BOOMEN, LYSTEBOOMEN VENDITIE ALSMEDE TAILLIEHGUT, dres. l'entente est établie d'avance entre la Russie et l'Angleterre, si les plénipolenliai- resn'ont plus qu'à ratifier les arrangements sur lesquels on est tombé d'accord, l'œuvre de la conférence exigera peine quelques séances,' et le traité de 1856 se trouvera révisé sans que I Europe s'en soit en quel que sorte aperçue La conférence de Londres s'est ajournée huitaine après une séance uniquement consacrée vérifier les pouvoirs de ses membres. On espère encore que la France se fera représenter. ETAT-CIVIL D'YPRES, ypres, 21 janvier >87i. t I n»84>sriGS8« naiRzvaa?.D:as staande langst den provincialeti sleenweg Steen-straete naer Dixmude. Maandag 30en Januarius 1871len negen qren 's morgens, door het ambt van den I^otarrs TIîSC A, le Boesinghe. Oe vergadering ter berberg de Nieuwe Wereld. EN PLANTSOENEN, OP PASSCHENDAELE, By de Mosselmarkt. Op Maendag 6en Februar v 1871, te beginnen len 1 urenamiddag, zal den Nolaris CHRÏSTIAEN, by openbare Vendilie verkoopen, m de Hosschen by de hofstede van de weduwe Bernard Deletje, op 40 koopen schoone LYSTEBOOMEN en PLANTSOENEN dienstiS voor Speek en Latboutvoorts 1 hectare TAILLIEHOUT verdeéîd in koopen. Opgewotie voorwaerden en tyd van be- taling, milsgoede borg stellende. De vergadering in gezeide bosschen by koop 1. PRUSSE. Berlin, 8 janvier. Les Chambres des dépotés et des seigneors vien nent de recevoir par le comte d'Itzenflitz une pro clamation du Roi, datée de Versailles, et adressée ao peuple allemand. En voici le texte Nous Guillaumepar la grâce de Dieo roi de Prusse, proclamons par la présente Les pTinces allemands et les villes libres nous ayant fait l'appel unanime de renouveler par le rétablissement de l'empire allemand, la dignité d'empereur, abolie depuis 60 aos, et d'accepter ce litre; 4 Les stipulations nécessaires ayant été prévues dans la Constitution de la Confédération allemande; Nous proclamons que nous considérons comme tin devoir envers la patrie commune d'accéder b cet appel des princes allemands fédérés et des villes libres et d'accepter la dignité d'empereur. Noos et nos successeurs b la couroone alle mande nous prendrons le titre d'empereur dans toutes 00s relations et affaires de l'empireallemand. Noos espérons en Dieu qu'il sera donné b la nation allemande de mener la patrie, sous le sym bole de sou ancienne splendeur, b un avenir pros père. Nous acceptons la dignité impériale avec la conscience du devoir de protéger, avec la fidélité allemande,les droits de l'empire et de ses membres, de sauvegarder la paix, de soutenir l'indépeodance de l'Allemagne et de consolider la force du peuple. Nous l'acceptons daos l'espoir qu'il sera donné au peuple allemand de jonir de la récompense de ses vaillantes luttes, soutenues avec taot d'abnéga tion, dans une paix durable et dans les frontières qui accorderont b la patrie la sécurité contre fle nouvelles attaques de la France, sécurité dont l'Al lemagne a été privée pendant des siècles. Mais b nous et b dos successeurs b la couronne impériale, Dieu veuille accorder d'être toujours le gardien de l'empire allemand non par des conquê tes de guerre, mais par des oeuvres de paix, sur le domaine de la prospérité, de la liberté et de la ci vilisation nationale; Berlib, 18 janvier. On apprend de Luxembourg que tous les villa ges de la froDtière do grand-ducbé qui touchent b la France ont été occupés militairement. Les personnes, même non militaires, suspectes de vouloir entrer dans l'armée française ont été ex pulsées. On a également expulsé le rédacteur fran çais d'un journal luxembourgeois, l'Omnibus. Hambodsc, 18 janvier. Uu télégramme adressé d'Alençon le 18 jan vier au journal Hamburger Nar.htrichlen, an nonce que l'armée do grand-duc de Mecklembourg marche par Mayenne sur Rennes. Le saucisson aux pois, qui joue on si grand rôle dans l'alimentation des armées prussiennes, est fa briqué b Berlin sur 110e grande échelle. La Folks- zeilung annonce que les détournements qui se sodi produits daus la fabrication ont pris des pro portions si grandes, qu'il a fallu recourir b des mesures extraordinaires pour arriver b la décou verte des auteurs de ces soustractions. En plaçant des agents secrets parmi les ouvriers de la fabri que, on a été mis sur la trace d'un véritable com plot, qui avait ses complices daus toutes les classes du personnel. Ou a donc escamoté ainsi non-seu lement des flèches de lard mais des quartiers en- tiets de bœuf, de la fatine de pois et de froment. La révision des comptes qu'un a dû faite b lia suite de ces vols a prouvé que les dépenses faites