LYSTEBOONIEB BOOMEN, VENDITIE EN PLANTSOENEN, ALSMEDE TAILLIEHGUT, Op Maendçg 6en Februarv wimutoe P0PELIE11EN Maandag 30en Januarius PRUSSE. ALLEMAGNE. Bismark. Onguent d'Holloway. Plaies et Douleurs Aiguës facilement Guéries. Il est consolant d'entendre les malades faire le récit des résultats heureux obtenus par l'application de cet Onguent sur des ulcères ou abcès qui dataient de plusieurs années. A peine est-il frotté sor une jambe malade on sur on ulcère enflammé qu'il apaise l'excitation des vaisseaux sanguins et des nerfs, et procure ainsi fraîcheur et bieo-être tout le corps; bien plus, soo action répand graduellement dans tout le système, les matériaux nécessaires poor combler les ravages causés par violence, débilité ou mala die. Il expulse tontes les matières nuisibles et gué rit radicalement toutes les plaies. Il rend libre les veines variqueuses et fait disparaître les maux de jambes et les eoflures des pieds et des articulations, alors que les douleurs font supposer qu'elles soor irrémédiables et qu'elles excèdent pour ainsi dire ce que la force humaine peut endurer. a a n s s» van OP PASSCHENDAELE, By de Mosselmarkt. J871le beginnen ten 1 ure naraiddag, zal den Notaris CHRISTIAEN, by openbare Venditie verkoopen, io de Bosschen by de hofstede van de weduwe Bernard Deleye, op PASSCHENDAELE. wyk df. mosselmarkt. 40. koopen schoone LYSTEBOOMEN en PLANTSOENEN dienstig voor Speek en Laiboutvoorts 1 hectare TAILLIEHOUT verdeeld in koopen. Op gewone voorwaerden en tyd van be- taling, raitsgoede borg slellende. De vergadering in gezeide bosschen'iby koop 1. N'AN ZWARE LANGSTAMMIGE slaande tangst den provincialen sleemveg Steen-straete naer Dixmude. 1871ten negen uren 's morgons, door het ambi van den Notaris TIT 3 C JL te Boesioghe. De vergadering ter berberg de ISieuive- Wcreld, ëlk zegge het voohtsi. chargés de vivres de fourrages ei d'effets d'équi pement. Le 22, une bande de francs-tireurs a fait sauter le pont du chemin de fer sur la Moselle, entre Nancy et Toul. Dans le Nord, la première armée a poursuivi l'ennemi jusqu'aux forteresses. Parir 9 17 janvier. Il paraîtrait que l'ennemi me| en usage pour le bombardement de Paris des obus gros de balles de fosil et de biscaïens. On remarque dans les vitres des maisons attein tes près du Panthéon des trous parfaitement ronds auxquels viennent aboutir des rayons innombrables de petites lignes brisées. C'est exactement l'effet produit par un coup de fosil chargé balle tiré sur une fenêtre. Le pain que nons mangeons actuellement Paris contient, assore-t-on, on mélange des grains dans les proportions suivantes blé, 3o kilos; seigle, 20; riz, 3o; avoine, 20; total, 100 kilos. On a employé pendant-quelque temps de l'orge la place du seigle, mais ce dernier est préférable. La moutare se fait en deux fois. Le blé et le seigle d'une part, le riz et l'avoine de l'autre. Sous la date de Paris, 20 janvier, on lit dans la Correspondance Uavas Paris prouve en ce moment une fois de plus combien sa constance est grande dans la lutte qu'il soutient* avec les armées de la province contre l'enoemi implacable qui, après nous avoir démem bras et pillés, veut finalement oons détruire et Comme nation militaire et comme détenteurs de la suprématie des idées. Il a reçu a la fois sans se dé* partir de son patriotique stoïcisme la nouvelle de l'échec éprouvé par l'armée du général Chauzy et de l'arrêt subit de notre mouvement d'attaque contre les positions ennemies faisant face au mont Valérien et nos lignes de défense de l'Ouest. Son courage, qui a affronté sans broncher tant d'autres mauvaises chances, dominerait certes de plus cruels revers. Il n'y a donc pas lieu de douter que Paris soutiendra le choc des Prussiens jusqu'à son dernier obus, jusqu'à soo dernier morceau de pain. L'Al lemagne, malgré tout, sera facilement lassée et repoussée. Les rapports successifs affichés hier soir par ordre du général Trochu n'accosent d'ailleurs au cune défaite pour nous, sur les hauteurs de Gar- chesde Buzenvol et de la Celle-Saiot-Cloud. Notre état-major, informé sans aucuo donte durant le combat du mouvement de recul du général Chanzy, a seulement voulu éviter une plus grande effusion de sang devenue inutile. Il s'agissait avant tout pour le président du gouvernement de la dé fense d'arrêter d'abord le plus possible le départ des troupes ennemies groupées autour de notre en ceinte, pour nos provinces de l'Ouest, et ensuite de faire une diversion puissante qui arrrêiât le bombardement. Cette dernière portion du pro gramme a en depuis deux jours ouerénssite pleine et entière. Il y a lieu de croire que la première aura réussi également. Qooi qu'il en soit, Paris