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d'artillerie ont traversé Ton» allant reoforcer
l'armée française.
Il y a on campement de Prussiens 'a Château-
Ëébic, entre Meony et Saint-Ay.
Les Prussiens ont traversé Baule le 16 courant,
après avoir fait saoter le viadoc de Beaugeocy« Ils
ont brûlé la maison dn maire de Baole. A Ville—
neove, ils ont fait le maire prisonnier.
Le 16 courant, les tentatives de reconnaissances
faites par les Prussiens vers Saint-Laurent-des-
Eaus ont été repoussés par les francs-tireurs.
De nonveanx excès viennent encore d'être com
mis par les révolutionnaires de Lyon.
Au grand sémiuaire, ils ont enlevé les malles des
élèves, décapités les statueset ouvert les tombes
d'anciens supérieurs, espérant y découvrir de l'ar-
geot. Et l'autorité continue de laisser faire.
D'après le dernier relevé que publie le Mo-
nileur prussienle nombre des prisooniers fran
çais non blessés, internés en Allemagne, depuis le
commencement de la campagne jusques et y com
pris la capitulation de Tonl et de Strasbourg
s'élève 123,700 soldats et 3,577 °ffic'er*. Le
nombre de canons de bronze de tout calibre, pris
aux Français, est de 2,100 pièces.
Orléans est toujours occupé par les Prussiens.
Ils se sont emparés de tous les établissements pu
blics de la ville, la poste, la Banque, la recelte
générale, la préfecture, et y ont installé noe admi
nistration b eux. Le préfet, M. Péreira, est prison
nier dans ses appartements, et Mgr. Dupanloup
loi-même est captif dans son palais, avec un fac
tionnaire sa porte.
La somme réclamée b la ville a été d'abord de
4 millions; mais, la suite de pourparlers, cette
exigence énorme s'est réduite b 2 millions, qui
auraient été payés dans la journée d'hier, sans
préjudice d'autres réquisitions et du pillage de
certains magasins.
Comme noos l'avons dit, les zouaves pontificaux
et la garde mobile se sont admirablement cooduits.
Les zouaves n'ont eu que i5 b 16 tués ou blessés,
malgré la vaillance et l'élan qui, vers la fin de
l'action, ont arraché an général de la Motterouge
le cri de Vivent les zouaves! Constitué)
PRUSSE.
Berlin, iS octobre.
Les dernières nouvelles du quartier-géoéral
aonoucent que le i4 octobre, b 5 heures du matin,
le général Boyer, accompagné d'un officier prussien
et veoaot de Metz, est arrivé b Versailles. Il a été
logé rue Montbouran, et b 11 heures il a en un
entretien avec M. de Bismark. Ce dernier s'est
rendu ensoite auprès du Roi.
Berlin 19 octobre.
La Correspondance provinciale dit
Les bruits d'une médiation pour la paix que
les puissances neutres auraient tentées de nouveau
an quartier général doivent être accueillis avec la
plus grande circonspection. En tout cas, les tenta
tives eu faveur de la paix doivent d'abord avoir en
vue d'amener la nation française b reconnaître
complètement qu'elle a besoin de paix et a lui faire
reconnaître la base indispensable d'one paix pos
sible.
Devant Patis les préparatifs pour le bombar
dement des forts touchent leur fin. Malgré toutes
les difficultés qui se sont opposées b leur transport,
les canons de siège sont presque tous arrivés devant
Paris, et il est probable que la semaine prochaine
ne se passera pas sans que l'artillerie allemande
n'ait commencé son œuvre importante dans toute
sou étendue.
Le même journal ditan sujet de l'arrivée au
quartier général d'un envoyé du maréchal Bazaiue,
qu'il reste b savoir si tes négociations dont est chargé
éet envoyé ont pour objet et pour but la capitula
tion de Metz.
M. Camphansen, ministre des finances, s'est
rendu an quartier général.
Les dépêches suivantes sont extraites de la cor
respondance privée du Times
Bekliïî, 18 octobre.
A l'affaire d'Orléans, 55,ooo Français, moitié
de réguliers, le reste de zouaves du Pape et de mo
biles, se sont battus contre un nombre égal d'Alle
mands. Les Français étaient postés dans des t ignesj
des fosses de carabiniers et des ouvrages eo terre.
