BOOMVERKOOPINGEN.
D'ARBRES,
COMMUNE de PLOEGSTEERT.
CONSIDÉRABLE VENTE
296 Ormes de 1 2 mètres,
29 Saules de 1 2 1/2 mètres,
et 19 Canadas de 1 2 mètres de-
circonférence.
3 -
ment, je leur ai répooda que la qoeslion étaot net
tement posée culte l'ordre et la plus épouvantable
anarchie ils ne devaient pas hésiter servir leur
pays, mais que je ne pouvais les délier de leur ser-
ment avant que la uallon entière eût, par uo vote
direct, choi«i un gouvernement définitif.
Ainsi donc, vous le voyez, comme l'homme
d'Horace, je m'eoveloppe dans nioo droit et ma
résignattoi Hort de ma conscience, je retiens les
impatiences des nos, je méprise les défaillances et
les injures des autres. Je vois, avec une certaiue
satisfaction ,.la République forcée de sévir contre
cens lk mêmes qui pendant vingt trois ans ont at
taqué mon gouvernement, et obligés de recourir k
la plupart des mesures que j'avais cru indispensa
bles pour maintenir l'ordre; mais, comtne je ue suis
pas un homme de parti ce sentiment fait place
dans mon âme k on antre plus fort c'est la dou-
leor de voir les destinées de la France livrées au
hasard des événements, k la fureor des factions, k
la faiblesse des hommes au pouvoir, aux exigences
implacables de l'étranger.
l.e correspondant du Times reproduit ensuite
la répoose de l'empereur k une question qui lui a
été faite relativement au mémoire de Lessioes.
Voici cette réponse
Ces lettres, autant que je me les rappelle, sont
authentiques, raaisje ne puis certainement être tenu
responsable des absurdités qu'il plaît aux gens de
m'envoyer, et les communications de Lessines o'ont
jamais obtenu de mot aucune considération séiieose.
Je crois que l'homme lui même est une sorte de
maniaque inoffensif comme vous le jugerez vous-
même. La première fois que je le vis, il y a trois
ou quatre aos, il marchait rapidement en tous sens
dans la cour intérieure des Tuileries. Je fis deman
der ce qu'il voulait et il répondit d'un ton agité
Mon sort est entre les mains de l'empereur.
Comment cela
Parce qu'il est le seul homme qui puisse me
donner ce que je désire.
Que désirez-vons?
Une stalle k l'Opéra pour ce soir.
Pourquoi o'allez vous pas en louer une?
Impossible! Toutes les places sont prises. La
dame que je désire épouser y sera et je dois la voir.
Pour m'amnser d'un homme que je soppo-
sais être un original inoffensif, continua l'empereur
en riant cordialement k ce souvenir, je donnai l'or
dre de mettre mon étrange visiteur en possession
de l'entrée qu'il ambitionnait k l'Opéra, et il partit
toot joyeux. Je reçus ensuite de ses nouvelles sous
la forme de la propositioo d'une annexion de la
Belgique k la France, projet auquel je n'ai certai
nement pas donné l'attention que mes détracteors
affectent de ra'attribuer. n
ALLEMAGNE.
darmstadt, 14 octobre.
Un incendie a éclaté a cinq heures et quart de
l'après midi au Théâtre Royal.
Tout le théâtre est en flammes.
Le siuistre est favorisé par un violent vent d'est
darmstadt, 24 octobre.
L'incendie fait de grands progiès, le théâtre est
perdu; le feu s'étend vers le côté ouest de la ville.
A six heures trois quarts, l'arsenal était menacé;
ia garnison l'a évacué en UDe heure; il paraît que
ce danger est écarté maintenant.
Le théâtre est presque entièrement rédoit en
ceudtes.
darmstadt, -a5 octobre.
Le théâtre est complètement détruit; il n'en
reste pins que !es murs et l'escalier eu pierre; les
décorations sont brûlées, les instruments et les
partitioos ont été santés. C'est en allumant le gaz
que le feu a pris probablement; l'allumeur des
lampes n'a pas encore été retrouvé; il est probable
qu'il a été brûlé.
ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY.