a applaudi au langage de la dépêche envoyée par M. de Chaudordy an nonçant que oi le général Chanzy, ui sa valeu reuse armée, ni les départements ne sont décou ragés. Il a trouvé dans cette affirmation le constant reflet de ses impressions personnelles, impressions qu'il conservera jusqu'au bout résolument. Quelques journaux ont beaucoup exagéré le chiffre de uos pertes dans la journée du 19. D'après des renseignements puisés bonne sourcenous croyons pouvoir dire que ce chiffre n'atteint pas 3,ooo morts, blessés ou disparus. On écrit de la frontière belge, près de Longwy, le 19 janvier Le bombardement est assez sérieux aujourd'hui et a commencé a 6 heures du malin. La ferme Saint-Charles, près d'Haucoorta été détruite par les obns de la place et quarante Prussiens sont restés sous les décombres. Uoe batterie placée au bois du Chat a tiré quelques coups, pais s'est tue on suppose qu'elle a été réduite au silence par le feu de la place. Un incendie a éclaté Longwy vers midi, mais a été éteint de suite. La garoisoo a fait une sortie hier vers Tellan- courl et une aujourd'hui vers Romain. On dit la3 perte des Prussiens la date de ce jour de 4oo hommes; j'ignore ce qu'il y a de vrai dans ce dire et je De vois pas où on aurait pu puiser ce renseignement. J'apprends l'instant que les belligérants sont aux prises. La fusillade e9t bien nourrie. P. S. Les pièces de siège sont arrivées. Elles seront placées demain et après. Dimanche elles auront la parole. Avis aux amatenrs. Cette nuit on a entendu une forte détonatioo, on assure que les Français ont fait sauter le porrt de la Cbère sur le chemin de fer près de Longwy- Bas. M. Devisroe a abattu le gros éléphant du Jardin des Plantes de Paris. Le pachyderme, frappé d'une balle explostble qui a pénétré par l'oreille, n'est pas mon sur le coup, mais an bout de plusieurs heures. Quelques personnes se figurent encore qu'un secteur est une portioo de la circonférence des fortifications, tandis que c'est nne partie de la surface de l'enceinte, considérée comme un cercle, et comprise entre un arc et deux rayons parlant du centre. Chacun des secteurs parisiens est donc un triangle dont la base curviligne est l'enceinte bas- tionnée et le sommet Notre:Dame, centre conven tionnel de Paris. Le vrai centre de figure de l'ellipse que forme Paris se trouve eo un poste situé entre le Louvre et le Palais Royal. I.'obos prussien tombé sur l'Hôtel-Dien, b côté de Notre-Dame, n'est dooc pas précisément arrivé an centre de Paris. Toutefois poor être envoyé là des batteries de Bagneux ou de Cbâiillon (les plus rapprochées) il a dû parcourir une trajectoire de 8,5oo mètres au moins. Cette portée, qui doit être coosidérée comme le dernier et extrêmeeffet du tir des mortiers prussiens envoyant leurs projectiles toute volée, laisse de hors des atteintes de l'ennemi, étant donnée la po sition de ses batteries, toute la partie de Paris, dé limitée par les quais, de la rive droite jusqu'aux Champs-Elysées, et par cette aveoue jusqu'à l'arc de l'Etoile. On mande de Berlin, 18 janvier. La proclamation du Roi annonçant qu'il ac cepte la couronne impériale d'Allemagne a été lue haute voix dans les rues. Elle a été accueillie avec de grands applaudissements. Le passage qui se rapporte aux frontières de la patrie commune et leur sécurité contre les attaques de la France a été particulièrement acclamé. Ce soir, la ville est illnmioée. Les habitants en masse stationnent devant le palais de la Reine, acclamant l'Impératrice et faisant enteudre des chants patriotiques. La fonle couvre l'allée des Tilleuls, n La Gazette de l'Allemagne reproduit la Note télégraphique suivante de Versailles, adressée au représentant de l'Allemagne du Nord en Soisse, en date do 1 2 janvier Les procédés de la Fraoce l'égard de notre marine marchande nous forceot rapporter notre déclaration faite au début de la guerre et par laquelle nous avons renoncé poursuivre et captorer des oavires de commerce français. Consi dérant que des propriétés neutres pourraient être chargées sur ces navires, par saite de notre renoo- ciatiation, nous ne mettrons ladite mesure exécu tion qu'à partir d'on délai de quatre semaines. Communiquez cette décision par voie officielle. Mayence, t4 janvier. L'autorité militaire de la forteresse a invité le public par nu avis officiel occuper les prisonniers de guerre, soit dans les baraques, soit dans leurs établissements, et leur assurer un salaire convenable, tout en laissant un bénéfice modéré aux patrons. On a arrêté six individus prévenus d'avoir en- levé des ebassepots des wagons où ils avaient été de'pnsés. VAN i5?Q(H0fiiî

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3