PRUSSE.
Beslir, 33 octobre.
Beeliv, i5 octobre.
Kivgsheik, 14 ootobre.
ALLEMAGNE.
AUTRICHE.
ANGLETERRE.
On lit dans le Sun les ligoes que voici
Lovdres, a3 octobre.
Berlir, 19 octobre.
ITALIE.
Oq lit dans la" Gazette de Turin
«On nous mande de Florence que S. A.
R. le duc d'Aoste serait réellement décidé
accepter la couronne d'Espagne qui lui a
été offerte.
Il paraît, toutefois, qu'une difficulté
assez sérieuse s'est élevée propos de la
succession au trône, le gouvernement
espagnol voulant en exclure le Ois aîné du
duc des Puglie parce qu'il n'est pas né en
Espagne.
RUSSIE.
ONGOENT ET PtEOLES D'HOI.LOWÀY. Maladies
permission de tirer. Nous prenons du poisson et
oous pressons le raisin pour en boire le jus. Le
plat de résitauce est toujours fourni par la pomme
de terre; de graisse, de sucre, de lait, il n'eo est
plus question; peot-êlre est-ce U la cause des
maladies qui régnent. Nous aurions bien besoio de
vêtement* chauds.
Berlis, a3 octobre.
Officiel. Versailles, 33 octobre. Le gé
néral Wittcha occupé Chartres le si octobre.
Après son attaque repoussée d'hierl'ennemi
devant Paris est resté tranquille.
Devant Metz, le nombre des déserteurs français
qui se présentent h nos avant-postes s'augmeote de
jour eo jour.
Officiel. Kintzheim, a3 octobre. Dans la
nuit d'hier, la première parallèle vers le fort sud-
ouest de Schlesladt a été creusée sur 5oo 700 pas.
Noos avons 3s canons au feo. Nos pertes sont
de 3 hommes.
Officiel. Versailles, 31, b midi. Une sortie
des Français du Moot-Valérien, en forces considé
rables et avec 4o pièces.de campagne, a été victo
rieusement repoussée, sous les yeox do Roi, par
les premiers détachements de nos g* et 10* divi
sions d'infanterie, ainsi que par le 1" régiment de
la garde de la landwehr, soutenoe par l'artillerie
do quatrième corps d'armée se trouvant sur la rive
droite de la Seine.
Jasqo'b présent nous avons fait 100 prisonniers
et pris 3 pièces de campagne; nos pertes sont
proportionnellement peo considérables.
Beeliv, 31 octobre.
Officiel. Versailles, 31 octobre.
Télégramme du Roi b la Reioe, b Hambourg
Je revieos b l'instant d'oo petit combat près
de Malmaison.
a Douze bataillons avec quarante canons avaient
fait une sortie du Moot-Valérien.
Après on combat qui a duré trois heures, ils
ont été refoulés.
Noos étioos ao viaduc de Marljd'où nous
avons regardé ce combat.
Toute la ville de Versailles a été alàrmée.
La Gazelle de la Croix publie la dépêche
suivante
Schlesladt a capitulé aujourd'hui.
Noos avoos fait 3,4oo prisonniers et pris 130
canous. Signé von Schmb&ling.
Les dépêches de Berlin avaient annoncé l'envoi
snr Paris do fameux canon monstre de la fabrique
Krupp,quia*aitfignréb l'Exposition de 1867, cette
pièce de 1,000 qui était faite pour lancer un boulet
pleiu de 1,313 livres ou une bombe de 1,080.
Or, cet épouvantai! est resté en route,embourbé,
moralement parlant. On s'est aperçu que son poids
de 65,ooo kilogrammes, déjà excessif pour des
routes ordinaires, compliquerait singulièrement son
passage snr les ponts de bateaux et les viadocs
temporaires que le génie prussien a été obligé de
substituer aux ponts détruits sur le passage de
l'armée du prince royal.
Et puis, il est une autre raison que l'on se répète
tout bas, mais qui est décisive c'est que cet engin
aussi coûteux qu'énormedont la construction a
demandé 4oo,000 fr. et seize mois de travail, est
tnanqoé, au point de vue de l'effet utile, qu'il n'a
jamais fait feu et qu'on n'ose lui faire lancer un
boulet.
On écrit de Berlin, i5 octobre
a Avant-hier soir a eo lieu b Cologne, sor l'in
vitation de la Société ouvrière de Saint-Paul, uoe
réunion dans laquelle a été adoptée une protesta
tion contre l'invasion des Italiens dans l'Etat-Pon-
tifical. Cette protestation sera remise entre les
mains de l'archevêque de Cologne; on engagera en
même temps tous les ouvriers catholiques de l'Al
lemagne b signer une semblable protestation.