pour l'achat des matières premières, des salaires, etc., s'élèvent b i5 millions de tbalers (56 millions s5o mille francs). L'usine a fourni jusqu'b présent 11 militons de saucissons, etc. Le personnel a été re nouvelé et le travail vient d'être repris. La surveillance est si bien organisée que les abus même deviendront impossibles b l'avenir. Les be soins sont si grands que l'usine doit être considé rablement augmentée. Pour fournir la viande de bœuf nécessaire, on tue b l'abattoir public i5o têtes de gros bétail par jour. Ou éctil de Wû'zboorgl, 11 janvier, b la Ga zette générale d'Augsbourg a Avant hier, b ooze heures du soir, 92 officiers français, avec 60 domestiques et une quantité de bagages, sont arrivés de Mézières en notre gare. Après avoir signé une déclaration,conçueeo langue française, d'aptes laquelle ils s'engageaient b ne pas quitter le rayon de la ville b oe pas for muler 00 soutenir de mutinerie parmi les prison niers et b n'entretenir aucune correspondance qoi ne passât pas ouverte par les mains du com mandant de la forteresse, ils oui été conduits dans les hôtels de la ville b leurs propres frais. f a signature de la déclaration se fit par grades; quand les colonels, par suite d'uDe méprise, ne voulurent pas signer, nue singulière agitation se maoifesta parmi les prisonniers. Elle s'apaisa ce pendant bientôt qnand le choix entre une reclosiou rigoureose dans la forteresse et le logement chez lés habitants leur fot proposé. Parmi les prisouoiers se trouvait aossi un avo cat de Nancy, qui exprima sa satisfaction d'être interné dans un lieu où il pourrait faire ses études, et un préfet des Ardennes que M. Gambetta avait expressément envoyé b Mézières pour y organiser des corps de francs-tireurs. Eu ootre, il y avait encore le chef des mobiles du département des Ardennes, qui a vécu de longues anoées eu Algérie et avait présidé b l'organisation des mobiles. Les prisonniers et leur escorte arrivèrent ici moitié gelés, ayant été cinq jours en roote saos avoir seulement quitté leurs wagoos. A Nancy la plapart d'entre eux s'étaieot procuré des sabots. Le lieutenant-général saxoo de Fabrice est ar rivé b Versailles pour entrer eu (onctions comme gouverueur général des départements de Seine-et- Oise, Oise, Somme, Seine InférieureLoire et Eure-et - Loire. Ongubnt et Pilules d'Holloway. Ma ladie des Femmes. Une grande et sérieuse responsabilité incombe aux mères pour assurer b leurs filles nue sauté forte et florissante. Trop fré quemment, hélas! cette responsabilité est éludée par une coupable fausse hoote b une certaine épo que de la vie, alors qu'une importante révolution s'opère dans la constitution de la femme et que de la tnaoière dont on en dirige les phases dépend le bonheur du présent et de l'avenir. Les Pilules d'Holloway, surtout employées eu même temps que l'Onguentobtiennent le meilleur effet eu équilibrant les fonctions sur lesquelles la santé, la vie même reposent. Mère et fille penvent sans in convénient, et sans consulter personne, faire usage de ces excellents remèdes qui détruisent les ob structions et soot d'un effet si salutaire b la santé des femmes. Généralement adoptées pour ce genre d'affections, jamais ces Pilules n'ont été employées eo vain; elles n'affaiblissent nnllemeot le système et toojours leur emploi est conrooné de succès. Ou 13 au CO Janvier Inclus. NAISSANCES 5. Sexe masculin i, idem féminin DÉCÈS. PreyersStéphanie, 10 ans, rue de Menio. Slosse, Joséphine, 76 aDs, dentellière, épouse de Louis Goddeliere, rue du Temple. Declerck, Charles, 70 aos, commissionnaire, veuf de Marie Verbeke, Grand'Place. Delhem, Jean- Baptiste, 5g ans, journalier, veuf de Natalie Devos, rue Traversière. Preyers, Philoniène »4 aus, rue S'-Jacques. Tandt, Pierre, 74 aos, journa- lier, veuf de Reine Vaadevoorde, rue de Menio. Vandertneersch, Eusèhe, 68 ans, sans |>r<.fes- sioo, veuf de Rose Decrock, S1 Nicolas lez Ypres. ENFANTS AU-DESSOUS DE7 ANS a S. Xe masculin o, ideiu féminin ÈT.IT Indiquant les quantité» et le prix mu; en des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville j NATURE QUANTITÉS PRIX r w t .- 'DBS VENDUES. M* YEN S 1 t par 100 tf> jz a Grains et Denrées. Kilogrammes kilogrammes. Froment 9,100 3i -25 80 2,900 22 5o 73 Avoiue. 3oo 25 5o 44 Pois 3oo 25-5O 80 Féveroles. 200 27-25 80 Pommes de terre 1)200 8 00 Beurre 35o 00 Pain de farine de froment brute 3o c' le kilo. Idem pour les fondations de 5o c®1,000 gr. ^emdtqë TAN zware langstammige POPELIEREN VAN -aoQBsr» Elk zegge bet voorts, VAN PASSCHENDAELE, wyk de mosselmarkt.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3