LYSTEBOOMEN BOOMEN OP STAM. ABEELEN EN POPELIEREN BOOMEN Un témoin occolaire nous raconte l'épi sode suivant de la bataille de S'-Quenlin Une lettre adressée de Nancy la Gazelle de Cologne, sous la date du 25, donne les renseignements suivants sur la deslrucliou d'un pont de la Moselle par des francs- tireurs et un engagement qui en a été la suite ALLEMAGNE. On écrit de Berlin que le ministre du commerce, comte luenplitz, a adressé, le 18 janvier, aux directions des chemins de fer nn rescrit dont voici la teneur a»»®»®*®, VENDITIE EN PLANTSOENEN, ALSNIEDE TAILLIEHGUT, OP PASSCHENDAELE, By de Mossetmarkl. Op Maendag: 6en Februarv .4871, le beginnen leD 4 urenamiddag, zal den Notaris CHRISTIAEN, by openbare Vendilie verkoopen, in de liosschen by d« bofstede van de weduwe Bernard Deleye, op 40 koopen scboone LYSTEBOOMEN en PLANTSOENEN diensiiî! voor Speek en Latbout voorts 1 hectare TA1LLIEH0UT verdeeld in koopen. Opgewone voorvvaerden en tyd van be. taling, rails goede borg slellende. De vergalderipg in gezeide bosschen by koop 4. Besluur der Reqislralie en Domeinen. VEND1TIE Op Donderdag 2en February 4871 (zynde 0. L. V. Lichtmis), 's roiddag» precies, zal den Ontvanger der Kegistrafie en Domeinen te Ypre, openbaarlyk Ver koopen 130 KOOPEN deelmakende der planting van den steen- weg van Elzendamme naar Ypre. op het grondgebied der gemeente Woesten lus- schen de herbergen het Kasleelhof en de Meyboom. Op tyd van betaling mits borg te stellen. De vergadering ter gemelde herherg Perte en hommes peu nombreuses des deux côtés. Dans la fusillade de dimauche soirun seul Prussien a été tué. Virtop l5 janvier. J'ai assisté hier b un accident lerrilile qui a en lieu au tunnel de Moutmériy; il y a eu choc entre 4 an train transportant de jeunes recrues et un autre transportant des prisonniers français. Le premier n'a pas souffert de dégâts, inais cinq voitures du deràier train ont éré complètement détruites; Un grand nombre d'hommes ont été tués sur le coup, et nu grand nombre d'autres blessés. Les otages français de Sedan ont échappé au désastre, mais l'accideut ne peut pas être attribué aux Français. La ligne, la sente qui existe maintenant de puis que le pont deToul a saoté, sera libre ce ma tin, mercredi, a Daily News.) Le génie militaire a exécuté une expédition da côté de l'Hayqni a eu un plein suceès. Oo sait qne les Prossiens ne font la guerre qne par rose. Un artilleur de la redoute de Villejnif, en tournée de nuit du côté de leurs positions situées en avant de la maisson Millaud, avait remarqué des lits de fer élevés a vingt-cinq centimètres au-dessus du sol, qui se raliaient des piquets placés de distance eu distance. Il en avisa le capitaine du génie qui réside au camp. Celui ci est sllé, a son tour, avec ses hommes, visiter les lieux, et il a constaté que ce fil de fer correspondait avec les postes ennemis et avait pour objet, en servant d'obstacle b oos éclai- reurs, de les avertir de leor approche. Aussitôt ils tombaient en nombre sur nos soldats. Ainsi avisé l'avant dernière nuit^ on capitaine, avec cent hom mes, s'est transporté b l'endroit où se trouvait nu de ces fils de fer et après avoir placé ses hommes en tirailleurs, il trébuche sur l'obstacle. Aussitôt accourut un détacbemeut prussien, qui, dès qu'il se trouva bien b portée, fut accueilli d'abord par une vive fusillade, et ensuite poursuivi b la baïonnette. Sept morts et on certain nombre de blessés sont restés sur le terrain. Les antres s'enfuirent, aban donnant leurs armes. Le lendemain matin, l'officier du génie a fait couper tous ces fils de fer, qui for maient uo réseau télégraphique aotoor des postes ennemis. {Havas.) Toute l'armée française, battant en retraite, le commandaot Feuillaut, des éptaireors b cheval de l'armée du Nord, et le lieutenant André, du même corps, entourés de leurs d'agons et soutenus par le commandant Richard, aide-de camp du général Faidberbe, réinsèrent de se porter en arrière, et rassemblant autour d'eux, sons uoe grêle d'obos et de balles, tons les clairons qu'ils purent rencontrer, ils leur firent sonner la charge aux cris de Five la France! (.'effet produit sor les troupes fat tel, que plusieurs bataillons se rallièrent et défilèrent au pas de course dans le faubourg Saioi-Martio, se déployant ensuite b droite et b gauche et forçant les tirailleurs prussiens b reculer en désordre. Trois fois de suite ces braves soldats, combattant sans souliers et saos cartouches s'emparèrent des hauteurs dominant la route de Roupy. Ce ne fut qu'à la nuit que ces troupes se replièrent derrière les barricades faites b feutrée de la ville par une compagnie du génie. Elles disputèrent Ib le terrain longtemps encore, et doonèreot ainsi le temps au reste de l'armée de se replier sor la roule de Cam brai. Les avantages continuels remportés par nos troupes depuis ces quinze jours ont complètement fait écbouet le plan couçu par Garibaldi de repren dre Nancy; ses volontaires ont tout au plus féassi b couper pour quelques jours seulement les com- munications