L'Association catholique cooseivatrice de Gratz
a pris une résolution par laqoele elle proteste
contre l'invasion des Italiens dans les États Pon
tificaux. Presque toutes les associaions de la Slyrie
au nombre de 65, se soot déjà raliées b cette pro
testation.
L'archevêque de Goritz vient de publier
une lettre pastorale dans laqudle il engage le
clergé b prier poor le S'int-Pèreet b recueillir les
dons des fidèles. Dans cet écrit, l'archevêque ap
pelle l'occupation de Rome on biigandage patent.
Il o'est plus douteux aujourd'hui que la Prusse
ne soit disposée b acheter et la Hollande b vendre
le graod-duché de Luxembourg. On apprend
qu'une communication sera bientôt adressée aux
puissances neutres concernant l'abrogation du
traité conclu b Londres eo 1867, et qui a mis fin b
la fameuse question loxemboorgeoise. Les journaux
allemands parlent de l'adoucisiemeot des condi
tions de la pait, en considération de la cession du
Luxembourg. Mais il o'est pas do tout certain que
les clauses territoriales conteuuts dans les deman
des de l'Allemagne soient pour cela moins exigi
bles.
L'Observer dit que le général Boyer est arrivé
vendredi et qu'il a vu l'impératrice samedi.
Les Prussiens n'étaient pas arrivés hier soir b
Amiens.
Les villages autour de la ville sont fortifiés.
Le Daily New» publie la dépêche suivante
J'apprends d'uoe haute source diplomaliquè
que le comte de Bismark est contiaire b on bom
bardement géoéral de Paris, et que le plan actuel
est de prendre quelques forts et de laisser la famine
faire le reste.
L<e Times a reçu tes dépêchés suivantes
u Madrid, 19 octobre.
Le comte de Keratry est arrivé ici et a eu une
conférence avec MM. Castelar et Martos, qui ont
ensuite été reçus par le maréchal Prim.
Diverses versions circulent sur le but de la
visite de M. de Kératry. On assure dans quelques
cercles qu'il est venu pour demander ao gouverne
ment espagnol un seoours de 4o,ooo hommes. Ou
ajoute que si le cabinet de Madrid consentait
l'Italie enverrait de son côté 100,000 hommes b la
France.
D'après d'antres récits, l'objet de sa mission
serait de demander la révocation du décret qui
prohibe l'exportation des armes et des chevaux.
Le comte de Kérrtry quitte Madrid sans avoir
réussi dans sa missioo.
On dit que la candidature du duc d'Aoste au
trône d'Espagne a été définitivement résolue et que
ce prince a notifié son acceptation b la régence.
Rome,ai octobre.
Le Pape suspend le Concile, par suite de l'inva
sion sacrilège de Rome, qui pourrait entraver la
liberté du Pape et des évêqnes. Cependant, le
jubilé accordé b l'occasion do Concile continue.
Nous apprenons, dit \'Unila caUolica, que
les archevêques de Milan et de Cincinnati ont dé
claré se soumettre b la défiuitiou dogmatique de
l'infaillibilité pontificale.
Si le Pape avait encore b sa disposition un jour
nal officiel, cette nouvelle aurait été conoue plus
tôt; mais les libéraux italieas loi ont enlevé même
le Journal de Romeet ils se servent des carac
tères de l'imprimerie pontificale poor injurier et
calomnier le Saiot-Père.
