D'IMPRIMERIE. AVIS. naaosrtiiBa» VILLE D'YPKES. P. BEKE. VILLE D'VPRES. A CÉDER, Ui MATÉRIEL COMPLET se 5 g r, Si Z J z O Voici les noms des places fories fran çaises occupées encore par les Allemands Dans le département des Ardennes, Mé zières. Rocroy. Sedan et Longwy. I.e camp de Cliàlons. où, après la récente dislocation «les troupes d'occupation, le 10' régiment bavarois d'infanterie forme la majeure par tie de la garnison Dans la Marne, Vitry le- Français. Dans la Meuse, Toul, Monlmédy et Verdun. Enfin dans la Haute Marne et dans les Vosges, tout ce qui est plus ou moins place forte, et en outre Belfort, qui appartenait au département du Haut Rhin. Celte dernière forteresse est occupée par cinq bataillons des régiments 21e et 61* prussiens, par un détachement d'artillerie de siège ei une compagnie de pionniers. M. Elysée Reclus, ancien collabora teur la Revue des deux Mondesest passé mercredi devant le 7* conseil de guerre, séant Saint Germain, pour répondre l'accusation d'attentat contre le gouverne ment ports d'armes apparentes ou cachées et usage de ses armes. L'accusé a été fait prisonnier les armes la main le 4 avril •1871. sur le plateau deChàtillonil a signé le 25 mars tin appel au peuple; il reconnaît qu'il fait partie de l'Internationale depuis trois ans. Au nombre des témoins dé charge figure M. Edouard Chartin, député président de la Société de géographie. Après une chaleureuse plaidoirie de M* Jay, le conseil se relire et après une déli bération de quelques instants rapporte un verdict qui condamne M. Reclus la dé portation simple. On lit dans ['Union a Le ministre de la guerre a reçu du conseil d'enquête sur les capitulations le ptocès verbal concernant la reddition de Toul. Cette place fut investie le 12 septembre ■1870 par la 17' division d'infanterie, com mandée par le général Schimmelmann deux régiments de cavalerie et l'artillerie du 13' corps d'armée. Elle était défendue par 2,500 hommes environ, la plupart gardes mobiles, et avait pour commandant supérieur H uck, chef d'escadron d'artillerie. Le grand duc de Mecklembourg- Schwerin, commandant du 13" corps, com mença inquiéter la place avec son artil lerie de campagne. Bientôt il fut remplacé par le général Schimmelmann qui établit ses batteries sur le mont Saint-Michel Le 49 septembreune partie des troupes d'investissement fut envoyée Châlons. Le lendemain arriva de Cologne et de Al3gdebourg l'artillerie de siège. Le 23, les batteries allemandes étaient armées, elle bombardement commença. Les assiégés répondirent vigoureusement. Dès le matin, les obus de l'ennemi allumèrent l'incendie sur plusieurs points. Les habitants n'étant plus maîtres d'arrêter les progrès du feu, le commandant Huck fit arborer le drapeau blanc vers quatre heures du soir sur une des tours de la cathédrale. La capitulation fut négociée par le colonel de Krensky, chef d'état major du grand duc. Celui ci était venu de Reims pour assister au bombardement. Le 23 au soir, la garnison, prisonnière de guerre, sortit de la place. Le grand duc y fit son entrée, dans la matinée du 24, la tête du corps de siège. Tout en blàuiant le commandant Huck de n'avoir pas détruit les armes et les munitions de guerre avant qu'elles ne tombassent au pouvoir de l'ennemile conseil d'enquête a reconnu son mérite et fa félicité d'avoirsu prolonger la résistance. Voici, d'après le Figaro, l'effet produit dans les familles par les excès des libres penseurs de la Commune. Une institution religieuse du 10' arrondissement comptait, il y a dix-huit mois, vingt élèves... Aujour d'hui elle en compte cent quarante! ITALIE. Roue, 21 novembre. Le Roi est arrivé. Il a éié resu solentiellemeiii a la gare. Il y a.ait une grande foule. L'Italie dément que M. Caracciolo, minialre d'Italie Siiut Pétersbourg, ail donné sa démission. TURQUIE. CowsTAb'TiKOPLE, 2o novembre. Le nombre de décès causé par le choléra est minime. I.e silence des autorités sur la marche de l'épidémie tend effiayer les populations. ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY. Maladies des Femmes Les climats ont leurs désordres particuliers, l'âge a ses iufirmités parti culières les saisons oui leurs maladies spécifiques; ruais la femme, dans loos les climats, tout âge el en toute saison, est sujette h des maladies spéciales provenant, le plus souvent, d inattention, de mau vais traitemeot, ou de débilité de la coDStitutioo. Pour Ions les dérangements particuliers au sexe, les remèdes Hollowav procoreiont du soulagement pour le présent et du confort pour l'avenir, peu- daot qu'elles règlent adniiiablement la fooction naturelle de chaque organe. Sous leur correctif empire, la plus grande amélioration se fait prorop- teraenl sentir le corps se développe el le moral se réveille. Dans ces préparations, il n'entre aucu ne parcelle de mercure, ni aucun iogrédient nuisi ble de sorte que les parentsles gardes malades ou les malades eux - mêmes, n'ont besoiu d'aucune consultation pour 1 es employer. Le Collège des Bourgmestre et Echevins prévient les intéressés, que le rôle de l'indemnité payer par les propriétaires pour l'établissement des Trottoirs du Marché aux Eripiers. a été arrêté provi soirement par le Conseil communal, en sa séance du 18 courantet qu'il sera déposé pendant 15 jours l'inspection des person nes imposées de ce chef. Fait Yprès, le 21 novembre 1871. LES BOURGMESTRE ET ÉCIIEVINS, PAR ORDONNANCE Le Secrétaire, J DE CODT. POUR CAUSE DE DÉPART. Le Collège dps Bourgmestre et Echevins prévient ses administrés, que les commis sions administratives de la route de Zille- beke et de celle d'Ypres Comines, ont fait la demande de pouvoir continuer, pour une année a prendre cours la 1" au 1" Avril et la 2' au 1" Mai 1872, la percep tion du droit de barrière établi sur les dites routes. Et informe les intéressés que l'adminis tration communale d'N près recevra pen dant 10 jours les oppositions ou les obser vations auxquel lesces demandes pourraient donner lieu. Fait Ypres, le 13 novembre 1871. LES BOURGMESTRE ET ÉCHEVINSr VA A11 EU LE. PAU ORDONNANCE Le Secrétaire J. DE CODT. Aux conditions les plus avantageuses, Pour renseignements, s'adresser, rue d'Elverdinghe, n° 7, Ypres. ca «o s*, m s* 2; -£ as >5 H H ts3 ÇT M CO m r a rj r s V w o 2 O C mm K -a U v* on z z O? cr a* cr A -I v. Je. y - CJ c O cz c o» Cfi O OC cf. c O C cf. OO «c CLm im e» Q* Cm o cf. en QJ -D "S fj 93 m O) "C o; o en C- %2) C r- s c tr. o o Cf. m OO Cfj S u .co "3 CZ tm en k O ZL QJ en c: cz C c cz C. im Cf. en 'c 1 CB <cz c7 6 c C Cm tn 'm. O yj Cfj o O C. es cr cw w O CO O C c bj Cm "c O O C c tm r 5 G3 jsz C/3 O) CZ im a; im O CZ u c ëo s~ 0 c Cf. w ËLa pour Ypres et ses i II I; Il flll IVl!) environs un Agent sérieux pour le placement des Vins d'une première maison do Maypncn et Bordeaux; s'adresser avec bonnes références J. n. Bacharacb, nég' Mayence. Un fabricant, cessant les affaires, désire céder le secret de sa fabrication de Geniè vre, Eaux de vie, Cognac, Rhum, Absinthe Suisse. 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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3