Après uue défense de six heures, les Français ont
battu eo retraite avec taot de précipitation qu'ils
n'out pas soogé de faire sauter les pouls de la Loire,
qu'ils avaient minés d'avance.
Dans l'engagement près d'Ëtival avec l'armée
de Lyon, 3,8oq Allemands oui défait 8,000 Fran
çais réguliers pour la plupart et quelques mobiles.
Des transports nombreux de vivres sont arrivés
de l'Oiléanais et de la Normandie pour les Alle
mands. Leur voyage a été grandement facilité par
la prise de Soissons, qui procure b l'armée d'Alle
magne nue voie ferrée presque intacte allant jus
qu'aux portes de Paris.
Berlin, 20 octobre.
Les derniers renseignements reçus de Versailles
font connaître que l'Allemagne maintient comme
condition de paix la cession de l'Alsace, de la Lor
raine allemande et de Metz.
Londres, si octobre.
Le Daily News mentionne le bruit que le gé
néral Boyer est retourné hier b Metz soumettre an
maréchal Bazaiue les termes de la capitulation. Si ce
conditions ne soot pas acceptées dans cinq jours,
les négociations seront définitivement rompues.
Le Times mentionne le brait que Victor-Em
manuel entrera dans Rome le 28 octobre.
PILULES D'HOLLOWAY. Protecteurs de la Sauté.
Daus ce siècle où chacun se débat de sou mieux pour gaguer ses
moyens d'existence, uue bonne sauté est le premier des biens.
Les Pilules dépuralives, digestives, et légèremeut laxatives
d'Holloway sont admirablement appropriées ta complète
restauration de* maladies dont les fonctions s'exécutent si
faiblement que la vie elle-même semble très-précaire. L'esto
mac peut être débarassé de ses maladies par un usage judi
cieux des Pilules d'Holloway. Le foie engourdi est amené
une active sécrétion et tout autre organe troublant la digestion
est placé sou poste naturel et mieux préparé pour remplir
ses devoirs. Il est impossible d'avoir toujours, en toute saison
et en tous lieux, un Docteur a nos côtés, mais ces Pilules ré
pareront cette perte, car elles agisseut universellement et avec
bon résultat dans toute indisposition.
Plus de -a,000 guérisons par la délicieuse Revalenta
Arabica prouvent que les misères, daugers et désappointe
ments que, jusqu'ici, les malades out éprouvés par les drogues
nauséabondes, se trouvent présent remplacés par la certitude
d'une radioale et prompte guérison moyennant la délicieuse
fariue de santé Revalenta Arabica de Londres, qui rend la
sauté parfaite des organes de digestiondes nerfspoumonss
foio et membrane muqueuse aux plus épuisés racine dan,
les mauvaise» digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies,
constipations habituelles, hémorroïdes, glaires, vents, pal
pitations diarrhéegonflement, étourdisseureut, bourdon
nement d'oreilles, aoiditépituite, migraine, nausées et
vomissements; douleurs, aigreurs, orampes et spasmes d'es
tomac; insomnies, toux, surdité, oppression, asthme, bron
chite phtbisie (consomption)chloroseSueur blanche
dartres, éruptionsmélancolie, dépérissement, rhumatisme,
gouttefièvrecatarrhe, hystérie, névralgie, vice du saug,
hémorroïdebydropisie, manque de fraîcheur et d'énergre
nerveuse.
Certificat N» 63,476.
S'-Romaiu-des-Illes (Saône-et-Loire), îotdéc. 18Ï1'
Monsieur, Dieu soit béai! il s mis fiu mes 18 ans de
souifranoes horribles de l'estomac et sueurs nocturnes, pour
m'accorder de nouveau le précieux trésor de la santé; et pour
obtenir ce résultat iuespéré, la minime cousommatiou de 6
kilogr. de la Revaleuta du Barry a suffi. J. Comparet, curé.
Plus nourrissante que la viande, elle reud la santé et
économise 5o fois son prix en médecine. Eu boîtes i[4 kil.,
a fr. a5 1 kit., 7 fr.; ta kit., 60 fr. Du Barry et C», il,
rue de l'Empereur, Bruxelles.
