a a a s s,
BOIS BIT SCH001N HOF,
G0E0E ZAEILANDEN
TE RENINGHELST.
AGENCE AMÉRICAINE
BATEAUX A VAPEUR.
Mauvais serviteurs ces officiers supé
rieurs ou généraux habitués la mollesse,
et qui, devant- l'ennemi, quittaient leurs
troupes pour aller setablirconforlablemenl
dans quelque château, au lieu d'aller étu
dier la terrain, de se montrer leurs sol
dats et de se rendre compte par eux-mêmes
do leurs besoins.
Mauvais officiers ceux qui, par suite
de libertinage sont, dès l'âge de quarante
ans incapables de rester douze heures
chevalde supporter les fatigues et priva
tions de la guerre et se trouvent indisponi-
bles au moment où l'on a besoin d'enx.
Tout cela demande une réforme. Il
faut que les officiers de toute arme et de
tout grade deviennent plus studieux, aient
des habitudes plus viriles que les officiers
généraux vivent plus au milieu des troupes
et moins dans les salons et les boudoirs.
On lit dans la Vérité
Le général Henrydétenu aux Petites
Ecuries., Versailles, a tué d'un coup de
stylet le sergent chargé de le surveiller, au
moment où ce militaire venait lui apporter
manger. Puil il s'est revêtu de la capote
et du képi du sergent, et s'est glissé la
nuit tombante hors de son cachot et de la
caserne. Il est arrivé la gare des Chan
tiers au moment où un train partait pôur
Chartres. De Chartres il a gagné Étampes;
là il a troqué sa capote contre une blouse,
et il est arrivé Paris par la gare d'Orléans,
ce soir cinq heures.
Il n'est malheureusement pas vrai
dit le Rappel, que le général Henry se sont
évadé.
Il a été conduit Belle-Isle.
M. Rochefort signe dans le Mot d'ordre
l'article que voici
Nous voudrions pouvoir mentir, mais
nous ne mentirons pas. Nos gardes natio
nales, en proie des chefs aussi pleine de
courage que d'inexpérience, ont été débus
qués de toutes ou presque toutes leurs po
sitions, et ont vu échouer peu près toutes
leurs attaques. Le général Duval, le général
Henry ont été faits prisonniers avec uoe
partie des bataillons qu'ils commandaient
et fusillés sans merci. Notre cher et mille
fois cher ami Flourens, qui n'avait jamais
annoncé comme le reîire Ducrot, qu'il re
viendrait mort ou victorieux, n'est pas re
venu victorieux, mais a été emporté mort.
Depuis trois jours, les patriotes les meil
leurs et les plus utiles tombeut sous les
balles des anciens sergents de ville de Pié-
tri, devenus les cent gardesde Tbiers, et si
l'héroïsme de nos combattants affirme la
République, on ne peut nier qu'il la déca
pite. Voilà la vérité.
Eh hien nous devons le dire et nous
le disons Tous ces désastres ont leur ori-
ginedansl'incroyahle légèreté qui a présidé
aux opérations militaires. La garde natio
nale, bien fortifiés dans Paris, attendait
l'arme au pied une attaque qui ne venait
pas; où était la nécessité de la faire mar
cher sur Versailles? D'où sort ce plan bi
zarre qui consiste faire passer|lrenie mille
hommes sous le feu plongeant du mont Va- t
lérien? Qu'espéraient les stratèges auteurs
de ces sanglants enfantillages? Croyaient-
ils que ces gendarmes allaient fraterniser
et que les artilleurs allaient tirer blanc?
Au moins était il élémentaire de s'assurer
des dispositions des marins et des sergents
de ville avant de céder l'benthousiasme
de ceux qui voulaient marcher en avant.
Ajoutonsque si, par aventure, nos amis
avaient pris Versailles. l'Assemblée seserait
repliée sur Fontainebleau, puissur Orléans,
puis au besoin sur Pondichéryce qui
changerait en une simple chasse courre
la lutte actuellement pendante entre les
deux pouvoirs. Avec desopératïons de cette
force, on arrivera il vite réhabiliter Trochu.
Maintenant que lé mal est fait et que
les cadavres de nos conciioyeo,s rentrent
dans Paris par charretées, une grave ques
lion se pose: celle de la responsabilité.
Cette lactique non pas seulement funeste,
mais folle, qui l'a ordonnée? de quel cer
veau en délire s'est-elle échappée toute fu
mante? Voilà ce qu'ont ledroit de demander
les mères, les soeurs et les femmes qui s'en
tassent aux barrières de Paris pour voir
revenir mutilés leurs fils, leurs maris et
leurs frères. Il existe un Carnot quelconque
qui a ordonné cette fatale sortie de trois
jours. Pourquoi ne le nomme-ton pas?
pourquoi ne s'est il pas déjà expliqué de
vant la nation
On écrit de Londres, le 8 avril.
Le prince dont la princesse de Galles et
accouchée jeudi est mort le lendemain.