'Utrison Certaine. Comme la bataille de la
*ie se livre aussi bien contre ceox qoi sont natu
rel lerueot faibles, que contre ceox qui ont une
fotte constitution, il est de la dernière importance
de préserver les premiers des maladies qui peuvent
survenir. Une égralignure k la jambe, uoe iégjyie
enflure, ou une inflammation k If cheville du pied,
qu'on pourrait faire disparaître immédiatement au
moyen des médicaments Holloway, dégénèreut en
maladies graves par le manque des soins les plus
ordinaires et clooeot le patient sur un lit de dou
leurs, laissant sa famille k la cbaige de la paroisse.
Cbacuo doit avoir chez soi les Méiecioes Holloway.
Elles épagrierorit aux parents et iux enfants beau
coup de misères et par dessus ton elles dissiperont
leurs maladies, ru< yenuani une sot me insignifiante,
en comparaison des loutdes cbajes des docteurs.
ETAT-CIVIL iri'PItKS,
■lu 2Q au 27 Octobre Inclus.
na\issances 7. Sexe masculin 3 idem féminin 4
Mariage. B^raito, Auguste, tisserand, et
Hubert, Victorine, dentellière.
DÉCÈS. Col.erPierre, y5 ans, sans profes
sion, veuf de Joséphine Konoen, rne de Dixtnude.
Thibaut, Jacques, 65 ans, taillenr, époux de
Marie Decock rue de Menin.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS, t. Ssxe mas
culin 1idem féminin o.
YPRES, 28 OCTOBRE 1871.
f.TAT Indiquant le» quantité» et le prix moyen
île» t.rulii», Fourrage» et autrea produit» agri
cole» vendu» au marché de cette ville
NATURE
QUANTITÉS
PU IX
1
-1
dca
vendues.
VI 1 f
m
par 100
S i
bruina et Denrée».
Kilogrammes
kilogrammes.
i -s
Fromeot
49,100
34-5o
80
6,5oo
2 5 5o
73
Avoine
2,000
18 75
44
4oo
26-00
80
Féteroles.
1100
26 5o
80
Pommes de terre
5,6oo
9 00
Beurre
315 00
Pain de farine de froment brute 3q c* le kilo.
Idem pour les fondations de 5o c»930 gr.
ït il il ït I! S g,
KANTOOH VAN DEN
Notaris DE TAVEItMI H.
TE LAN'JEUARCK.
V - Te LASGEMARCK, op DliNSDAG
31 OCTOBEK 1871ont 8 ure 's inorgens,
OPENBARE YERkOOPING
van 172 koopen scboone Populieren,
AbeelenBeuken NVilgen, Appel* en
Notelaars,
Staande 1er hofsleden hewoond door
Sioen De Langhe, Karel Plilypo Cochez, Josef
Maertens en de kinders Desodl.
Vergadering ter hofplaats van gezegden
Sioen De Langhe
En 2° Te ROESINGUE, wyk Pilkem,
op MAANDAG 20'" NOVEMBER 1871, om
9 ure juisl des morgens,
OPENBARE YERkOOPING
van 179 koopen schoone en zvvare Popu
lieren, Wilgen, Eiken en lepen.
Staande ter hofsteden gebruikt door
Charles Phtypo Vulsteke en Amand Ue Rycke
en in de weidegebruikt door Plilypo Cochez.
Vergadering ter hofplaats van genoem-
den Phtypo Vulsteke.
Sur la drève dite du Prince et sur diverses
pâtures dépendant de la ferme La grande
Plusdouve appartenant M. le chevalier de
Schouleele de Tervarenl de Munck, occupée
par le sieur Fidèle Coppin,
consistant en
Plusieurs Ormes et Saules sont remar
quables par leur qualité et la plupart de
ooo Ai Lies sont propres aux grosses con
structions, ainsi qu'aux menuisiers, char
rons, sabotiers, etc.
Le tout divisé en 132 marchés.
Celle Vente aura lieu le MAKDI 21
NOVEMBRE 1871 10 heures du matin.
Long terme de payement pour tous les
acheteurs reconnus solvables ou ayani
fourni caution.
Le pavé de Messines Neuve-Eglise rend le
transport facile.
Le Notaire 1HERRY, Neuve Eglise,,
est chargé de la recette de celte Vente.