Appétitdigestion, sommeil et éuergie rendus par la Re
valeuta Chocolatée aux persouues, et anx enfants les plus
faibles, elle nourrit trois fois plus que la viande et rend les
chairs fermes. Eu tablettes pour 6 tasses, 1 fr. a5; pour
la t., a fr. »5; ai t. 4 fr. Eu boites en poudre de ta tasses.
2 fr. a5; 48 t., 7 fr.; tao t 16 fr,; de 576 tasses, 60 fr ou
environ 10 c. la tasse. Du Barry et C«13rue de l'Em
pereur, Bruxelles.
Dépôt Ypres, chez MM.C. Brccwe, pharmacien, rue du
Verger; Frysoo, pharni rue de DixmudejG. Vêts, pharm.,
rue de Lille; H. Mahieu, pâtissier, rue au Beurre. lioor-
slede, chez Ch. Bostïn, boulanger. Poperinghechez M.
A. Haelewtck, pharmacien.
Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckhout, 2; F. Van-
denplas, drog., rue des Pierres, 9; S. Veys-Delcampe, pharm.,
rue Nord dn Sablon, 4' V. Veys-Frysou, pharm., rue Saint-
Jacques, ai; P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Starn-
daert, pharm., rue des Pierres, ag; L. Algoet-Dispersyn, nég',
rue Notre-Dame, 33; De Hondt-Gazet, nég', rue des Pierres,
10, Y au Speybroeck, nég', rue Pbilipstock, 1 Vao Moere-
Van Moere, nég', Graud'place, 9a; J. Willaert, nég', GraOd'-
place, 6a; A. Delplace, imprimeur, rue Nord du-Sablon. 1\.
Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm.: L. Kiudt-
De Gheyne, pharm.; C. Vander Espt, pharm. y
Dixmude. Claus-Vandenbnssche.
furnesJ. Dobbelaere, pharm.; E. Dnclos, pharm Ver-
poorte-Taverniernégociant.
Menin. Veuve H. Van Aokere, pharm.
Kieuport. L. Lefevre,pharm.;Vanbaeckel-Fooqusur, pharm.
Ostende. F. Kockeupoo, pharm., rue Louise, 9; Bayward,
nég', rue de la Chapelle, 68; veiive Philips, négociante, place
Saint Joseph.
Rouleis. F. Arueye, pharm.; H. Bouteas-Degheest, phaim.
Thielt. J. Buysseus-Bylpharmacien.
Thourout. L. Cornille-Parmeutier, négociait!; J. Van de
Casteele, imprimeur.
ÉTAT-CIVIL D'ÏPRES,
Du 14 au *1 Octobre Inclus.
NAISSANCES 8. Sexe masculin 3, idem féminiu 5
MARIAGES. Cuockaert, Charles, maçon, et Legon,
Lucie, dentellière. Bulcaeu, Pierre, journalier, et Laçante,
.Rosalie, tailleuse.
DÉCÈS. Moermau, Pauline, 16 ans. sans profession, rue
Jauseuius, Schrayt, Julien, aa ans, charron, célibataire,
Vieux Marché au Buis. Kerriuctx, Sophie. 73 ans, sans
profession, veuve de Siuave, Ange, S'-Jacques lez-Ypres.
VanbecelaerePhilomènc, 16 ans, dentellière, Esplanade.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS S. Sexe masculin
3, idem féminin a.
YPRES, aa OCTOBRE 1870.
ÉTAT Indiquant lea quantités et le prix aisjen
des G raina, Fourrages et antres produits agri
coles vendus aa marché de cette vttle
NATURE
des
Gralm rt Denrée».
QUANTITÉS
VERBCES.
kilogrammes.
PRIX
MtTfS
par 100
kilogramme*.
Froment
Seigle
Avoine
Pois
Féverolei.
Pommes 8e terre
Beurre
120,000
10,900
2,4oo
800
fioo
7,000
28-12
19 37
20-5o
22-25
24 OO
6-0O
3o5 00
80
73
44
80
80
Pain de farine de froment brnte 28 c* le kilo.
Idem pour les fondations de 5o c*, 1,070 gr.
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