La naissance avait été prématurée et les
médecins doutaient que l'enfant pût être
conservé. Il a été baptisé peu d'heures après
sa naissance.
L'état de là princesse de Galles est satis
faisant.
La Reine a rendu visite, mardi,
l'ex empereur, Chislshurst. Une voiture
attelée de quatre chevaux l'attendait la
station, pour la conduire Gamdenbouse,
où Sa Majesté est restée une demi heure.
ALLEMAGNE*
Les Hamburger Nachrichlen ont reçu one
dépêche de Gluckstadt du 30 mars annon
çant que les navires de guerre français
stationnés dans ce port ont embarqué le
premier convoi de prisonniers français, au
nombre de 176 officiers et 800 soldats, ar
rivés par express de Schleswig. Trois petits
bateaux vapeur sont arrivés en même
temps de Stade avec des prisonniers et
trois autres vapeurs sont attendus cette
après midi de Hambourg, ainsi que des
trains express de Rensbourg et de Flens-
bonrg chargés de prisonniers que la flotte
prendra bord pour les conduire en
France. Cette nouvelle est confirmée1 par
une dépêche de Stade qui dit que les inter
nés français ont quitté cette ville le 30
mars, au nombre de 1,500 pour retourner
en France. L'embarquemPQt- aura lieu
Gluckstadt. On estime 13,000 le nombre
des internés qui seront conduits par la
voie de l'Elbe la flotte française.
TE VERKOOPEN
By de jdorpplaets van Reninghelst.
1" Een HUIS met Peerdenslal. Berg-
plaets en 20 aren 90 c" Grond en Hoving
tergehueht Zevenkoten.
Gebruikt zonder regt van pacht door
Francisais Brouckxou.
2" Eenen MEERSCH groot 82 aren,
70 c° houdende noord oostaen de plaets.
Gebruikt zonder pacht door sieur Van
Cayseete-Camerlynck.
3" Eene party ZAEILAND genaemd
't Barrière Sluk, groot 30 aren 70 c".
Gebruikt zonder pacht door gezeiden
Brouckxou.
4° Twee aen eenhoudende partien
ZAEILAND le zamen groot i hectare 97
aren, 10 c*.
Gebruikt door sieur Philippns Lamerant
met regt lot den 1" Oclober 1871.
Tegen t hofsledeken van Livinus Dieusaert.
5° 80 aren, 60 c° ZAEILAND gebruikt
door den zelven Dieusaert met regt tôt
den 1" October 1872.
6" 73 aren 57 centiaren ZAEILAND
gebruikt door Livinus Knockaert en Joannes
De Crock tôt den 1" October 1875.
Den INSTEL, met gewin eener premie,
zal geschieden den Woensdag 26e" April
1871en den OVERSLAG den Woensdag
10'" M Et daerna, telkens ten 2 uren, ter
herberg van sieur Pieler Behaeghelte
Reninghelst, gehucht den Ouderdom.
Aile inlichtingen zyn te hekomen ten
kantoor van den Notaris lajlmbïlt,
t'Ypre, gelast met deze Verkooping.
Un départ tous les jours. Prix des pla
ces, nourriture comprise, bord de ba
teaux 225 765 fr. Ecrire franco,
avec timbres-poste pour réponse, M.
SUFFELL, 96, Montagne de la Cour,
Bruxelles.
i
3 -
Mauvais serviteurs étaient ces officiers
subalternes, se levant dix heures pour
aller la pension, et quiaprès avoir fait
plus ou tnoius leur service, passaient leurs
loisirs au café ou lire les turpitudes de
la littérature parisienne, au lieu de s'in
struire en géographie, en histoire, de se
tenir au courant par la lectnre de bons
ouvrages et de revoes sérieuses des ques
tions militaires on politiques du moment.
ANGLETERRE.
AIJTRICIIE.
Viekse, 7 avril.
L'Empereur se rendra la semaine prochaine de
Méian 'a Tieuie.
Ce sera la première fois que l'Empereur ira
dans le Tyrol méridional.
Onguent et Pilules d'IJolloway.
Les1 rueiIleurs remèdes connus an monde pour les
maox de jalnbes, blessures anciennes, plaies et
ulcères. Si ou emploie ces médicameuts con
formément aux insirnclions qui accompagnent les
boî'es et pois qui les renferment, il n'y a point de
blessures, maux de jambes ou ulcères, quelle que
soit leur ténacité ou leur ancienneié, qui ne cède v
leur action et leurs propriétés ciuatives. Un
grand nombre de personnes traitées a»ec sucrés
dans les plus grands Hôpitaux par les soins d'érui-
oerils chirurgiens, ont obtenu une gnérison radicale
par l'Oogneul et les Pilules d'H 'Howay. Il n'est
aucune médecine connue plus efficace dans les
gonflements des glandes, les iiiuiems, le scoibut et
les maladies de la peau. En ait mol, dans les cas les
plus désastreux de ces affections qui proviennent
de la condition du sang, ces médicaments, employés
conjointement, ont une action et un effet irrésisti
bles.
i de