de cette ville avec Paris en faisant sauter une arche du pont établi sur la route de Nancy-Frouard, près de Footenoy. Je dis pour 1 quelques jours seulement car aujourd'hui déjà plusieurs pionniers de notre service de chemin de fer de campagne sont partis ce matin de bonne heure pour y aller rétablir le pont détroit; laligce télégraphique également coupée entre Frouard et Tout sera mise eu étal de fonctionner dès aujour d'hui. Hier, entre 3 et 4 heures du matin l'alarme fut donnée aux garoisons de Frouard et Pompey, a la nouvelle que des bandes des francs- tireurs s'étaient montrées aux environs de Fouleooy et Villers Saint-Etienne. Cinquante hommes du ba taillon fysen, de la landwehr, n* 57, furent com mandés pour aller garder no pont jeté sur la Mo selle entre Laveriduu (7 kilomètres de FrouardJ et Fonieuoy. Ils forent attaqués entre cioq e: six heures par une compagnie de francs tireurs armés de cbassepots et forte de s5n hommes. Malgré UDe résistance opiniâtre, nos braves landwehr se sont vaillammment battus; il leur en a coûté malheu reusement un sergent major tué, ia soldats dis paru et 3 blessés. Les pertes des francs tireurs ne sont pas coooues, ceux-ci ayant eu le temps, par suite de la supériorité du nombre, d'emporter leurs morts et leurs blessés. Les convois de poste et les trains militaires envoyés hier par Frouard et Tool b Paris ont dû revenir par suite de la destruction do pout ci-des sus meottoonée. Pour empêcher la destruction du pont de la Moselle, près de Frouard, la garnison de Frouard Pompey avait été consignés dans ses cantonnemeots. L'ordre a même été donné de btuler le village de Footenoy, et tous les maires des villages envi- ronoaots ont été informés que la même mesure leor serait appliquée si des faits pareils se repro duisaient dans leurs cantons. Le Siècle vient de publier la notice qoi soit sur no procédé ingénieux appliqué b la paoification; oo la pratique depuis quelque temps b Paris, d'a près le procédé indiqué par M. Sezille, nn des membres les plos distingués de la Société d'agri- cultore Le grain n'est pas sonmis b la monture, mais b uoe simple décorticatioo. De la sorte, on enlève, au lien de ?5 ou 3o p. c. de particules outritjves, seulement les 4 ou 5 p. c. qui forment les pellicu les épiderroiques non digestibles. La décorticatioo se fait dans un latubôor en bois contre les parois duquel le graio, lécèremeut mouillé, pressé par nue meule animée «l'un vif mouvement de rotation, perd ses enveloppes sans s'écraser. Le produit de cette opération est soumis succes sivement b l'action d'un ventilateur et d'une brosse conique qui enlève les dernières traces des pelli cules. Après quoi on y trempe le grain décortiqué peudant sept b huit heures, dans de l'eau portée b one température de 3o degrés environ; la pâte faite, on la soumet a la pauificetion d'après les procédés ordinaires. Pour douoer une idee de I importante économie que cette fabrication procure, nou9 citerons ce senl .résultat, que 100 kilogr. de blé soumis b la nour riture ordinaire donnent 80 kilogr. de farine et 1x2 kilogr. de pain, tandis que la même qoaotité de blé|, soumis seulement b la décorticatioo, four nit x43 kilogr. de pain d une qualité nutritive et d'un goût qui ne sont pas inférieurs b ceux do paia ordinaire. La peste bovine venue b la suite de l'invasion allemande s'est étendue dans plusieurs de nos dé partements de l'Est, et tègue en ce moment dans l'Indre. Les nombreux cas de mortalité qoi se sont manifestés dans ce département oui engagé le préfet b prendre des mesures sanitaires, dont on craint malheurensemeot l'inefficacité pour éviter la propagation de la contagion. Les commissions pour l'exploitation des che- mios de fer en France ool reçu l'ordre par moi de prendre des mesures immédiates pour que les wa gons de cbemiu de fer arrivant sur le théâtre de la guerre, et appartenant b des Etats ne participant pas b la guerre, ne soient pas utilisés sur les-ligne» de chemins de fer occopés par nous; leur renvoi aux administrations propriétaires doit se faire dans le plus prompt délai possible et sans qu'ils puissent être retenus ou utilisés en route. Onguent d'Holloway. Dysaenterie Diarrhée et Affections des Intestins. Dans tous les cas de dyssenteiie et Diarrhée où l'On guent d'Holloway a été bien frotté sur l'abdomen deux oti trois fois par jour, ou a obtenu un soula gement sensible et quand on a persévéré dans ce traitement salutaire avec applications de cataplas mes de son chauds, 00 a toujours opéré la guérisoo. Du lait et des substaoces farineuses composeront seuls la ooorritore do patient pendant toute la durée do traitement, en ayant soin d'éviter qu'il ne prenne aucun aliment solide, ni fiuits ni légu mes, jusqti'b ce qne les symptômes les plus doo- looreux aient cédé b l'action persistante de cet Ongueot bienfaisant et réparateur. VAN PASSCHENDAELE, WYR DE mosselmarkt. MlNtSTEfUE VAN FINANTIEN. KAHTOOR TPRE. VAN 1 g het Kastcelliof,, bowooud door Th. David.-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3