Ou écrit de Saiut-Pétersboerg la Gazelle de
Cologne
Comme partout en Europe, M. Thiers a trouvé
chez nous un accueil amical, iaos pouvoir, tootë-
fois, obtenir autre chose qoe des expressions de
condoléance pour la situation de le France et de
sages avis conseillant Ife modération et la concilia
tion. L'Empereur ootammeot reçut M. Thiers avec
des distinctions particulières, l'iuvita b dloer, mais
dut borner sa réponse aux paroles soivaotes
Je ne pois assez vous dire combien je sois dé
solé de voir votve patrie daos une si douloureuse
situation. Mais je ne pois aussi qoe conseiller la
modération, qoe j'ai toujours conseillée. J'ai d'ail
leurs le ferme espoir qoe le roi Guillaume se mon
trera aussi magoaoime dans la paix qu'il a été
victorieux dans la guerre, a
du oaractère le plus formidable el chronique oot été guéries
par les remèdes Holloway. Des ulcérations qui se moutraieut
incurables par tout autre moyen connu, se sout guéries sans
résistance, sous l'influence de cet excellent nguenl dépuratit
et régénérateur; foqleurs de nerfs et entorses, articulations
gênées, muscles contractés, et gonflement dés glandes peuvent
être traités aveo le plus sér sucoès par l'Onguent et les Pilules
d'Holloway. Ni l'an ni l'autre de ces médicaments n'a rien de
pernicieux dans sa composition. Tous deux sout essentielle
ment dépuratifs et fortifiants de leur nature l.e pouvoir com
biné de ces sublimes remèdes 1rs rend capable, de combattre
le plus grand nombre des affeotion» et de les guérirrou au
moiuad'adoucir une grande variété d* maladies. 0
Les infirmités et souffrances, campagnes terribles de la
vieillesse, n'ont pins raison d'être depuis que là délicieuse
Rêvaient a Arabica, farine de Santé, guérit sans médecines
sans dérangement, at sans frais, les mauvaises digestion,
(dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habituelles,
hémorroïdes, vents, nervosité, désordre du foie et de la
muqueuse, acidité, pituite, nausées, vomissements après repas
et en grossesse, aigreurs, diarrhée*,.crampes, spasmes, in
somnies, toox, isthmes, pbthisie (consomption)fluxions de
poitrines, dartreséruptionsmélancolies, rhumatisme,
goutteépuisementdépérissementmanque de fraîcheur et
a'-nereie. chloroses, (lueurahlancbes; 73,000 cures y com
pris celles de S. S. le Pape, le dnc de Pluskow, M™' la
marquise de Bréhan, eto., etc. 12.
Cure N* 68,745.
Matxieu (Loxère), 11 nov., -i865.
Monsieur, s Je suis heureuse d'ajouter un nouveau témoi-
guage l'efficaoité de votre excellente Revaleuta Arabica Du
Bàrry; depuisque je la oouuais, je l'ai.toujours employée avec
succès. Daignex agréer, etc.
Sœur Marie JcsTiai, religieuse de ls Présentation de Marie,
Gure N® 58,716.
Besauçon, i5 septembre.
Mm* Revercboo, de |5 ans- de vomissemeuts, d'horribles
douleurs el dépérissement qui avaieut résisté tous traite
ments.
Plus nourrissante que la viande, elle rend la santé et
éoonomise 5o fois son'prix.eu médecine. Eu boites i|4 kil
a fr. a5 I kil., 7 fr.; 13 kil., 60 fr. Du Bairy el C*, 1 a,
rue de l'Empereur, Bruxelles.
Appétit, digestion, sommeil et éuergie rendus par la Rc-
valeuta Chocolatée aux persouues, et aux enfauts les plus
faibles, elle nourrit trois fois plus qoe la viaude et rend les
chairs fermes. Eu tablettes pour 6 tasses, 1 fr. 25; pour
13 t,, 3 fr. a5 3) t. 4 fr- Eu boîtes en poudre de 12 tasses.
2 fr. a5; 48 t., 7 fr.; 120 t., 16 fr.; de 5;6 tasses, 6n fr ou
environ 10 c. la tasse. Du Uarry et Ce121 ne de l'bui-
pereur, Bruxelles,
Dépôt Ypres, chez MAI. C. Becowe, pharmacien, rue du
Verger; Frysod, pharm rue de Dixmude;G. Vets pharm.,
rue de Lille; H. Mahieu,pâtissier, rue au Beurre. Aioor-
s/ede, chez Ch. Bosxrir, boulanger. Poperinghechez M.
A. Haelewyck, pharmacien.
Bruges. Veuve De Grave drog., rue Eeckhont, 2; F. Van-
deuplas, drog., rue des Pierres, 9; 5. Veys-Delcampe, pliarm.,
rue Nord du Sahloti, 4l V. Veys-Frysou, phariu., 1 ut- Saint-
Jacques, 21 P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Staeir-
daert, pharm., rue des Pierrrs, 29; L. Algoet-Uispersyu, uég',
rue Notre-Dame, 33; De Huudt-Gazet, nég', rue des Pierres,
10, Vau Speybroeck, uég', rue Philipslock 1 Van Moere-
Vau Moere, nég', Graud'place, 92 J. Willaert, nés', Grand'-
place, 62; A. Delplace, imprimeur, rue Nord «In Sahlon. 24.
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De Gheyne, pharm.; C. Vander Espt, pharm.
Dixmude. Claus-Vaudenbussclie.
Furnes. J. Dobbelaere, pharm.; E. Dnclos. pharm Ver-
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Thouroui. L. Cornillc-Parnientiernegociaut; J. Vau d».
Casteeic, imprimeur.