren alsdan aan te bieden alsmede -40 aren Aardappelsen Groensels op siarn. Door het ambt van S.-la. S"?.A- Duurvvaarder te Yper. UJ a j K U <-k H UJ g en ux. £d M w S z e- Ut fà >a (/i Ut c O. *3 rim g S s s H S" fl 5 S *- aa -e p S <3 s St co k. C 3 C 3-T3 <u .5 a - 3 o u s 3 S 2 - v 9 6jd S.2= - S>3 -n a: S x o y I i-S a - S v S 0 -- .5? S 2 ^fs'ISIs- J s ^eo e-. o. 1 c «j* 3 -O 02 r 3 o V X te c fi j a tu j t- So-ïl - T. «a 3 o r «a. I a. S "O c G J.TS V - v S ^4 z - _r. .2 3 te s c te -^4 o c w S M .2- "3 S g gj, b a - o-= u C 4) Z 5 3 3 s y 2- oj 0 - _y a» u co i a o. 3 "a .x 3 -c 15 _s JÇ r» çj o 3 3 3 -r ïii S""0- B' 1 n 3 O fl O c 5 i?-* "a l "o -S 5 S G* tC V v M s» U M .■S-p 3 O 02 g'-5 s.s w -B -a 2-1 a- =isL- S s 00 9\® a •3 s te s s ce 3 w -a ÈD'O °a 2^1 -c c o S- a 2 - -E 3 «e m» r> 3 o S 2- b 3— B-= y S - '3 a.i= a i 5, w 3) te v 5 ce o u «e l s 5 5 ■- "J -= 3 u s a A 3 M - .53 0; o Si - s. r 3j - -r. 'y; S Z:?ZÎ a 81 - X u s-t- s- l s "Z z s - v i. S h ■H e t- 0» tr 6 x 9 r w x ^4 G - x s-2 s s i W us ce ix x r c i" *4 a s I B V U ns a S 3 w te Z x s-i x V - x- O a o - ffs: \?y-là 5 J i'S i) O- ce o> ^4 ^3 M- 2 "J S x. oo o? 3 t- 3 c-:=»r o> - tù-C V >- - '5 g -=2 - -3 -, _S- ce J? 2 x S s 3! *'^2 5 o h a âs-a ce a M BD« CD O- x X - u ®s 1 oj 3 - ï-x »4 S c s O 5 M .2 23 X - six ^—,5: E t- 5 r - *v r; .2 w cr"3 tr._^ - ce— •- -o'-y» i'-3 CD - t» 2 x 5 zr - c S a s'.5 v ii-o» -o s 3 S 3'ï 3 -3 o a: 3 c r as— r- 37 e-1 y 5-^x1 S EC ce y- 3 3 x "Si a «SE®: 3 - V B. 15 C__^ fi. M 1) as.? il: 5 B -o -O ce s1- o -e o i r te CC t - c ff» 3 t.» M Û- o W i 3 c s rz s S .-S S s u: S r® S -I t a - V t. i s S 4) 3 x - s c - t- a S - s .r w *r M a t. s -r fa: v - - a. a - X - -. g-i 7 3 ce X -c S «a c - 5.0 iî S l5 &'0 S -iî - a v - 73 t.ïï-= ■- V T' 3 -i/i -c - - «Sx fô - N 5-7? S H ci :r~ 1 y - S - - x ■- s e î'Sla J 54 :>rx f x Florence, 21 septembre. La Gazette ojjicielle anoouce que Rome a été occupée hier par un contingent de chaque division. Le reste de l'armée italienne reste CBmpé près de la ville. La garnison, qui a capitulé, sera envoyée h Ci v i ta - Vecchia les indigènes formeront les dé pôts et les étrangers seront reovoyés dans leur pays. On a constalé hier i3 cas de fièvre jaune. Londres, 22 septembre. Les pertes des Italiens la prise de Rome s'élè vent 8 morts et 25 blessés.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3