3 c 1%J mandes extravagantes; elles auront ainsi établi on arbitrage européen dans les duels entre les nations.» Le Daily News publie la note suivante: a Nous sommes autorisés déclarer que les négociations qui ont été entreprise par le gouver nement de Sa Majesté en vue d'amener on armis tice entre la France et l'Allemagne marchent de la façon la pins satisfaisante. Une entrevue k déjà été décidée entre le comte de Bismark et M. Thiers, et elle aura lien presque immédiatement, un sauf- conduit ayant déjà été envoyé k M. Thiers poor qu'il puisse traverser les lignes allemandes. La dépêche suivante est publiée par le Times Berlin 9 21 octobre. Les dernières informations concernant l'ar mistice sont réduites k néant, par la raison que la Prusse demande que la France consente en prin cipe a une cession de territoire. ALLEMAGNE. Le 30 octobre b une heure, deux trains énormes ramenant en Allemagne g84 malades venant de Paris ont passé devant Stuttgart. La plupart de ces soldats étaient atteints de la dyssenterie ou de fièvres. Le nombre des blessés était peu considé rable. Ce lugubre convoi a fait uoe impression navrante. De Paris b Stuttgart le voyage avait duré six jours dans des wagons peu confortables. Nous pnisous ces détails dans un journal allemand. La Gazette du Soir, d'Augsbourg, publie la liste des pertes de l'armée bavaroise jusqu'ao 2 septembre. Ces pertes s'élèvent b 5,126 hommes, dont 82 officiers, 97 sous-officiers et 644 soldats, tombés morts sur les champs de bataille, 258 offi ciers, 4.^7 sous-officiers et 5,611 soldats blessés. Poor reconstituer la bibliothèque de Strasbourg, od prépare en Allemagne un appel b toutes les universités, académies, sociétés savantes, aux édi- tours, auteurs, et b tous ceux qui ont le culte des lettres et des sciences. Les comités de toutes les bibliothèques des Etats allemands do Sud se sont déclarés prêts b signer cet appel, dont le D1 Barack, bibliothécaire de la cour b Donaueschingen, a pris l'initiativeet b qui les listes de souscription se raient envoyées. Les fonds recoeillis seraient conservés par les collecteurs jusqu'b la paix. ITALIE. Floresce, 24 octobre. On assare que le ministère des affaires étrangères a envoyé aux agents diplomatiques italiens une circulaire réfutaot les assertions de la Bulle ponti ficale relativement b la suspension do Concile. Le cabinet italien n'a pas mis par le passé et n'aurait mis présentement aucun obstacle b la réuoioo et 'a la liberté du Concile. L'Opinione dit qu'il est probable que le minis tère délibérera sur la dissolution de la Chambre et la convocation des collèges électoraux pour la se conde moitié de novembre. RUSSIE. Saist-Pétersdodrg, 25 octobre. Le Journal de Saint-Pétersbourg parlant des démarches faites par les pnissances neutres sur l'initiative de l'Angleterre, émet l'espoir qu'elles aboutirent b la conclusion d'un armistice. Le Journal de Saint-Pétersbourg insiste pour que la discussion des conditions de l'armistice ne soit pas mêlée avec la discussion des conditions définitives de la paix. Une assemblée constituante est seule compétente pour statuer sur ces dernières. Le même journal espère qne la question du ra vitaillement de Péris pendant l'armistice sera réglée selon la justice et l'hamauité, et il demeure con vaincu que l'action médiatrice des puissances neu tres prouvera b M. Jules Favre qu'il était plus près qu'il ne pensait, de s'entendre avec M. de Bismark