AVIS. D'ARBRES, 20 BEAUX ORMES, 3 COMMUiVE 11PLOEGSTEERT. CONSIDÉRABLE VENTE 299 Oi '111CS de 1 2 mètres, 29 Saul es de 1 2 1/2 mètres, et 19 Canadas de 1 2 mètres de circonférence. PLOEGSTEERT, 15 SALLES, Mardi 21 Novembre 1S71. f nelle, Punch, Anisetle, en un mot généra lement toutes les Liqueurs fines, sans en excepter une seule qui se trouve dans le commerce, 2 gros Frênes et 4 Bois-Blancs Jabiti et Saint François a eu lieu samedi, dix heures. Il élaitenviron dix heuresetdemiequand le cortège s'éhranla On voyait défiler tris teinenl et quelque intervalle celte suite de trente-trois cercueils portés par des mi neurs. les camarades des victimes; chacun formait part un groupe qui faisait peine voir; l'ensemble de ces familles infortu nées poussait au immense gémissement. Jamais, sans aucun doute, Saint Etienne n'a vu sinistre acquérir d'aussi lamentables proportions. Et ce n'est pas encore fini Lorsqu'on fut arrivé la porte de l'église, on n'y fit d'abord entrer que les bières, qui, a elles seulesremplirent tout la nef. La foule a pu pénétrer ensuite dans l'église par une porte latérale, et ce fut pendant l'office un va et-vient qui permit tous d'y entrer quelques instants. Sur la totalité de ces cadavres, vingt neuf seulement devaient être inhumés ensemble; pour l'un d'eux, celui d'un protestant, la cérémonie eut lieu quatre heures; deux autres ont été conduits Firminy, et le dernier la Ricainarie Lorsque le cortège parvint au cimetière, il y trouva une afïluence énorme qui s'y était échelonnée. On a formé devant les fosses régulièrement creusées plusieurs rangs de cercueils. C'est alors que la scène est devenue indescriptible les familles se précipitaient toutes ensemble pour recon naître et voir une dernière fois les bières contenant ceux qui leur étaient chers ce furent partout des cris déchirants qui ar- rachèrenlà la foule bien des sanglots. Après les prières du clergé, l'assistance se relira silencieuse et émue. Un affreux malheur est venu jeter, lundi dernier, la consternation dans la commune de Bourlon (Pas de-Galais) toute une famille a péri asphyxiée. Le sieur François Pialeau, boulanger, avait l'habitude de mettre ses braises la cave. Par malheur, en se rallument, elles ont donné naissance de l'acide carboni que et de l'oxyde de carbonne, gaz délétères qui se répandirent dans la maison et la chambre où toute la famille était couchée. Le père, la mère, une petite fille et la grand'mère périrent asphyxié pendant leur sommeil. Le malheur est d'autant plus déplorable que cette famille jouissait dans le village de la considération générale. "VIEILLES ERREURS. UNE NOUVELLE ET MEILLEURE PHILOSOPHIE. N"US honorons l'homme qui ne craint pas de dénoncer les erreurs in»éiérées auxquelles le mouds acquiesce tacitement depuis des siècles et qui dé fend une théorie non.elle et plus »raie a laquelle les esrla.es des préjugés peu.eut donner le nom d'Hérésie. Tel est Thomas Holloway, le Médecin Réfonuatenr rie notre temps. Son système de trai tement lui est propre; il est basé sur de oou.eaux principes, il a été perfectionné par ses recherches, l'expérimentation et l'obser.ation, il réussit au- delà de toute expression. Les résultats étonnants produits par ses Pilules dansions les cas de maladies internes sont de nototiéié publioue dans cette con - née et dans le monde entier. Nous a.oos eu sou vent l'opportunité d'être témoins de la rapidité et perfection a»ec lesquelles les affections d'ulcètes sont réduites ou plutôt extirpées par l'action com binée de l'Onguent et des Pilules. Ces deux grands spécifbs semblent réciproquement s'aider dans la guérisun de cette classe de maladies. Beaucoup de praticiens ont peur d'entreprendre la guérison d'un mal de jambe ou d'un abcès profond de la rédnctioo d une loupe ou d'une tumeur. Quelque bonnes que soient, excepté celle d Holloway, tou tes les méthodes de traitement de ces espèces de t maladies, elles sont toutes superficielle», mais loi, les impute tout d'abord, l'état d'un sang »icié, et aliaque le poison jeté dans la circulation par les organes absorbants, sa source, l'estomac et les intestins. Pendant que les Pilules agissent sur les organes ei sur tes fluides qu'elles électent, il ap plique l'Onguent s l'exiérienr l'endroit où le mal est placé ei attaque l'inflammation et la décompo sition externes tra.eis les potes. Ainsi l'ulcère, la plaie, l'abcès, la tumeur ou le cancer sont sou mis une double attaque du dedans et du dehors. Poui se ser.ir d'une expiession militaire, ils sont complètement iuvestis. L'écoulement do poison de l'intérieur est coupé et le »irus déjà en circulatiou dans les .aisseaux extéiieuis est ueutralisé. Cela fait, l'action moi bide cesse, et la gnérison est sû'e- meot et définiti«ement accomplie. La philosophie sur laquelle sa pratique est basée est saineses lé- sultats sont toujours salutaires. ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY. Pour toutes les plaies, blessures, maux de jambes et entorses de toute sorte cet Onguent est la plus efficace préparation. Il soulage immédiatement,'en réduisant l'inflammation et eu modérant le cours du sang «ers la partie endommagée. Lorsque la maladie dure depuis longtemps, il faut que cet Onguent soit secondé par les purifiantes Pilules Holloway qui agisseut sur l'estomac et le foie, et empêchent la digestion de se déranger par suite de souffrances, d'inquiétudes et de fièvres; ce qui re tarde beaucoup la guérison et souvent reud g-aves les cas les plus légers. Aucune mère de famille, aucune nourrice ne doit se trouver saus ces nobles remèdes;'ils sont applicables également tous les âges et toutes les constitutions. Ils purifient le sang, légularisent sa circulation, renno.ellent les parties malades et fortifient le sysième. ETAT - CIVIL IVYPttES, llu CO au 19 Novembre Inclus. NAISSANCES io. Sexe masculin a, idem fémiuiu S. décès. Rondelle, Fraoçois, 82 ans, sans profession, «euf de Marie Lips, rue S1 Nicolas. Decaluwe, Clémence, 21 ans, domestique, céliba taire, rue des Récollets. Legrand, Jolie, 20 ans, dentellière, célibataire, rne.de Menio. Bos- saert, Alberiinea 62 ans, journalière, »eu»e de Lonis Bondnwe, rue de Meiiiu. Semiys, Jean, 78 ansjournalier, veuf de Beatiice Casier, rue de. Menio. Glissonx, Pierre, 4t ans, garçon bras seur, époux d'Hortence Ghyseleo, rue de Merrill. Sieelatid, Louis, 5t ans, journalier, époux de Jjooise Wylleinan, Marché au Bois. Deweetdt, Augustin, 48 ans, serrurier, époux d'Amélie Wer- brouckrue de Menin. Hilzinger, Fraoçois, 4g ans, soldat au i"régimenl de ligue, célibataiie, lue des Bouchers. Oogbe, Thérèse, 74 ans. sans profession, épouse de Charles Decontnrk, Saint- Pierre-lez Ypres. Lapiere, Désiré, 65 ans, saus profession, époux d'Adelaide Sinave, rue de Lille. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS, 3. Ssxe mas- culi 11 1, idem féminin 1 YPRES, 18 NOVEMBRE 1871. EI IT ln<li(|iiaii( Ion quantité» eC le prix moyen île#» t.raiu*. Fourrages et autres produits agri coles vendus au marche de cette ville nature quantités l'rix r u - DES V E MU ES. H OVK1 i i par 100 o UruitiMel llcuree». Kilogrammes. Ulogrammes. i i Froment 57,5OO 54-75 80 Seigle 1.900 25 37 73 a «oine 1,90° 19-00 44 1.200 25-25 80 1 Féteroles. 2,4oo 24- 00 80 Pommes de terre 4,5oo 9 25 Beurre 5iô-oo Pain de farine de froment brute 52 c9 le kilo. Idem pour les fondations de 5o c9. q3o gr. ,UL_L 1 JJ-li-»'y." Un fabricant, cessant les affaires, désire céder le secret de sa fabrication de Geniè vre, Eaux de vie, Cognac, Rhum, Absinthe- Suisse, Aoière-Bitter de HollaDde, Citro- Le négociant ou autres personnes qui seraient d'intention recevraient un bénéfice de 150 pour cent, bénéfice que prélève le fabricant fournisseur; donc, il y a un grand avantage de faire sot même son genièvre et liqueurs, avantage incontesta ble pour le négociant, qui sera mis au courant et recevra le secret de fabrication vraiment pour un prix très modéré. Le fabricant sera également mis au courant de faire soi même les extraits d'essences en général nécessaires pour fa briquer et avec un bénéfice de plus de 150 pour cent Également céder un excellent procédé pour faire un excellent Vinaigre de Vin d'Orléans, dont le litre ne revient qu'à 15 centimes et demi et qui se vend dans le commerce 75 80 cenlim" le litre (fameux bénéfice). Ce Vinaigre s'obtient facilement en faisant fermenter certaines matières en fût. Fabrication facile, car le Vinaigre se fomente seul. S'adresser J. MAREE, rue S1 Servais, 11. Liège. Sur la drève dile du Prince et sur diverses pâtures dépendant de la ferme La grande Plusdouve appartenant M. le chevalier de Schouleete de Tervarent de Munck, occupée par le sieur Fidèle Coppin, CONSISTANT EN Plusieurs Ormes et Saules sont remar quables par leur qualité et la plupart de ces Arbres sont propres aux grosses con structions, ainsi qu'aux menuisiers, char rons, sabotiers, etc. Le tout divisé en 132 marchés. Cette Vente aura lieu le MARDI 21 (NOVEMBRE 1871 10 heures du matin. Long terme de payement pour tous les acheteurs recottuus solvables ou ayant fourni caution. Le pavé de Messines Neuve-Église rend le transport facile. Le Notaire THERRY, Neuve Eglise, est chargé de la recette de cette Vente. A PROXIMITÉ DU VILLAGE DE WUL- VERGHEM, Sur la pâture du cabaret S1 Quentin, A VENDRE PAR PORTIONS. immédiatement après la Vente sur la ferme de la Plusdouve et sur celle du S' Pierre Antoine Bonnecandeille, aux conditions ordinaires. Le Notaire) THERRY, Neuve Eglise,, estichargé de la recette. I

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3