sur les conditions de l'armistice qui seules sout actuellement en discussion. LES PILULES D'HOLLOWAY peuvent être avec con fiance recommandées comme un remède domestique, poul ies affections de toutes les classes et conditions du peuple Jeune ou vieux, des deux sexes, peut prendre cette médecine avec la certitude de profiter des avantages que son emploi, procure, l'orsqti'un désordre où une maladie les rend misera, bles. Les Pilules d'Holloway sout saus livales pour leurs pro. priélésdépuratives etfortifiautes. Elles guérissent l'indigestion, les palpitations, le mal de lête et sont surtout très-utiies dans certaines maladies particulières aux femmes. Chaque boite de Pilules est euveloppêe avec des instructions imprimées, pour servir de guide aux malades qui comprendront facilement, cil les étudiant avec soin, fa meilleure route suivre pour re gagner la sauté. L*s Pilules d'Hollnway opèrent uu travail cumplet daus la constitution des faibles et des personnes nerveuses. Les misères, dangers et désappointements quejusqu'ici les malades ont épiouvés par les drogurs nauséabondes, se trouvent présent remplacés par la certitude d'uue radicale et prompte guérisou moyeuuaut la délicieuse Keva|enta Arabica de Londres, qui rend la parfaite santé aux orgaues de diges tion, aux uerfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, guérissant les mauvaises digestions (dys pepsies,gastrites, gastralgies, constipations habituelles hémorroïdes,glaires,vents, palpitations, diarrhée, gonflement, étourdissemeut, bourdonnement dans les oreilles, acidité, pituite, nausées et vomissements; douleurs, aigreurs, cram pes et spasmes d'estomac, insomnies, fluxion de poitrine, chlorose, flueur blanche, toux, oppre-sion, asthme, bronchite, phthisie (consomption), dartres, éruptions, mélancolie, dé périssement; rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhesoppres sion, élouffement, hystérie, névralgievice du sang, hydro- pisiemanque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. i Cure N° 53,i84. Jcmet, près Charleroi, 9 mai, i863. Messieurs Barry, Du Barry et Ce, votre précieuse Revalenta vieut de faire son entrée triomphante dans notre oommune, par la guérison de ma femme, sujette des souffrances et des vomissements coutinuels II est inutile de vous ennuyer de longs détails sur sa maladie et sur les maux qui, depuis 4 aus, la tourmentaient saus trêve. Enfin un brave médecin de nos environs lui conseilla de faire usage de votre farine. Elle commença s'en servir te 19 avril dernieret déjà, au grand étonDement de plusieurs personnes, les vomissements ont cesse l'affection des yeux ainsi que celle des jambes out dis paru, le sommeil est redevenu paisible, les douleurs du coeur, de l'estomac et des reins cèdent insensiblement et sont déjà presque nulles. Messieurs, je ne suis qu'un ouvrier, mais je suis résolu attester devant tout le monde les immenses services que la Revalenta rendus ma femme, et conseiller l'usage de cette fariue toute persouue souffrante, Agreez, E,-J. Dm y. Plus nourrissante que la viande, elle rend la santé et éoonomise 5o fois son prix en médecine. En boîtes i|4 kil.. 2fr.a5; 1 kil., 7 fr.; 12 kil.,6ofr. Du Barry et C", ta, rue de l'Empereur, Bruxelles. Appétitdigestion, sommeil et énergie rendus par la Re valenta Chocolatée aux personnes, et aux enfants les plus faibles, elle nourrit trois fois pins que la viaude et rend les chairs fermes. En tablettes pour 6 tasses, 1 fr. 25; pour 12 t., 2 fr. v5 2j t. 4 fr. En boîtes en poudre de 12 tasses, 2 fr. a5; 48 t., 7 fr.; 120 t., 16 fr.; de 5^6 tasses, 60 fr. ou environ 10 c. la tasseDu Barry et Ce, 12, rue de l'Em pereur, Bruxelles. Dépôt ypres, chez MM. C. Beccwb, pharmacien, rue du 1 v-.o..», pliai m tueue Lnxmuae;l>. Vêts, pharm., rue de Lille; H. Mahiel pâtissier, rue au Beurre. Stoor- slede, chez Ch. Bostvbboulanger. Poperintjhcchez M. A. Haelewtck, pharmacien. Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckhout, 2; F. Van- denplas, drog., rue des Pierres, 9; S. Veys-Delcampe, pharm., rue Nord dn Sablou, 41; V. Veys-Frysou, pharm., rue Saint- Jacques, ai; P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Staen- daert, pharm., rue des Pierres, 29; L. Algoet-Dispersyn, nég',. me Notre-Dame, 33; De Hondt-Gazet, nég1, rue des Pierres, 10; Vau Speybroeck, nég', rue Philipstock, t Van Moere- Van Moere, nég', Grand'plaoe, 92 J. Willaert, nég', Grand'- place, 62 A. Delplace, imprimeur, rue Nord du Sablou, 24. Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm L. Kindt- De Gheyne, pharm.; C. Vander Espt, pharm. Dixmude. Claus-Vandeubussche. Fumes. J. Dobbelaere, pharm.; E. Duclos, pharm.; Ver- poorte-Taveiniernégociant. Menin. Veuve H. Vau Ackere, pharm. Kieuport. L Lefevre,pharm.Vanbaeckel-Focqusur, pharm. Oslende. F. Kockenpoo, pharm., rue Louise, 9; Hayvvard, nég', rue de la Chapelle, 68; veuve Philips, négociante, placé Saint Joseph. Ruulers. F. Ameye, pharm.; H. Bouteus-Degheest, pharm. Thielt J. Buyssens-Bylpharmacien. Thourout. L. Cornille-Parmeutier, négociant; J. Van de Casteele, imprimeur. gg ETAT-CH IL 1TÏPRKS, Du 91 au tH- Octobre inclus. NAISSANCES i(\. Sexe masculin 7, idem féminin 7 MARIAGES Vander Anwera Émile9 conducteur «le travaux publics, et Verfaiile, Emma, saus profession. au OostAiïland cabarelièi et Dobbelaere /Marte domestique. Veisteele, Arnaud, boutiquier, et Cabooter, Barbe, bouti- quiére. DÉCÈS. Feys, Sidonie, i3 aus. sans ptofr-ssion, rue au Beurre. Joye, Preire, 62 ansboutiquier, époux de Maiie Depuydt, rue de Lille. Dehollander, Marie, 22 ans, dentel lière, célibataire, Vieux-Marché-au-Bois Lerberghe, Cé cile, 42 aus repasseuse, célibataire, rue S' Jacques. Botel, Amelie. 63 ans,dentellière épouse d'Ivea Godtsohalck, Nou veau-Chemin S' Martin. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 6. Sexe masculin 3, idem féminin 3. YPRES, 29 OCTOBRE 1870. ÉTAT Indiquant les quantités et le prix moyen des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville i NATURE DEâ 1 Grains et Denrées. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PU IX MOVE Ai par 100 kilogrammes. S i 1 S fi <r> js i c 1 Froment 75,000 29 20 8o 8,600 20 2Ô 73 Avoine 4oo 21 - 5o 44 900 25-00 fco Féveroles. Pommes de terre Beurre 000 7,000 00-00 6-00 5io-oo 00 Paio de farine de froment broie 28 cs le kilo. Idem pour les fondations de 5o c*. ,070 gr. j. i s 3 ZC2 a ce S S 3 S O -a M S W o. O* w -2 eu «j es ss ci <3 s - a «u s> o to cd u I ce o CzJ w 5? -w H cn t« tn 5C o i %-s o T3 1 o - J O 1» O." 2 sr «.E O M J= =3 S is, i- JS' 05 O) SI O.g-3 S en «a es o 5*1 l-s y o c 3 rc O 1/3 Érw vo C/5 c I S-* G. «S B.ojg 5 î-so g;J o ,E 2 c/s «B t- C o ^7 •B 2. - 55 Zb - J- s r° s. fa Ol QO CD 00 -es 2a r- o 00 x. es C. ce cn '-J jz s. js cc-c

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Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3